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Cathy Dubois à l’assaut du Grand Raid de la Réunion !

Elle avait disparue, prise par ses projets professionnels mais toujours active…Cathy Dubois* a fait son retour à la compétition, l’an dernier à l’occasion de la Saintélyon. En recherche de défis et de plaisir la voila donc de nouveau en préparation en vu du Grand Raid de la Réunion, elle qui avait déjà terminé 3ème de cet ultra-trail. En partenariat avec le magasin Terre de Running Décines, Cathy nous reparle de cette préparation et de ce retour.   Cathy, peux tu te présenter rapidement : J’ai 45 ans, je suis gérante d’une salle de fitness à Beynost (L’Appart Beynost). J’ai 2 enfants : Léa 21 ans et Thibault 17 ans   Tu as intégré il y a peu le team TDR Décines, peux tu nous en dire plus sur ce partenariat? Je suis effectivement accompagnée sur du matériels techniques : chaussures, sac à dos, montres GPS… ainsi qu’une partie avec des échanges avec les membres, des animations possibles avec les clients …   Tu gères une salle de sport, L’appart Fitness à Beynost comment concilies-tu tes vies pro, familiale et sportive? Oui j’adore la dynamique de tout concilier. Je prends plaisir à travailler sur mes différentes missions qu’incombent la gestion d’une salle avec mon équipe qui est formidable. Je m’entraîne 2 fois par semaine avec les membres du club et je complète par des séances plus longues, des séances musculation et des séances complémentaires : Vélo de route ou VTT … Ainsi ma pratique sportive peut être dense mais s’organise naturellement avec le job et ma famille. Mes 2 enfants sont grands : Léa 21 ans et Thibault 18 ans. Nous arrivons à partager de bons moments. Mon compagnon à 3 enfants. Tout est simple et facile.   On t’a connu il y a 10 ans avec de belles victoires à ton actif, pourquoi ce retour et quels sont tes objectifs? L’envie de se redonner un objectif tout simplement. J’étais dans une dynamique avec des amis qui participaient en tant que coureurs ou assistants. Et sur une soirée conviviale avec eux, j’ai craqué 🙂 GO POUR LA RÉUNION ! Je m’entraînais avec mes membres du club. Suite à la validation de mon dossard, il fallait que je fasses mes 2 courses à 85 points. En effet je n’avais réalisé aucune course longue ses 4 dernières années. Donc au programme : Le 77 km D 3050 m TRAIL DE COMPOSTELLE ( 2nde), le 65 km D 3700 + TRAIL DES PASSERELLES (1ère féminine) Je me suis fait d’autres courses parallèle, des KV, de bonnes sorties bloc montagne avec dénivelée…     Tu démarres fort avec le GRR, peux tu nous en dire plus sur ta prépa et ton objectif ? Mes objectifs sont déjà d’être finisher 🙂 , être dans un top 10, 5 ?? Aucune pression ! En 2010 : j’ai fait une belle 3ème place alors qu’en 2011, j’avais malheureusement dû mettre le clignotant suite à une forte inflammation du tendon du releveur du pied. Cette course est longue, tout est possible. Il faut juste prendre le départ avec l’envie de se faire plaisir, de se dire que c’est une belle aventure , un beau défi…   Et la suite? Continuer selon l’envie et la forme. Je ne me projette pas plus. Je suis tellement bien à l’instant T dans ma pratique sportive, mon job, ma vie familiale et avec mon chéri. Profitez, vivre cette aventure de la réunion avec mon chéri et mes amis … et la suite … que du bonheur 🙂   Merci Cathy et bonne course à toi ! => Le suivi live ici : http://grandraid-reunion.livetrail.run/     *Palmarès (non exhaustif) : Vainqueur de la SaintéLyon 3ème de l’UTMB en 2008 4ème Championnat du monde de Trail en 2009, 1ère Française 3ème Diagonale des Fous, 2010 2011 : Victoire sur la Maxi Race, Victoire sur l’X-Trail Courchevel, 3ème de la CCC

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Terre de Running Craponne partenaire de la Val Lyonnaise

Course incontournable de l’ouest lyonnais, la Val Lyonnaise a  lieu tous les ans mi-octobre avec 2 parcours de 15 et 26km Des changements pour cette édition 2018. Le magasin Terre de Running Craponne est désormais partenaire de la 17eme édition de la Val Lyonnaise – RDV le 21 octobre au centre nautique de Vaugneray (69) Nouveau parcours de 5km pour rendre plus accessible la pratique du running et découvrir l’environnement et les terrains de jeux des Monts du Lyonnais. et toujours Un circuit randonneurs d’environ 15km Des courses enfants Pasta party et accès piscine Un vrai moment convivial et sportif à passer en famille ou avec des amis. Aperçu en vidéo :   Inscriptions et infos jusqu’au 19/10 sur http://vallyonnaise.free.fr/index.html Page FB : https://www.facebook.com/Vallyonnaise/

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Thibaut Garrivier tente la CCC

Après une belle 3ème place lors des Championnats de France de Trail long et un début de saison bien rempli, Thibaut Garrivier (Team Hoka – TDR Lyon) s’est octroyé une petite pause régénérante. Néanmoins, il ne chômera pas au mois d’août avec la préparation de la CCC, un test sur un format clairement plus long que ce qu’il a pu expérimenter jusqu’à présent. Petit bilan d’avant course. Thibaut comment vas tu depuis les France de trail?. Peux tu revenir sur ta prestation? Je suis globalement satisfait du résultat pour 2 raisons : l’objectif de podium est réalisé et c’est une course de plus affirmant ma régularité cette saison avec une nouvelle place d’honneur que je prends bien volontiers vu le travail d’amont effectué… Le seul bémol avec du recul est que je n’étais pas dans un jour de grande forme, et que la stratégie de course était sûrement trop ambitieuse, mais aucun regret. Depuis j’ai pris 2 semaines de vacances et de coupure totale de sport qui m’ont bien régénérées. Début août, j’ai été accueilli par la station de Val Thorens pour passer une belle semaine en montagne et participer aux VT Summit Games. J’ai accompagné Julien Chorier dans son Grand Tour de la Tarentaise ce qui m’a permis de partager son défi et de m’imprégner de son expérience sur ultra…il y a un sacré chemin à parcourir avant d’atteindre de telles capacités physiques et de gestion…et je ne parle même pas du mental et de l’engagement psychologique dans l’effort: une leçon de vie bluffante!   Tu participes prochainement à la CCC, comment vas tu aborder ce long format? C’est le point d’orgue de la saison ! Après être monté progressivement en puissance sur des formats plus longs (presque 8h de course), c’est encore une sacrée marche à franchir avec certainement plus de 11(-12) h de course… La prépa aura été un peu particulière avec la coupure, mais elle était nécessaire, et je mise aussi sur la fraîcheur car c’est ma 1ère année d’ultra, et mine de rien il faut absorber tout cela physiologiquement. J’y vais déterminé mais humble avec un objectif mesuré, plutôt personnel dans ce contexte très relevé: rentrer à Chamonix sur mes 2 jambes en ayant fait une course régulière. Je suis conscient que la performance sur format long demande plus de temps et d’expérience que ce que je n’ai actuellement: cela sera une prise de repères primordial pour la suite. Un objectif de place est impossible pour moi car je n’ai aucun repère sur ce format et les courses y sont de plus en plus relevées. J’ai hâte d’y être mais avant ça encore 3 belles semaines de préparation pour pouvoir encaisser ces nombreuses heures de course.   As-tu prévu une suite après la CCC? Après la CCC il y aura forcément une nouvelle coupure complète de plusieurs semaines, ce d’autant que je vais participer au trail de Bourbon à la Réunion fin octobre (111k, 6500+). J’y vais dans l’optique de découvrir l’île et d’engranger de l’expérience sur la distance sur un terrain plus hostile qu’à Chamonix. Je pense que l’expérience devrait me plaire et j’irai donc passer 1 mois sur place histoire de profiter du lieu et de ma disponibilité (d’hôpital). Il sera ensuite temps pour moi de rentrer 😉  

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Travailler le fractionné en montée

La séance de fractionné fait partie du quotidien notamment des coureurs en recherche de progression et de dépassement. De différents types, elle permet de progresser dans bien des domaines, indispensable pour envisager de performer en fonction de son potentiel. Sur le plat, les séances d’intervalles ou de fractionné sont relativement bien maitrisées du grand public grâce à des mesures de VMA (Vitesse maximale Aérobie). Chaque séance peut être calibrée en termes intervalles de distances ou de temps, de vitesse, de temps et d’intensités de récupération, du nombre de répétitions et de séries en fonction de la qualité physiologique que l’on veut travailler. Pour les courses d’endurance on parle alors de Capacité Anaérobie Lactique (CAL), Puissance aérobie (VMA), endurance de Puissance (Temps de soutien à des intensités proches de VMA), seuil 1, seuil 2….. Pourquoi et comment fractionner en montée? Mais quand il s’agit de travailler en montée, les gens ont souvent du mal à s’y prendre. Pourtant au niveau physiologique, il n’y a pas vraiment de différences. Le système cardio-vasculaire travaille de la même façon. La composante qui diffère est l’aspect musculaire. D’une part le mode de contraction musculaire devient prioritairement concentrique (au lieu de pliométrique sur le plat) et les angulations au niveau de la jambe et du tronc sont modifiées D’autre part le fait d’élever le corps vers le haut demande plus de force (d’endurance de force ou de puissance en fonction du temps d’effort). C’est souvent ce deuxième paramètre qui fait défaut et qui va souvent limiter les facteurs physiologiques. Dans le jargon on dit souvent que l’on sature musculairement avant de saturer cardiaquement. Avec le coût énergétique c’est souvent ce paramètre qui fait la différence entre deux coureurs de même niveau sur la plat. Alors si il est possible de développer la force par du renforcement musculaire, de la musculation ou du vélo, il peut s’avérer très intéressant de le faire en même temps qu’un développement physiologique, complètement contextualisé avec du fractionné en montée. progressivité dans la pente et l’intensité ! Un des grands principes de base sera d’augmenter progressivement la degré de pente de manière à ce qu’on ne soit pas trop limiter par la force pour développer la qualité que l’on cherche à développer spécifiquement (PMA, endurance de PMA, seuil….) Ainsi on pourra passes de pentes faibles (+/-5%,) à de vrais « raidars » à 30% (dans la période de préparation spécifique, il conviendra bien évidemment de se rapprocher du profil de la course préparée). On peut également pallier ce retard de force au cours de la pré-saison en incluant à l’entrainement des séances de capacité lactique en montée. Ces séances sont accessibles à tous, une petite rampe suffit pour des intervalles courts courus proche du maximum. On restera dans le domaine de l’anaérobie avec un gros travail de puissance de puissance musculaire. Ce travail en anaérobie aura double effet car on remarque que même sur des courses d’endurance le système anaérobie est plus sollicité que sur des courses à plat du même format à plat, du fait du niveau de force requis plus élevé et de variations d’intensité dues aux variation de pente. Faîtes vous confiance ! Dans le domaine de la Puissance aérobie, du temps de soutien à des intensités hautes et du seuil, on pourra procéder de la même manière que sur le plat en termes d’intensités, de durées, de temps de récupération, de nombre de répétitions et de séries… tout en gardant à l’esprit cette notion de progressivité dans la pente. On ne parlera alors pas souvent de distance d’intervalles mais de temps et le principal enjeu sera de maîtriser l’intensité qu’on ne peut contrôler comme sur une piste ou une portion de route étalonnée. Ici on pourra parler de VMAa (VMA ascensionnelle) ou de PMA (Puissance Maximale aérobie) au lieu de VMA que l’on pourra éventuellement mesure par un test d’effort maximal sur 5 ou 6’. Malgré tout cette VMAa ou PMA est relativement dépendante de la pente et de la nature du terrain et sera donc peu reproductible d’un endroit à l’autre (à moins d’avoir un tapis roulant inclinable), d’autant que les pentes sont très rarement vraiment régulières. Et si sur des intervalles longs les données de dénivelé indiqués par les montres GPS barométriques seront utiles au même titre que la fréquence cardiaque, sur des fractions courtes cela sera beaucoup moins valable. L’expérience et la maîtrise des différentes intensités par le ressenti seront souvent le meilleur indicateur. Cela demande un peu plus d’expérience et d’écoute de ses sensations et des signaux de son corps. Exemples de séances Voici quelques exemples de séances de fractionné en montée en fonction du domaine physiologique sollicité : Capacité Anaérobie lactique : – 12*30’’ à intensité proche du maximum pour 30’’ – récupération retour départ en trottinant (1’10’’ à 1’30’’) – 5*45’’ – 5*30’’ -5*20’’ à intensité proche du maximum pour chaque durée d’effort – récupération retour départ en trottinant Puissance Aérobie : – 2*8*(50’’/40’’) R=3’30’’ : 50’’ effort à +/-100%PMA avec 40’’ de récupération trot en descente / 3’30’’ entre les séries – 3*7*(45’’/15’’) R=2’30’’ : 45’’ effort à +/-95%PMA avec 15’’ de récupération en trottinant en descente / 2’30’’ entre les séries – 14*(1’/1’) : 1’ à +/-95%PMA et récupération en descendant activement jusqu’en bas Endurance de Puissance Aérobie : – 8*3’ r=1’30’’ : 3’ à +/-90%PMA, récupération 1’30’’ trot en descente – 2’-3’-4’-5’-4’-3’-2’ r=1/2 tps effort : de +/-90 à 85%PMA, récupération trot en descente ou en montée – 6*4’ proche de 90% PMA avec récupération active en redescendant jusqu’en bas (petit travail excentrique par la même occasion) Séance typée « seuil 2 et 1» : – 3*10’ à +/-85%PMA r=2’30’’ trot en descente ou en montée – 4*8’ entre 85 et 90%PMA avec redescente actives jusqu’en bas (petit travail excentrique par la même occasion) – 2*20’ à +/-80%PMA r=5’ à 7’   Conseils : Toutes ces séances sont précédées d’un échauffement complet (footing progressifs + gammes + accélérations) et suivies d’un retour au calme classique d’une dizaine de

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Toutes les nouveautés et exclusivités chaussures running et trail

En cette période estivale, les nouveautés chaussures commencent à arriver pour le plus grand bonheur des runners et trailers ! En chaussures, de nouveaux modèles, coloris, des innovations et des exclusivités magasins spécialisés… Exclusivité magasins spécialisés On se démarque chez les spécialistes running avec des modèles ou des coloris dédiés. Petit tour d’horizon. Hoka One One : – La gamme Evo regroupe une nouvelle version de la Mafate Speed Evo, la Jaws (modèle de trail/course en montagne/montée sèche légère et dynamique) et la Tracer 2. – Les amateurs de Speed Goat retrouveront la version 2 avec dès juillet des coloris exclusifs TDR.   Chez Adidas, la gamme « performance » Adizero avec les modèles Adios et Boston 7 séduira les coureurs Homes et Femmes pour les courses (10km, Semi ou Marathon) ou les entraînements rapides.   Chez New Balance : retrouvez les modèles 880 V8 et 860 V8 réservés aux magasins spécialisés. . La 860 est une chaussure dédiée aux foulées pronatrices. La stabilité est donc de mise sur ce modèle confortable et dont la tige thermocollée permet l’absorption des chocs. Idéales pour la route et es chemins sur les entrainements ou les courses de moyennes et longues distances.   Le 880 est une chaussure universelle pour un usage mixte (route et chemin). Technologies NB pour favoriser l’amorti, le maintien et le confort avec notamment des lacets élastiques. Mizuno : des modèles uniquement disponibles en magasins avec sort une nouvelle version et un coloris dédié de la Wave  Sky 2. Egalement disponibles les modèles Ultima et Horizon. Améliorations sur la Sky 2 : une nouvelle tige qui introduit la technologie AeroHu permettant d’offrir à la fois liberté de mouvement et maintien du pied pendant toute la durée de l’effort.   Nouveautés running et trail Hoka One One : la Clifton 5 ravira les amateurs d’amorti, de légèreté et de confort avec son effet marshmallow. Attendue également en août, la Bondi 6 ainsi que des nouveautés en trail avec notamment le modèle Torrent léger, performant et dynamique.   Chez Nike on retrouve le modèle incontournable et amélioré de la Pegasus 35. Cette version propose notamment des améliorations et technologies adaptées à la morphologie féminine. Chez Adidas, la nouvelle gamme Solar et ses modèles Solar Boost, Solar Energy, Solar Glide apporte encore plus de précision, de stabilité et de légèreté. Innovation aussi côté conception avec la nouvelle technologie – TFP – qui s’inscrit dans une logique d’éco-responsabilité.                   Mizuno : le modèle incontournable Wave Rider sera disponible en août avec sa version 22 (disponible en août). Un modèle revu et amélioré avec une nouvelle semelle intermédiaire = dynamisme et un meilleur confort , des espaces d’amorti élargis pour une meilleure absorption de l’impact, des encoches de flexion plus nombreuses, plus larges et plus profondes pour une meilleure articulation du talon, un talon plus souple et un amorti optimisé. La Semelle a été élargie pour plus de stabilité au moment de la réception et le nouveau design de la semelle offre plus d’accroche et de durabilité.   Saucony : la nouvelle collection Whitenoise a fait déjà parlé d’elle avec son look moderne et urbain disponible dans les modèles Ride, Jazz, Triumph Vous retrouverez aussi en magasin les nouvelles versions des modèles RIDE ISO, Freedom Iso, Triumph…. Altra : la marque minimaliste Altra sort une nouvelle version de son modèle Torin 3.5.  Les changements sur ce modèle sont un nouveau mesh intégral offrant confort, durabilité et respirabilité et le système de laçage pour plus de maintien au niveau du coup de pied. Le modèle trail Lone Peak 4.0 a évolué pour proposer un mesh encore plus résistant et imperméable. Le nouveau laçage et la languette augmentent le maintien au niveau du coup de pied. Au niveau de la semelle intermédiaire, la nouvelle technologie Stone Guard permet de gagner en légèreté et flexibilité. La semelle extérieure gagne en durabilité. Brooks : la version 13 de la Cascadia a été améliorée pour proposer encore plus de stabilité et de protection grâce à des renforts pour protéger les pieds lors de vos trails. Une languette intérieure conçue pour épouser la forme du pied apporte confort et aération. La semelle d’usure est plus moelleuse. New Balance : un nouveau coloris pour la version très apprécié deu modèle trail Hierro. Mizuno : la célèbre Mujin revient avec une version 5 plus agressive. Toujours dotée de la semelle Michelin, le grip et la traction ont été revus avec notamment un système de semelle auto nettoyante. La plaque Wave Concave en éventail garantit une stabilité efficace. Les plaques de protection permettent à la foulée de s’adapter aux irrégularités du terrain. Saucony Le modèle phare de la gamme trail, la Xodus Iso 3 connaît des évolutions avec notamment une nouvelle semelle Powertrack en monobloc pour améliorer la résistance, l’amorti Everun sur l’ensemble de la semelle pour un meilleur amorti et le laçage isIofit pour un meilleur maintien des protections extérieures de l’orteil.   Une chaussure polyvalente très rassurante, stable avec une bonne protection du pied. Lire notre test en avant-première sur la Xodus Iso 3. Salomon : Une modèle attendu de la Sense Pro avec une version 3 qui va évoluer. Altra : le modèle trail Lone Peak 4.0 a évolué pour proposer un mesh encore plus résistant et imperméable. Le nouveau laçage et la languette augmentent le maintien au niveau du coup de pied. Au niveau de la semelle intermédiaire, la nouvelle technologie Stone Guard permet de gagner en légèreté et flexibilité. La semelle extérieure gagne en durabilité.     Un large choix de chaussures running et trail aux caractéristiques et aux lokks diférents. Venez les essayer et testez l’analyse de foulée par vidéo dans l’un de nos magasins.

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L’effort en altitude, acclimatez-vous !

L’été n’est pas seulement synonyme de farniente sur le sable. Il est aussi la pleine période des trails de montagne qui proposent fréquemment de grimper en altitude. Or cette dernière n’est pas sans effet sur le coureur à pied. La mode du trail running se traduit par la multiplication des épreuves, notamment en montagne. Il est désormais banal de courir à des altitudes auxquelles on n’osait pas s’aventurer autrefois sans grosses chaussures de randonnée et sac à dos bien rempli. Aujourd’hui, les parcours proposent fréquemment des passages à plus de 2 000 ou 3 000 mètres d’altitude, comme sur la Skyrace de Montgenèvre (qui accueillait le week-end dernier les championnats de France) ou le Trail Verbier Saint Bernard (qui s’est déroulé le week-end dernier en Suisse). Pourtant, évoluer à de telles hauteurs – qui plus est en courant ou en essayant de courir – n’est pas anodin, loin de là ! Que ce soit à la montée, lorsque l’effort se fait intense, ou à la descente, lorsqu’on est tenté de lâcher les chevaux alors qu’il faut rester particulièrement vigilant pour éviter la chute, l’altitude n’est pas sans impact sur l’organisme du trailer. Altitude = hypoxie ! L’altitude a un lien direct avec l’oxygène disponible dans l’air : plus on monte, moins la pression atmosphérique est élevée (hypobarie) et moins la pression en oxygène est forte (hypoxie). Par conséquent, on éprouve davantage de difficultés à respirer, la quantité d’oxygène étant de plus en plus faible. Ce n’est pas seulement en très haute altitude que l’hypoxie a des conséquences sur l’organisme. Ses effets se font sentir en général au-delà de 1 000 mètres d’altitude – sachant toutefois que les « symptômes » diffèrent énormément d’un individu à l’autre : entre 1 000 et 2 000 mètres, on peut ressentir les effets de l’altitude lorsque l’intensité de l’effort est élevée ou lorsqu’on est assez mal préparé physiquement ; entre 2 000 et 5 000 mètres, des symptômes peuvent apparaître au repos et lors d’un effort de faible intensité. Des signes variés et variables Il est difficile d’émettre des généralités en matière de signes physiques liés à l’altitude car ils varient énormément : selon les individus (chacun de nous est plus ou moins sensible), selon l’habitude de chacun à évoluer en montagne (un sportif de la plaine a plus de chances de ressentir les effets de l’altitude qu’un coureur qui vit en station de ski toute l’année). Au-delà de cette variabilité interindividuelle, l’organisme réagit cependant de manière uniforme en développant des adaptations : la viscosité du sang augmente le nombre de globules rouges (qui transportent l’oxygène) augmente grâce à la sécrétion d’érythropoïétine (EPO). Ainsi, les mécanismes en anaérobie ne sont pas affectés par l’altitude car, dans ce type d’effort court et intense, le muscle fonctionne sans requérir d’oxygène. En revanche, les efforts longs qui mobilisent des mécanismes en aérobie sont affectés par le contexte hypoxique. Si le Mal aigu des montagnes (MAM) concerne surtout les altitudes relativement élevées, auxquelles le trailer est rarement confronté lorsqu’il porte un dossard ou prépare une compétition, les symptômes d’une difficulté d’adaptation de l’organisme peuvent apparaître : maux de tête, fatigue, nausées, vertiges, déshydratation plus rapide… Dans tous les cas, ces signes physiques ne doivent pas être ignorés : au lieu d’avaler un cachet de paracétamol pour apaiser les céphalées, on préférera redescendre plus bas ou bien se mettre au repos pour s’acclimater. S’acclimater et s’habituer Pour éviter de subir les effets de l’altitude au repos et a fortiori à l’effort, un temps d’acclimatation peut être nécessaire ou, a minima, la répétition d’entraînements à l’altitude que l’on rencontrera en compétition. Le nombre de jours nécessaires à l’organisme pour s’adapter à la situation d’hypoxie varie d’un individu à l’autre : alors que certains auront besoin de seulement 2 jours, d’autres devront attendre 8 jours pour ressentir un mieux-être. Il est donc essentiel d’être à l’écoute de son corps et de repérer les signes de stress hypoxique pour moduler : l’intensité de l’effort (baisser d’environ 10 % cette intensité lors des premiers jours), le volume d’entraînement (baisser d’environ 25 % le volume au début du séjour), le temps de récupération (l’augmenter sensiblement entre chaque entraînement intense). Pour avoir des effets bénéfiques sur la performance, le séjour en altitude doit être suffisamment long, autrement dit s’étirer sur plusieurs semaines. Toutefois des recherches font encore débat : tandis que certains conseillent de dormir en bas et de s’entraîner en haut, d’autres suggèrent de dormir entre 2500 et 3000 m d’altitude et de redescendre pour s’entraîner. Quoiqu’il en soit, pour le trailer qui prépare une épreuve en montagne, l’objectif est moins de chercher à booster ses performances en jouant avec l’altitude que d’éviter de subir de plein fouet des symptômes délétères le jour J. L’idéal est donc de s’entraîner plusieurs fois à des altitudes similaires à celles de la compétition afin d’apprendre à gérer le stress hypoxique. Les week-ends chocs, recommandés au cours de la préparation d’une épreuve longue distance, constituent de belles opportunités d’organiser un séjour à la montagne. Enfin, un petit tour chez un médecin du sport peut être bienvenu afin d’éviter toute mauvaise surprise. En pratique et pour résumer… Si je prépare une épreuve ou un séjour en montagne avec passages en altitude : je vais consulter mon médecin en lui expliquant mon projet ; je ne banalise par l’altitude et reste conscient des risques et implications de la pratique sportive en (haute) montagne ; je m’entraîne plusieurs fois aux altitudes que je rencontrerai le jour J ; je planifie un ou plusieurs séjours à la montagne, par exemple à l’occasion de week-ends chocs, en adaptant l’intensité, le volume et le temps de récupération entre les séances si je ressens des symptômes de stress hypoxique. Bel été à tous !

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Pierra Menta Été, première participation pour Gaëtan, TDR Albertville

C’est bien connu, nos équipes aiment courir et se challenger. Dans ses montagnes en Savoie, Gaëtan, gérant du magasin TDR Albertville et traileur avait bien envie de cocher et de participer à la Pierra Menta Eté, attiré par le Beaufortain et la technicité des parcours. Comme pour la version hivernale, 3 jours d’épreuves sont proposés aux coureurs avec des parcours et des profils techniques nécessitant le baudrier lors de certains passages. 3 jours où les équipes sont « bichonnées » par une organisation au top et rodées… De retour de cette épreuve et après avoir récupéré, Gaëtan nous fait part de cette expérience atypique. Alors cette première Pierra? Cette épreuve m’attirait mais c’est vrai que l’enchaînement assez costaud des 3 jours me rebutait un peu. J’ai été motivé par un bon copain, Olivier qui l’a déjà faite 2 fois et qui a un niveau sensiblement similaire au mien. Côté entrainement, entre le magasin et la famille ce n’est pas tjs évident. J’avais donc prévu plutôt des courses de préparation mais au final j’ai eu plusieurs fois des soucis d’entorse alors j’ai misé sur la fraîcheur! Comment se sont passés les 3 jours? Nous avions décidés de partir tranquillement. Autant à la montée j’étais plus à l’aise mais dans les descentes j’ai dû souvent m’employer pour suivre mon équipier! Les descentes sont raides et techniques et avaient été rendues glissantes par le mauvais temps (d’ailleurs nous avons eu un parcours de repli sur l’une des épreuves). J’ai par contre optimisé la récup avec de la boisson, de l’électrostimulation et des chaussettes de compression. Le 2ème jour, les jambes ont déjà souffert mais une fois l’échauffement fait et le départ donné ça va tout de suite mieux! Nous avons pu faire l’arête du Grand Mont (reporté les autres éditions) et là c’était grandiose. Comme pour l’hiver, il y a une grosse ambiance et du monde. On est très encouragés et au final j’ai pu voir pas mal de monde autant en bénévoles qu’en clients. Le 3ème jour, l’épreuve est courte et intense, ce qui me convient mieux. j’ai pu faire ma course et me faire plaisir. Il y a encore plus de monde puisque le passage est plus accessible et que les gens sont plus disponibles. Bilan…? Je suis très contents d’avoir pu participé et finir ! J’aurai aimé que l’on fasse mieux en terme de classement mais bon on est partis un peu loin le premier jour alors après c’est plus compliqué mais on a réussi à grapiller qques places…! Nous nous sommes bien entendus avec mon co-équipier mais ce qui est dur c’est de gérer les coups de moins bien car ils n’arrivent pas en même temps! Nous avions aussi décidé de ne pas utilisé d’élastique (souvent prisé des équipes pour que l’un des coureurs tire l’autre). Bien sûr avec un meilleur entrainement ce serait mieux mais au final c’est une très belle épreuve très bien organisée avec une belle ambiance…où les couleurs TDR ont d’ailleurs brillé notamment chez les jeunes et en mixte avec la victoire de Hugo Altmeyer (team Scott-TDR).   Photos Courchevel Sports Outdoor.

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Championnat de France de Trail on y est !

C’est l’un des objectifs de cette saison déjà bien entamée… Ce week end auront lieu les Championnats de France de Trail Court à MontGenèvre (05). Sébastien Hours et Guillaume Rouger, du team Terre de Running Mizuno ont bien sûr coché cette date et prendront le départ de cette édition très relevée. Après avoir fait le reconnaissance du parcours et en récup post Cross et Marathon du Mont-Blanc, on fait le point sur leur état de forme et leurs ambitions.   Guillaume : Depuis que le France existe (2013) c’est une première de le courir si tôt dans la saison. La récupération du Mont Blanc semble très courte pour retrouver un organisme compétitif en 14j mais c’est surtout de mon genou que j’appréhende un peu. Une chute en fin de parcours du marathon, et mon genou gauche s’en rappelle encore, avec une petite douleur quand je cours actuellement. Je ne regrette en revanche pas du tout ce calendrier assez chargé. Le Marathon du Mont Blanc est un trail magnifique et son plateau cette année était très alléchant ! À Montgenèvre on retrouve un profil destiné aux montagnards. Traversée de la station puis un peu de faux plat en tout début de parcours avant d’enchaîner deux longues montées/ descentes. En reconnaissance du tracé avec Sébastien il y a un mois nous avons même rencontré des portions d’ascension très courtes mais à fort pourcentage ! Je tenterai de terminer cette première partie de saison 2018 par un top 20 sur ce France (ma meilleure place 27e). Sur mes 2 trails courus en mai/juin, j’ai plutôt joué l’économie de course. Alors pourquoi pas prendre un peu plus de risques dimanche ? De toute façon avec 27kms je serai bien obligé de partir plus vite !   Sébastien : N’ayant fait que le cross, la récupération du Mont-Blanc a été assez rapide, si ce n’est une petite alerte à l’ischio qui est heureusement passée assez rapidement. J’ai profité du weekend a Chamonix pour refaire un peu de dénivelé, puis j’ai ensuite privilégié le travail de seuil sur cette dernière période, et je commence a très bien me sentir sur les portions roulantes. Au niveau objectif, cela va être compliqué de faire aussi bien que l’année dernière (6e) au vu de mon hiver et de la densité, mais j’espère rentrer dans le top 15, voir 10 si tout se passe bien. Le parcours n’est pas très technique sauf autour du sommet de la 1ère bosse, ce qui a tendance à m’avantager, mais l’altitude jouera un rôle prépondérant, et il faudra en garder sous le pied dans la 1ère bosse sous peine de sanction immédiate, d’autant que la 2e côte a quelques portions très raides. Si le soleil est de la partie, la vue pendant la course devrait être bien sympathique :-).   Souhaitons le meilleur à nos 2 coureurs !

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Restez au frais avec la Technologie Ceramicool Odlo

Marque de référence pour les sports hivernaux réputée pour ses innovations, Odlo (marque norvégienne basée désormais en Suisse) propose depuis plusieurs années des gammes pour les sports d’été. Depuis cette année, elle a d’ailleurs étendue sa technologie Ceramicool à l’ensemble de ses produits. Ceramicool, gagnez 1 degré ! Comment ça marche? Ceramicool est la première technologie textile au monde à intégrer des micros particules de céramique directement dans la fibre du tissu permettant ainsi réduire la température de la peau de 1 degré. La technologie protège la peau des rayons UV grâce aux fibres et au tissu et offre respirabilité et confort en agissant comme une 2ème peau. La matière reste souple, légère et confortable dans toutes les conditions de l’effort.   Découvrez la vidéo de la technologie Ceramicool :   Retrouvez la technologie Ceramicool dans la gamme running : baselayer et t-shirts hommes et femmes, short 2 en 1 avec collant Ceramicool intégré La gamme est disponible dans les magasins Terre de Running et sur www.terrederunning.com

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COMPRESSPORT® partenaire officiel de l’Ultra-Trail du Mont-Blanc® 2018

La marque de compression COMPRESSPORT® renouvelle pour la 5ème année son partenariat avec l’UTMB® en tant que fournisseur officiel « compression et chaussettes ». Alors que dans quelques semaines, l’élite internationale du trail running se réunira au cœur d’un scénario grandiose et prouvera que rien n’est impossible. COMPRESSPORT® offre ses dernières innovations dans une gamme en édition limitée et assurera une présence tout au long de l’évènement. Retrouvez Compressport sur le Salon de l’UTMB avec de nombreuses animations Du 27 août au 2 septembre 2018 – Stand COMPRESSPORT® Toute l’équipe COMPRESSPORT® aura le plaisir d‘accueillir les coureurs sur son stand pour les équiper, les conseiller et les encourager. Le mercredi 29 août 2018 à 8h00 – Morning Run Ouvert à tous, le traditionnel morning run aura lieu en présence de nombreux athlètes et sera suivi d’un petit déjeuner convivial et équilibré. Départ : rendez-vous Place du triangle de l’amitié. Le jeudi 30 août 2018 à 11h00 – Stand COMPRESSPORT® Rendez-vous également sur le stand pour assister à la présentation de nos athlètes internationaux suivi d’une séance interactive où les participants pourront échanger, poser toutes leurs questions, profiter de conseils de pros et recevoir un poster dédicacé. Les mercredi 29 après-midi et jeudi 30 août 2018 matin – COMPRESSPORT® VIP Lounge Les journalistes pourront découvrir les derniers produits et innovations dans un espace dédié au sein de l’hôtel Majestic. (accès sur invitation uniquement). Le mercredi après-midi Sylvain Laur présentera la gamme UTMB® 2018 et répondra à toutes les questions.

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