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Résultats 2016 du Cross de Biviers Montbonnot

Les résultats de cette édition 2016 du 10km et du trail de 14km : Cross de Biviers Montbonnot Resultats 2016 Bien que pluvieuse la course a réuni comme d’habitude son lot de candidats (110 sur le cross 10Km et 70 sur le trail). Bravo à tous pour votre participation.

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Résultats 2016 du Trail du Haut-Lignon

Retrouvez les résultats du trail du Haut-Lignon organisé par l’ Athlé Tence (43). Des parcours sauvages pour découvrir la Haute-Loire dans une ambiance locale conviviale. Trail du Pic du Lizieux – 35km Trail du Haut-Lignon – 24km Trail Découverte – 11km Trail La Tençoise – 5km

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choisir sa brassiere de sport

Le saint du sein : le soutien-gorge de sport

Quand on parle d’équipement de course à pied, on insiste toujours sur l’élément clé : les chaussures. Pourtant, pour nous les filles, un autre composant de la panoplie de la parfaite runneuse est crucial : le soutien-gorge de sport. Comment choisir son soutien-gorge de sport?   Utile le soutien-gorge de sport ? On connaît la tendance minimaliste qui s’est emparée des coureurs américains avant de déferler en Europe : revenir à l’état originel de l’homme en courant pieds nus, ou presque. On connaît moins la mode (elle aussi américaine) du minimalisme en termes de soutien-gorge. Pour faire bref, l’idée est de courir sans sous-vêtement pour revenir à une pratique 100 % naturelle qui permettrait, selon les défenseurs de cette approche, aux muscles de la poitrine de se renforcer et de jouer leur rôle de maintien. Il paraît que, passées les premières sorties un peu inconfortables, les seins s’adapteraient aux contraintes de la course à pied. Bon, soyons honnêtes : on est plutôt sceptique ! Lorgnons donc du côté des rayons sous-vêtements pour fouiller parmi les nombreux modèles de brassières et soutiens-gorge. On préfère en effet ne pas prendre de risque ! Outre les douleurs liées à l’absence de maintien pendant l’activité sportive, c’est carrément un enjeu esthétique qui se joue. Des titis qui pendent comme deux vieilles chaussettes, non merci ! Brassière ou soutien-gorge de sport? Nos conseils pour bien choisir  : Un soutien-gorge traditionnel ne convient pas au running (ni au sport en général d’ailleurs). Il faut absolument investir dans une brassière ou un soutien-gorge spécifique. Ne courez pas avec votre beau soutien-gorge en dentelle ! Non seulement il ne protègera pas votre poitrine, mais en plus la sueur risque fort de réduire sa durée de vie ! A choisir, nous préférons  la brassière plutôt que le soutien-gorge car elle laisse une grande liberté de mouvement et se fait oublier. On préfère des bretelles croisées ou un dos en Y qui assurent, à nos yeux, un meilleur maintien et un meilleur confort que les bretelles droites. Essayez toujours une brassière ou un soutien-gorge de sport avant de l’acheter : vous devez vous sentir à l’aise, la poitrine bien tenue (sans pour autant être compressée !). Certaines marques graduent la force du maintien : le running étant un sport à impacts, prenez le maintien le plus fort, y compris si vous avez une petite poitrine. Si vous courez régulièrement, changez une à deux fois par an votre brassière pour assurer le meilleur maintien à votre poitrine. Côté entretien, évitez de passer vos sous-vêtements (et vêtements) de sport à 50°C et au sèche-linge ! Privilégiez le lavage à la main ou un cycle de lavage très doux, à basse température (idéalement à froid, sinon à 30°C maximum) et un essorage minimaliste (400 tours/minute). Lavez votre brassière après chaque entraînement car c’est elle qui est aux premières loges question transpiration, sel et bactéries.   Dans tous les cas, si vous avez la poitrine douloureuse après avoir couru, réagissez ! Commencez par changer de sous-vêtement et, si le problème persiste, consultez votre médecin du sport.     Marie Paturel Journaliste. Son site : https://marymaryrunrun.com/

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Séb Hours LUT 2016

Le Kilomètre Vertical, la petite discipline qui monte

Le kilomètre vertical appelée communément KV est une épreuve en pleine ascension dans les massifs montagneux européens. Dans une population sportive à l’affût de nouvelles sensations, le défi d’avaler 1000 m de dénivelé positif dans le temps le plus court possible fait des émules. Le paradoxe du KV En kilomètre vertical, seul le dénivelé est fixe, pas la distance. Plus la pente est douce, plus la vitesse de déplacement du coureur est élevée, mais plus la distance est longue. Inversement, plus la pente est forte, plus la progression du coureur est lente mais plus la distance est réduite. La pente idéale pour réaliser la meilleure performance se situe donc quelque part entre ces 2 extrêmes. Sur le terrain, les meilleures performances se déroulent à Fully, en Suisse, sur un parcours de 1920m de long. Le départ se fait à 500 m d’altitude et suit une ancienne voie de funiculaire. Le tracé rectiligne traverse des vignes, des prés et des forêts. Comme sur tous les parcours de KV, un panonceau indique chaque 100m de dénivellation, constituant un précieux repère dans la progression des coureurs. L’arrivée se situe à 1500 mètres d’altitude et la pente moyenne est de (1000/1619) x 100 = 61.7 % (1619m étant la distance horizontale correspondant à 1000m D+ et 1920 m de montée). Peu de parcours présentent une telle homogénéité dans le tracé. A Chamonix par exemple, le tracé de 3.8 km serpente un certain temps dans la montagne, réduisant à néant les possibilités de record. En d’autres lieux, c’est la technicité du parcours, comme le passage de blocs rocheux, qui nuit à la performance. Autre avantage du parcours suisse, l’arrivée à 1500m n’impose pas aux coureurs une course en hypoxie. Les marches qui jalonnent le parcours de Fully sont également un critère important de la rapidité du parcours car on a enregistré des vitesses ascensionnelles encore supérieures sur de longues montées d’escaliers en Suisse. En conclusion, le parcours idéal (le plus rapide) est rectiligne, avec une  pente régulière d’environ 60%, sur un revêtement homogène et non glissant et idéalement jalonné de marches pour faciliter appuis et poussées. Pour les meilleurs, la durée de course est de 30mn chez les hommes et 41mn chez les femmes, ce que l’on peut rapprocher d’un 10 km route, idem pour le reste du peloton. Aucune expérience n’a été menée pour mesurer la consommation d’oxygène sur un KV mais l’analyse des fréquences cardiaques, et notamment le pourcentage de fréquence cardiaque de réserve utilisée, donne des résultats moyens de 80 à 90%, là encore très proches de ceux d’un 10 km. D’un point de vue bioénergétique, il s’agit donc d’un effort aérobie, à la limite du seuil d’accumulation des lactates. Les 2 premières qualités requises pour performer en KV sont donc une forte puissance aérobie et une fraction de VO2max élevée sur la durée de la course, correspondant à un seuil anaérobie au delà des 85%, voire supérieur à 90% chez certains athlètes. La comparaison avec le 10 km s’arrête ici car l’analyse de la tâche passe également par l’analyse de la gestuelle. Le KV est fort différent de la course de montagne. En effet, au-delà de 20% de pente, l’énergie élastique de renvoi devient nulle, et la puissance règne en maître. C’est là la principale difficulté pour le néophyte. Le profil de coureur ultra léger et élastique, performant sur route à plat et en montée courue (type championnats FFA) laisse la place au coureur puissant et technique, sachant également se servir des bâtons comme 2 membres tracteurs et propulseurs. La technique joue en effet un rôle majeur dans la performance. On distingue plusieurs formes de locomotion, avec ou sans bâtons : la course classique dans les parties moins pentues, la marche semi-fléchie avec appuis des mains sur les cuisses, la marche quadrupédique (on tire et on pousse avec les mains), la marche à l’amble avec bâtons (pied gauche-bras gauche et pied droit-bras droit), la marche croisée avec bâtons (pied droit-bras gauche et pied gauche-bras droit) et la marche simultanée (les 2 bâtons poussent en même temps). Le KV nécessite donc un entraînement spécifique pour acquérir puissance et technique, pour apprendre à gérer son effort sur les 1000m verticaux qui se dressent devant vous. Ce type d’effort est tellement recherché que l’on a assisté en 2014 au premier K3, un 3000m positif au départ de Suze en Italie, gagné en 2h06, soit à près de 1500m/h, une sacrée performance. Pascal Balducci

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mujin 3

Nouveaux modèles trail Mizuno

MIZUNO, marque de référence dans le running et également partenaire du team trail Terre de running s’associe au savoir-faire de Michelin et lance une nouvelle gamme de chaussures trail dotées de semelles développées avec la technologie Michelin. Deux nouveaux modèles vont bénéficier de ces matériaux ultra performants en termes d’accroche et de résistance : La WAVE MUJIN 3 sera dotée de la semelle technologique « Michelin Twister » pour davantage de traction et de stabilité. La WAVE MUJIN 3 sera également déclinée dans une version Gore Tex pour plus d’imperméabilité et de protection. La WAVE DAICHI est une chaussure polyvalente, équipée de semelles MICHELIN G-Adaptive destinée aux coureurs universels ou pronateurs à la recherche d’une chaussure trail souple et dynamique offrant une excellente accroche sur tous types de terrains.   Découvrez ces nouveautés trail Mizuno dans les magasins Terre de running et sur www.terrederunning.com

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Eric Legat Team terre de running

Eric Legat

« Doyen » du team, Eric Legat a le coeur sur la main ! Issu de l’athlé, il arpente chemins, routes et sentiers depuis quelques années avec des victoires et des belles places glanées. Situation de famille : Marié, 2 enfants Profession : Enseignant EPS Depuis combien d’années ou de temps pratique tu le trail ? Premier vrai trail : Aubrac 2007 Comment et pourquoi es-tu venu au trail ? Car malgré des objectifs  à l’époque un peu contradictoires avec le trail, l’envie de parcourir les grands espaces fut plus forte. Ton meilleur souvenir une paire de chaussure de trail aux pieds ? Difficile à dire… Individuellement mon top 10 mondial sur 100 bornes fut très fort, en sensation comme en sens. Ma première ligne d’arrivée d’un 100km également, ou ma seconde place à la Saintélyon. Plus jeune aussi, une 4° place aux France sur steeple, une 10° en cross.  Etc etc… que du plaisir tout ça, et pas forcément hiérarchisé ! Et puis de grands plaisirs, notamment l’été passé, à courir en nature, à l’envie, et en pleine montagne, juste pour les sensations et découvrir… et avec parfois, la tête dans les Templiers… qui restent un souvenir marquant également. Mais je garde un énorme souvenir d’aventures collectives : Un France cadet sur 4×1000, un autre avec Driss et une médaille sur 4x1500m, un relais de 100km à 4 dans une course de village. Mais bon, je reste convaincu que mon meilleur souvenir sera, sinon ma prochaine course, tout au moins à venir !   😉 Ta séance préférée ? J’aime, autant que je redoute les 1000m… C’est un étalon et un juge de paix impartial ! Que représente le team Terre de Running pour toi ? Profondément une aventure collective,  presque un défi, en même temps qu’une orientation logique vers les sports de nature, et une envie de partage. Le trail ou l’ultra trail auquel tu rêves de participer ? L’UTMB… et quelques courses dont mon beau frère américain me parlent… San Francisco par exemple. Sans parler de l’attrait que je porte au Népal… Et presque, avec ou sans dossard d’ailleurs ! Si tu devais te décrire en 3 adjectifs ? Passionné  – Humain … Gourmand ! Une citation que tu aimes et qui te parles ? Elles sont nombreuses, tant le sport est source d’inspiration, de morale, et de valeurs. Mais si j’avais à choisir, ce serait celle-ci : « J’aime la performance pour ce qu’elle représente dans la démarche et le chemin de l’homme, pour les pensées, les efforts, les conceptions, pour l’adaptation qu’elle demande. Mais je ne suis pas attaché à la performance pour la performance ». Patrick Berhault, dans “Sur le fil des 4000″ de Gilles Chapaz A part le trail, d’autres passions ? La famille, les amis quand j’ai le temps, le plein-air, et l’athlé avec mon club. Ton idole ( si tu en as ! ) ? Je ne conçois pas une idole, un champion sans qu’il n’y ait un Homme, un mec bien derrière. En ce sens, mes idoles sont mes proches au club, sains de corps et d’esprit, et humainement riches.  Pour ce que j’en sais, Haile Gebrselassie se rapprocherait de cette icone. Ton rêve le plus fou ? Sans hésitation, Voler ! Salé ou sucré ?  Euh… faut vraiment choisir ? Sinon, les deux ! Mais pas en même temps ! Ton dernier livre ? Born to run, je viens de l’acquérir… en anglais ! C’est un peu le livre à l’origine de la tendance minimaliste. Mais le meilleur livre, à lire et relire, reste La mort suspendue de Joe Simpson La chose dont tu es le plus fier ? Ce dont je suis fier, c’est peut-être lorsque j’arrive à percevoir que j’ai semé quelque germe chez les autres. Les paroles de parents d’athlètes que j’ai côtoyés de près, ou de jeunes devenus grands dont les retours, avec l’âge, sont plus profonds et parfois explicités… Mais là, je confonds peut-être fierté et plaisir … ? Tout en me plaisant à croire que je joue un petit rôle dans leur brillante vie…  

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