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Partagez l’expérience et les conseils de nos experts pour progresser dans votre pratique en running et trail : des conseils sur l’entraînement, la gestion de course, la diététique au quotidien et en course…

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Courir pendant ses règles, j’y vais ou pas ?

Oh la poisse, j’ai mes règles… La vie est franchement injuste. Non seulement les filles n’ont pas les mêmes capacités et la même physiologie que les hommes (force musculaire, taux de masse grasse…), mais en plus elles doivent composer avec leurs hormones. Quand une course approche ou qu’une séance importante se profile et qu’on constate avec consternation qu’on va avoir ses règles, le moral plonge dans les abysses du bidon de ravitaillement. Mais courir pendant ses règles n’est toujours pas évident ni agréable… Bien qu’ il n’y ait aucune contre-indication à la pratique du sport pendant la période des menstruations. on constate juste ces sensations et symptômes parfois franchement désagréables : Poitrine douloureuse Ventre gonflé Prise de poids Douleurs au ventre Nausées Fatigue Pertes de fer Par ailleurs, le jeu hormonal entraîne une laxité ligamentaire accrue et une sensibilité plus forte pendant certaines phases du cycle (certaines études ont pointé les 12ème et 14ème jours). Alors je fais quoi ? Je cours ou pas ? En fait, tout dépend de votre état. Si vous vous sentez franchement épuisée, si vos douleurs sont insoutenables, alors repoussez la séance difficile qui était prévue et remplacez-la par un simple footing tranquille. Vous pouvez même vous octroyer du repos, cela ne changera pas la face du monde et ne vous fera pas régresser ! Vous permettrez à votre organisme de récupérer un peu pendant cette phase où le fer s’enfuit et le système hormonal tourne à plein régime. Si vous voulez absolument vous entraîner ou qu’une compétition tombe au moment de vos règles, vous avez plusieurs solutions : Pour atténuer les douleurs, vous pouvez prendre un antalgique. Mais demandez conseil à votre médecin car tous ne sont pas recommandés ! Par exemple, l’aspirine présente un risque hémorragique : elle est donc à bannir absolument pendant les règles ! Vous pouvez aussi vous tourner vers des médecins douces (homéopathie, phytothérapie…). Vous pouvez adopter un mode de contraception qui décale ou supprime vos règles. Pas forcément recommandée par tous les médecins, la prise de la pilule contraceptive en continu présente un intérêt très simple : elle permet de vivre une compétition importante sans subir les désagréments des menstruations. Certaines femmes choisissent carrément une contraception qui supprime les règles (implant hormonal, stérilet hormonal…). Dans tous les cas, mieux vaut consulter votre gynécologue pour être sûre d’adopter la bonne stratégie ! Avoir mes règles quand j’cours, j’m’en tamPonne ! Bon, rien à faire, vous avez vos règles. Et vous êtes bien décidée à aller courir quand même ! En matière de protection, il faut être honnête : il n’y a pas de conseils universels. Certaines ne jurent que par les tampons, pratiques et confortables, tandis que d’autres ne les supportent pas et ne portent que des serviettes. Les adeptes des coupes menstruelles vantent leurs mérites alors que d’autres estiment qu’elles ne tiennent pas bien en place. Conclusion : testez tous les moyens possibles et imaginables… et choisissez ce qui vous convient le mieux ! Adaptez votre entrainemenT Vous pouvez continuer à courir pendant vos règles, mais nous vous conseillons d’adapter votre entraînement : décalez les séances difficiles, allégez votre programme… Si vous avez une compétition, prenez un antalgique uniquement si les douleurs sont insupportables et surtout ne testez rien de nouveau (type de protection, remède antidouleur…). Ne négligez jamais une aménorrhée et, surtout, oubliez l’idée selon laquelle « maigreur = performance ». Des études ont montré que des athlètes maigres en aménorrhée qui reprenaient du poids et retrouvaient un cycle menstruel amélioraient leurs chronos ! Focus sur le sport et les troubles du cycle menstruel Minceur, maigreur : attention danger ! Nous, les filles, subissons la dure loi de la minceur. Et ce encore plus dans le milieu des sports d’endurance où la masse grasse est chassée comme le diable ! Pourtant la quête de la maigreur a des conséquences négatives, voire dangereuses. Une diminution des masses grasse et corporelle entraîne des modifications hormonales. Associée à la pratique d’un sport d’endurance comme la course à pied, elle entraîne très souvent des troubles menstruels, voire carrément la disparition des cycles (aménorrhée). Plus de règles, plus de soucis pour courir ! Oui, mais la médaille a son revers : qui dit aménorrhée, dit notamment problèmes tendineux et musculaires et fragilisation osseuse (risques accrus de fractures de fatigue et, à plus long terme, d’ostéoporose). Charge d’entraînement : une corrélation avérée Il a été démontré qu’à partir de 6 heures de running hebdomadaires et d’une augmentation de la charge d’entraînement exposent les femmes à des perturbations du cycle menstruel : aménorrhée (plus de règles pendant 3 mois consécutifs) oligoménorrhée (règles espacées de plus de 6 semaines et survenues de 5 à 9 fois pendant une année), règles très courtes ou peu abondantes… Loin de vous pousser à arrêter de courir ou à diminuer votre volume d’entraînement, cette constatation vise surtout à vous inciter à consulter votre médecin pour que ces perturbations n’aient pas de conséquences délétères sur votre santé. Marie Paturel, journaliste et coureurse

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Quelle eau pour le coureur à pied ?

Guide pratique pour bien s’hydrater avant, pendant et après la course L’hydratation est un élément essentiel pour tous les coureurs quelle que soit la saison. Que vous soyez un marathonien chevronné ou un jogger du dimanche, il est crucial de comprendre l’importance de l’eau pour maintenir vos performances et préserver votre santé. Mais quelle eau choisir pour vos entraînements et courses ? Faut-il prévoir une boisson d’hydratation sportive ?  Voici un guide complet pour répondre à vos questions et vous aider à faire les meilleurs choix pour votre hydratation. Les besoins en hydratation du coureur : quand boire et combien ? L’hydratation ne se limite pas à boire de l’eau juste avant ou pendant la course. Voici quelques conseils pour optimiser votre hydratation tout au long de votre entraînement. Avant la course Il est essentiel de bien s’hydrater en amont, surtout si vous prévoyez une séance longue ou intense. Buvez environ 500 ml d’eau deux heures avant votre sortie. Cela permettra à votre corps de bien s’hydrater sans risque de gêne pendant la course. Pendant la course : La quantité d’eau à boire dépend de l’intensité et de la durée de l’effort. Pour une course de moins d’une heure, une simple gorgée d’eau toutes les 15 à 20 minutes peut suffire. Pour les courses plus longues, il est recommandé de boire entre 150 et 200 ml toutes les 20 à 30 minutes. L’objectif est de compenser la perte d’eau due à la transpiration. Après la course : Après un effort, il est primordial de réhydrater son corps. Boire environ 1,5 fois la quantité d’eau perdue pendant l’exercice peut être utile. Si vous avez beaucoup transpiré, optez pour des boissons contenant des électrolytes (sel et potassium) pour rétablir votre équilibre hydrique. Pourquoi s’hydrater ? Que l’on recommande de boire avant d’avoir soif ou, au contraire, de boire uniquement lorsque la sensation de soif se fait sentir, le résultat est le même : à un moment donné de la pratique sportive, il faut s’hydrater. Il faut même s’hydrater en permanence, autrement dit en amont, pendant et en aval de l’entraînement. Pourquoi ? Parce que l’eau est indispensable au bon fonctionnement de l’organisme. Un déficit hydrique engendre des problèmes de santé qui peuvent être particulièrement nuisibles à la performance (crampes, tendinites, fatigue…). L’eau est également un moyen d’éliminer les toxines via l’urine et de réguler la température corporelle via la sudation. Robinet ou bouteille : entre les deux, mon cœur balance Deux types d’eau peuvent être consommés : La bonne vieille eau du robinet Contrôlée étroitement, elle peut être bue sans crainte a priori, même si de récents reportages ont pointé d’un doigt inquiétant des pollutions chimiques. C’est parfois son goût (très variable d’une région à l’autre) qui peut rebuter. Aucune propriété particulièrement favorable à la santé ne la caractérise. L’eau en bouteille  on distingue deux sortes d’eau minérale embouteillée L’eau de source Issue de nappes souterraines et mise en bouteille à la source, elle ne présente aucun intérêt particulier pour la santé. L’eau minérale naturelle Issue de nappes souterraines et contrôlée étroitement, ses caractéristiques sont constantes. Elle possède des propriétés favorables à la santé. Et l’eau qui pique ? Parmi les eaux embouteillées, figurent évidemment l’eau plate, mais aussi l’eau gazeuse qui peut être : soit naturellement gazeuse ou renforcée au gaz de la source, soit gazéifiée avec du gaz carbonique, procédé utilisé en production industrielle ou à la maison avec une machine de type Sodastream. Comment choisir la bonne eau pour vous accompagner dans votre activité de running ? Les eaux se différencient par :– leur goût,– leur composition minérale. Pour le sportif, c’est surtout la composition minérale qui est intéressante car elle permet de choisir l’eau en fonction des besoins. Il faut toutefois garder à l’esprit que c’est avant tout l’alimentation qui apporte les sels minéraux indispensables au fonctionnement de l’organisme. Les minéraux contenus dans l’alimentation sont d’ailleurs bien mieux assimilés que ceux présents dans l’eau. Les eaux à privilégier au quotidien Au quotidien, le coureur à pied a intérêt à consommer de l’eau du robinet et des eaux normalement minéralisées, voire faiblement minéralisées. Il doit éviter les eaux trop riches en sodium et, à ce titre, se méfier des eaux gazeuses qui en recèlent souvent de grandes quantités. S’il veut boire de l’eau qui pique tous les jours, il privilégiera donc la Perrier ou la Salvetat. Côté eaux plates en bouteille, il adoptera de préférence la Mont Roucous et la Montcalm, mais pourra aussi consommer la Volvic, l’Evian et la Thonon. Les eaux à privilégier pendant l’effort Pendant l’activité sportive, les besoins du coureur diffèrent sensiblement. De l’eau plate agrémentée d’une boisson isotonique (60 g de sucre par litre maximum) sera bénéfique à la performance. Les eaux fortement minéralisées sont pertinentes pour les efforts d’une durée supérieure à 3 heures. Pour les efforts moins longs, une eau normalement minéralisée (eau du robinet incluse) s’avère suffisante. Les eaux en bouteille adaptées aux activités de plusieurs heures ou aux séances engendrant une forte sudation (fortes chaleurs ou sessions de sport en salle) sont l’Hépar, la Contrex, la Rozanna et la Courmayeur. Les eaux à privilégier après l’effort En phase de récupération, le corps a besoin de reconstituer son stock de sels minéraux perdus pendant l’activité sportive par le biais de la transpiration. Une eau riche en bicarbonates sera donc bienvenue. Par ailleurs, le gaz carbonique présent dans les eaux pétillantes favorise la récupération. La Saint Yorre, la Badoit et la Vichy sont donc particulièrement recommandées. Hydratation et course à pied, notre conclusion : Boire suffisamment d’eau est crucial pour maximiser vos performances, prévenir les blessures et maintenir votre bien-être lors de vos courses. Que vous choisissiez de l’eau plate, minérale ou gazeuse, l’essentiel est d’écouter votre corps et de vous hydrater régulièrement avant, pendant et après l’effort. En suivant ces conseils simples et pratiques, vous serez non seulement plus performant, mais aussi en meilleure santé ! Si le sportif peut varier les eaux qu’il boit afin de les adapter aux

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Runners, randonneurs et chiens comment cohabiter?

La cohabitation entre les chiens et les traileurs, runners, marcheurs, randonneurs, ou encore cyclistes, est un sujet récurrent de polémique qui fait souvent remonter des peurs parfois irraisonnées de pratiquants d’activités naturelles. Aujourd’hui nous partons à la rencontre de Nathalie Andri, éducatrice canine professionnelle dans les monts du Lyonnais (à retrouver ici : http://www.natanddogs.fr/), Bonjour Nathalie – merci de partager avec nous vos conseils de professionnelle pour adapter nos comportements avec les chiens que nous sommes amenés à rencontrer lors de notre pratique sur les chemins, les parcs …. « C’est avec plaisir que j’accepte d’échanger avec vous au sujet du comportement de nos compagnons les chiens envers les sportifs qu’ils soient joggers, marcheurs, cyclistes etc….. En effet, je m’aperçois au quotidien qu’il n’est pas facile de cohabiter dans un même environnement pour deux espèces différentes qui n’ont pas le même langage. Mon but est de vous aider à mieux comprendre, interpréter les intentions, les signaux de nos amis les chiens lors de vos rencontres pendant des séances sportives. » Quelles sont les clefs essentielles à comprendre pour une rencontre avec un chien ? « Il est indispensable que ce soit l’homme qui adopte les bons comportements, l’inverse n’étant pas obligatoirement en faveur d’un bon échange car le chien est un animal. Le chien ne peut avoir le discernement approprié pour analyser et réagir avec empathie par rapport au comportement inadapté de l’homme dans sa confrontation avec lui. Il va agir instinctivement pour sa survie. » La nature est effectivement à tout le monde – Comment le pratiquant de sport nature doit il se comporter pour faciliter ces rencontres avec des chiens ? « Dans un premier temps il faut déjà se rappeler que le chien est un animal domestique certes, mais un animal avant tout. Il n’est donc pas naturel pour le chien de percevoir les vélos et les joggers (et autres pratiquants) comme des éléments sans danger faisant partie de son quotidien. D’autant plus que le chien est doté d’un instinct de poursuite et qu’il est relativement élevé chez certaines races. C’est donc d’instinct que le chien poursuit. » Qu’est ce qui peut pousser un chien à attaquer un coureur, cycliste ou marcheur ? et comment réagir ? « Les différentes raisons qui peuvent pousser un chien à vous poursuivre sont les suivantes avec à chaque fois un comportement différent à adopter. Il est à noter que toutes ces raisons sont valables pour 95% des chiens qui ne sont pas « méchants » :  1- L’agression territoriale : Nous parlons dans ce cas présent d’un territoire mal défini, par exemple le terrain est non clôturé par le maître. Il peut également s’agir d’un territoire qui est sous la garde du chien. Dans ce cas, le chien ne sait pas où s’arrête son rôle de garde et en passant à proximité vous envahissez son domaine. Ce chien cherche à vous faire fuir car il se sent menacé par l’intrusion d’individus sur ses terres. Cela peut être le cas par exemple des Kangall ou Patou qui gardent leurs troupeaux. Dans une situation comme celle-ci, il est préférable de partir sans le menacer et plutôt en reculant ou en faisant des pas de côté (ne tournez pas le dos complètement). Lorsqu’il jugera que vous n’êtes plus menaçant et assez loin de chez lui il arrêtera de vous suivre. 2- L’agression par peur : Le chien tout comme l’homme peut avoir peur lorsqu’il perçoit une menace, ce sentiment lui permet d’assurer sa survie en milieu hostile. C’est le cas aussi des coureurs ou des marcheurs, lorsqu’ils ont peur, ils dégagent une odeur (et des phéromones), des attitudes « figées », … qui inquiètent le chien et paradoxalement lui font peur. Si un chien a été mal sociabilisé ou s’il a vécu un traumatisme lorsqu’il était chiot en période d’éveil et que la situation lui rappelle ce traumatisme il peut agresser, mais seulement s’il se sent dans l’impossibilité de fuir. Il faut donc dans ce cas ne pas menacer un chien qui a peur (oreilles baissées, queue rentrée entre les pattes arrière, postures basses …), ne pas l’affronter et suivre le comportement décrit ci-dessus : reculer sans tourner le dos complètement ou faire des pas de côté.  3- L’agressivité prédatrice : La prédation est un comportement naturel et instinctif, le chien avant sa domestication devait chasser pour manger. Bien qu’aujourd’hui ce ne soit plus le cas, cet instinct est encore très ancré chez certaines races. Ces sont notamment les chiens conducteurs de troupeaux comme les Border Collie, les bouviers d’Appenzell, les mâlinois, …. que les bergers continuent d’utiliser pour rassembler et surveiller les troupeaux. Ce chien peut effectivement pincer ou mordre plus facilement. Il est alors conseillé d’arrêter tout mouvement rapide (pied à terre pour les cyclistes ou marche pour les coureurs) pour ne pas attiser cette soif de poursuite et de faire le tour du troupeau. Tout devrait rentrer dans l’ordre si vous partez calmement sans crier ni vous affoler, toujours en évitant de tourner le dos de préférence. 4- Le chien joueur qui s’ennuie : Plus ou moins dans la même catégorie que la précédente, ce chien recherche plutôt le jeu, l’interaction, et c’est un chien plutôt sympa qui s’ennuie chez lui et manque de stimulations intellectuelles et physiques.  Il ne vous voudra pas de mal : accroupissez-vous pour l’inviter à vous rejoindre afin d’échanger – une caresse devrait le satisfaire, ce qu’il souhaite c’est qu’on s’occupe de lui, et vous repartez calmement. Ce chien risque de vous suivre tout au long de votre balade car il recherche de la compagnie. 5- Rencontre avec un congénère : Si vous êtes en balade avec votre propre chien et que vous rencontrez un congénère, il serait préférable de savoir lire les intentions de celui-ci pour éviter d’avoir les mauvais comportements par rapport à la situation. Pour cela, il faut déjà connaître son animal et savoir décrypter le langage canin. Quoi de mieux que de faire des cours d’éducation ! Il ne m’est pas possible de développer sur ce chapitre car la situation évoluera en fonction de l’attitude de chaque

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Nos conseils pour s’alimenter sur un Semi-Marathon

AVANT LA COURSE DE J-3 à J-1 Malto antioxydant Pour la recharge énergétique Le Malto antioxydant permet une augmentation de vos réserves énergétiques sur les trois jours qui précèdent l’épreuve, afin d’améliorer votre résistance et votre endurance à l’effort. Pendant les 3 derniers jours avant le semi-marathon, buvez chaque jour de manière régulière 150g de Malto antioxydant dilué dans 1,5L d’eau. LE MATIN DE LA COURSE Gatosport Pour un petit-déjeuner énergétique et digeste Ce sera votre dernier repas avant la course, qui vous apportera une énergie progressive et une haute digestibilité. Consommez entre un tiers et la moitié de Gatosport en terminant idéalement 1h avant le début de l’effort. LA DERNIÈRE HEURE AVANT LE DÉPART Boisson d’attente La boisson d’attente, pour stabiliser votre potentiel énergétique et maitenir votre taux de glycémie La boisson d’attente maintient votre potentiel énergétique et stabilise votre glycémie avant une épreuve. Elle atténue également les effets du stress. A boire par petites gorgées régulières pendant l’heure avant le départ. PENDANT LE SEMI-MARATHON Juste avant le départ Gel antioxydant Le gel antioxydant, pour apporter du magnésium Le gel antioxydant permet de soutenir l’activité musculaire tout au long de votre course. Le magnésium qu’il contient contribue au bon fonctionnement des muscles. Consommez un gel antioxydant juste avant le départ et buvez une à deux gorgées d’eau après. Au 10KM Gel Energix Le gel Energix, pour tenir la distance Le gel énergétique Energix est spécifiquement formulée pour les efforts prolongés. Il fournit l’énergie nécessaire pour maintenir votre efficacité sur la longue distance. Prenez un gel Energix au 10KM et buvez une à deux gorgées d’eau après. Au 15KM Gel coup de fouet Le gel Coup de fouet, pour un concentré d’énergie instantanée Le gel énergétique coup de fouet est votre meilleur allié pendant les efforts intenses (difficultés, dénivelé…) et à l’approche de l’arrivée. Prenez un gel coup de fouet au 15KM et buvez une à deux gorgées d’eau après. APRÈS LE SEMI-MARATHON Dès la fin de la course Barre protéinée La barre protéinée, pour mieux récupérer La barre protéinée et idéale pour la récupération post semi-marathon car elle a une teneur élevée en protéines (25%) et contient des BCAA. Prenez une barre dès la la fin du semi-marathon. Découvrez le pack Semi-Marathon PACK SEMI MARATHON Adoptez un apport énergétique sain et adapté à l’intensité de votre épreuve, avec le pack-semi marathon OVERSTIMS Contenu du pack semi-marathon : 1 boîte de gatosport 400g 1 bouteille de boisson d’attente 1 tube de gel antioxydant liquide 1 tube d’energix liquide 1 tube de coup de fouet liquide 1 ceinture porte dossard Découvrez l’ensemble des produits diététiques en magasin et sur notre site !

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Les bonnes postures pour une PPG efficace

La PPG est un ensemble de plusieurs exercices qui visent à renforcer ses muscles, ses articulations et son système tendineux. C’est le complément idéal à la pratique de la course à pied, que ce soit pour un 5km sur route très tonique, ou pour un Ultra Trail en montagne plus traumatisant. Nous vous présentions il y a quelque temps sur Terre de Runners les conseils de Julien Rancon, vice-champion du monde de Trail, sur les bienfaits du renforcement musculaire. Aujourd’hui c’est Pierre, notre Affilié Terre de Running des magasins de Saint Etienne Centre et de Saint-Etienne Montplaisir, qui vous donne en images les bonne postures à tenir sur 11 exercices connus de la PPG. Pensez à bien vous échauffer avant de commencer les exercices !Mini-footing, gamme de talon-fesse, montées de genou, légers assouplissements, pas chassés… Et c’est parti ! 1/ GAINAGE VENTRAL • Contraction abdominale et fessiers• Ouverture de la cage thoracique • Avant-bras largeur d’épaule• Pieds largeur d’un point 2/ GAINAGE COSTAL • Angle droit avant-bras• Contraction abdominale et fessiers 3/ GAINAGE DORSAL • Zone d’appui Talon/Avant-bras• Contraction abdominale et fessiers 4/ GAINAGE PONT • Zone d’appui Talon/Avant-bras• Contraction abdominale et fessiers• Genoux a 90°-Pieds à plat – Appuis sur les talons et les omoplates• Contraction abdominale et fessiers• Alignement Epaules/bassin/genoux 5/ GAINAGE BRAS TENDU • Bras tendu – Mains largeur d’épaule – Ecart des pieds largeur d’un point• Contraction abdominale et fessiers• Jambes tendues 6/ GAINAGE COSTAL BRAS TENDU • Maintenir l’alignement Pieds/Bassin/ épaules• Contraction abdominale et fessiers 7/ GAINAGE DORSAL BRAS TENDU • Alignement épaules/bassin/talons• Contraction abdominale et fessiers ATTENTION A NE PAS DESCENDRE LE BASSIN EN DIRECTION DU SOL 8/ FENTES • Garder le dos droit durant tout l’exercice• L’angle des genoux est de 90°• Le genou de devant ne doit pas dépasser la pointe de pied à la descente, et doit rester dans l’alignement du pied• L’écartement des pieds est la largeur du bassin, et ils doivent rester parallèle pendant toute la descente• Contraction de la sangle abdominale durant toute la durée de l’exercice 9/ SQUAT • Descendre comme si on voulait s’asseoir sur une chaise• L’angulation du genou ne doit pas dépasser 90° à la descente• Les pieds doivent être parallèles • Les genoux ne doivent pas dépasser les pointes de pieds en descendant, et doivent rester dans l’alignement des pieds.• Garder le dos droit• Contraction de la sangle abdominale durant toute la durée de l’exercice• Contraction des fessiers en position debout 10/ POMPES • DEPART : Mains serrées/ Largeur des épaules• Contraction abdominale et fessiers – garder l’alignement de départ 11/ CHAISE KILLY • Genoux 90° – Pieds à plat – Dos droit• Contraction abdominale – Épaule basses• Pas d’appuis avec les mains sur les cuisses • Zone d’appuis tête/omoplates/ Bas du dos• Ecart des pieds deux points (largeur du bassin)

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L’intérêt du sodium chez le coureur

Lorsque l’on démarre la course à pied, souvent on ne part qu’avec ses baskets ! Lorsque l’on s’améliore et que l’on augmente sa vitesse ou la distance, on s’interroge sur les solutions pour limiter les perturbations et améliorer sa performance. Overstim.s marque de nutrition française vous apporte des clés et une compréhension de l’intérêt du Sodium chez le sportif. Quelle est la différence entre le sel et le sodium ? Commençons par les bases : le sel alimentaire que vous utilisez tous les jours en cuisine est aussi appelé chlorure de sodium (NaCl). Il est donc composé de Chlorure (Cl) et de Sodium (Na). Le sodium est l’élément qui nous intéresse et 1 g de sel (NaCl) contient 394 mg de sodium.  Les rôles du sodium chez le sportif d’endurance En course à pied, il est important d’apporter du sodium à votre organisme. À l’effort, on perd du sodium dans la sueur et les sportifs qui ne s’hydratent qu’avec de l’eau pure ne comblent pas ces pertes en sodium. Ce phénomène est encore plus marqué lorsqu’il fait chaud, si votre effort est long, intense ou si vous transpirez beaucoup. Des symptômes peuvent alors apparaître comme de la fatigue, une déshydratation, des troubles musculaires (crampes)… Afin de contrer ce risque, pensez à consommer des produits et des boissons énergétiques salés. Pourquoi la boisson d’effort est-elle importante ? L’eau pure, bien que désaltérante, ne compense pas les pertes minérales et énergétiques au cours de l’effort. Un exercice pratiqué par forte chaleur augmente les pertes sudorales. Cela augmente les besoins en vitamines et minéraux, notamment en sodium. Vous mettrez donc en péril la réussite de votre objectif sportif (hypoglycémies, fringales, baisse de vigilance…). Si vous souhaitez aller au bout de votre épreuve, la solution sera de consommer une boisson énergétique dont la composition nutritionnelle répond aux besoins d’une pratique sportive. Overstim.s propose des boissons énergétiques adaptées aux sports d’endurance et qui sont dosées en sodium selon votre type d’effort, sa durée et son intensité. La boisson Electrolytes zéro calorie apporte 626 mg de sodium par litre. Avantages : Pas d’apport calorique pour des entraînements de courte durée ou sous de fortes chaleurs Saveur non sucrée Riche en vitamines et minéraux La boisson Hydrixir Longue Distance apporte 667 mg de sodium par litre. Avantages : Idéale pour des entraînements de plus de 3 heures Apport énergétique avec 4 sources de glucides + protéines et BCAA N’attendez pas le rejet du sucré pour agir Vos muscles ont besoin de sucre pour fonctionner sur des longs efforts. Cependant, il peut arriver que les sportifs n’arrivent plus à consommer de produits sucrés à cause de la saturation du goût sucré. Pour casser la saturation du sucré OVERSTIM.s vous propose les barres ORIGIN BAR salées que vous consommerez ponctuellement au cours de l’effort en alternance avec la gamme de produits sucrés. Origin Bar salée amandes et noix de cajou Le saviez-vous ? La consommation de pastilles de sodium est fortement déconseillée ! En effet, l’apport massif de sodium sous forme de pastilles de sel est contre-indiqué. Leur concentration, très supérieure à celle des aliments, retient le sodium dans l’estomac. L’organisme, pour se rééquilibrer, rappelle alors l’eau vers l’estomac. Ce dernier se gorge d’eau au détriment des muscles qui se déshydratent. L’absorption de ces pastilles aggrave le risque de déshydratation et de crampes, ainsi que la survenue de troubles digestifs. Overstim.s a développé un comprimé beaucoup moins dosé en sodium qui correspond parfaitement aux besoins des sportifs qui courent longtemps ou sous de fortes températures : le complément Salt Electrolytes.

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Tout savoir sur les Glucides pendant le sport avec Atlet

Les glucides, c’est de l’énergie ! Elles sont indispensables aux cellules glucodépendantes (neurones, cellules musculaires,…) et au fonctionnement du cerveau. Leur digestion permet d’obtenir le glucose nécessaire à de nombreuses cellules. Atlet, une marque de nutrition Française 100% bio à retrouver dans vos magasins Terre de Running, vous donne des conseils sur l’assimilation des glucides avant, pendant et après vos courses ! Il en existe deux familles : les glucides simples (sucres rapides) et les glucides complexes (sucres lents). Les premiers (glucose, fructose, saccharose et lactose) sont rapidement assimilés et entraînent alors une élévation rapide et intense de la glycémie. Ils sont présents dans les fruits, mais aussi dans la plupart des produits transformés… Les seconds, issus de l’amidon contenu dans les produits céréaliers, les féculents et les légumineuses, sont absorbés et diffusés dans l’organisme de façon plus lente, et procurent de l’énergie sur une plus longue période. Le ratio idéal est de 2/3 de glucides complexes, de préférence avec des produits complets, non raffinés pour 1/3 de glucides simples, de préférence avec des fruits et légumes. Conseil n°1: Éviter toute fluctuation de la glycémie L’apport alimentaire avant/pendant et après l’effort est intimement lié à la notion de performance et dépend de trois paramètres principaux : la disponibilité initiale en glucides (stock de glycogène) dans le foie et les muscles. l’apport en glucides (simples/ sucres) pendant l’effort (au-delà de 1h30 d’effort). la qualité (intensité/rapidité) de la resynthèse des stocks en glycogène (adaptation hépatique gagnée par l’entraînement). Conseil n°2: Gérer sa nutrition avant l’effort Voici quelques recommandations de nutrition avant une course ou un effort intense : 1: augmenter les réserves glycogéniques À partir de J-3 : augmenter l’apport glucidique afin d’augmenter les réserves glycogéniques. Il devra atteindre 55 à 60% de l’apport énergétique total. Les aliments à IG (Index Glycémique) moyen seront à privilégier. 2 : privilégier les glucides complexes Avant-veille et veille : prendre des repas riches en glucides complexes (60% de la ration) : pâtes, riz, semoule, pain… Ils serviront à deux principes essentiels: combler la faim et assurer un stock suffisant de glycogène au départ et ainsi prévenir l’hypoglycémie et ses conséquences (symptômes: faiblesse, sueur, angoisse, jambes molles…) pendant la durée de l’effort. 3: apporter un complément de glucides Dernier dîner de la veille : apporter un complément de glucides, sans engendrer de troubles digestifs ni perturber la glycémie : éviter alors les légumes fibreux (artichauts, salsifis, choux…), les graisses cuites au profit d’une huile crue ajoutée après cuisson, de fruits bien mûrs ou de compotes. 4: apporter des sucres complexes Dernier repas pré-compétition/petit déjeuner : prendre le repas 3h00 avant l’effort (délai permettant un meilleur confort digestif, une bonne assimilation du glucose et la stabilisation de la glycémie avant la course) et apporter essentiellement des sucres complexes. Éviter d’avaler des sucres simples qui feraient chuter considérablement la glycémie au bout d’une heure (ne pas boire de jus de fruit, de boissons énergisantes ou coca avant le départ). Conseil n°3 : Adapter ses apports énergétiques en fonction de ses dépenses En prenant en compte quelques chiffres : 1 g de glucides = 4 calories Pour un homme bien portant (ration à 2600 Kcal) : 260g à 355 g/ jour Pour une femme bien portante (ration à 2100 Kcal) : 210g à 290 g/ jour Conseil n°4: Favoriser les sucres à index glycémique faible ou modéré Le sirop d’Agave : composé principalement de sucres simples (fructose et glucose) en proportion variable selon l’espèce et la maturité des agaves utilisées. Le fructose du sirop d’agave est pur et ainsi assimilé très rapidement par l’organisme humain. Il s’agit d’un apport intéressant pour le maintien de la glycémie dans le cadre d’une pratique d’endurance. Le sucre de fleur de coco : apporte vitamines et minéraux (polyphénols, potassium, zinc et fer) contrairement au sucre blanc, qui fournit des calories vides. Il est riche en vitamines B et C, et contient aussi une forme de prébiotique appelée inuline. Il est composé à 70-80% de saccharose (moitié glucose et moitié fructose) face à 99,7 % pour le sucre blanc. Il est donc intéressant dans les apports pendant l’effort : 10% sera disponible tout de suite, et 90% dans les 20 minutes. Le + : comparé aux autres sucres, c’est la production la plus écologique : les cocotiers restent en place et continuent à donner des fleurs qui serviront à produire noix de coco, sucre, alcool, vinaigre… Le miel : essentiellement composé de sucres, mais contient également environ 17 % d’eau. Le reste des nutriments sont des acides aminés (dont le BCAA), des minéraux (potassium, magnésium et zinc) et des vitamines qui présentent l’avantage d’être hautement assimilables (Vitamine A, B1, B2, B3, B5, B6, B8, B9, C et K.). On le choisit pour son index glycémique intermédiaire, mais aussi pour ses propriétés antalgiques, anti-inflammatoires, antiseptiques, tonifiantes, stimulantes (en fonction du miel choisi, si naturel et non raffiné). Pour découvrir l’ensemble des produits Atlet et obtenir des conseils sur la nutrition sportive, rendez-vous dans votre magasin Terre de Running et sur votre site. Article de Caroline JOUCLA, nutritionniste-diététicienne Diplômée d’Etat

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Prévention des blessures et aide à la reprise d’activité avec les orthèses Thuasne

Afin de vous accompagner dans votre pratique sportive notamment dans une optique santé; prévention des blessures et reprise d’activité, les magasins Terre de Running complètent leur gamme de protections articulaires avec la marque Thuasne Sport. Spécialisée notamment dans les orthèses pour sportifs,  4 produits Thuasne Sport seront à votre disposition en magasin. 2 genouillères et 2 chevillères couvrant les blessures les plus courantes des runners. Retrouvez en magasins, les modèles d’orthèses suivants : GENOUILLÈRE ROTULIENNE La Genouillère rotulienne renforcée multisports Thuasne vous apporte confort et maintien. Indications :  instabilité, tenditinite, subluxation ou luxation  rotulienne, douleur cartilagineuse de la rotule, entorses bénignes des ligaments latéraux du genou, reprise du sport après entorse bénigne et traumatisme du genou. Les plus Thuasne : Un anneau amortisseur rotulien en mousse pour un centrage et une stabilisation optimale de la rotule. Zone de confort au niveau du creux poplité (face postérieure du genou). Bon maintien : baleinage latéral souple Tricot élastique :  une compression homogène sur l’articulation et une meilleure proprioception ( perception des repères du corps dans l’espace ) GENOUILLÈRE DE MAINTIEN RENFORCÉE Genouillère de maintien renforcé intégrale multisports. Indications : Instabilité chronique et gêne articulaire. Reprise du sport après entorse bénigne et traumatisme du genou. Les plus Thuasne : Le tricot élastique exerce une compression homogène sur l’articulation Améliore la proprioception ( perception des repères du corps dans l’espace ) Zone de confort au niveau de la rotule et du creux poplité. Baleinage latéral souple assurant un bon maintien CHEVILLÈRE STRAPPING Chevillère ligamentaire stabilisatrice avec strapping multisports. Indications :  Traitement fonctionnel des entorses bénignes et moyennes du ligament latéral externe ou interne. Reprise d’activité et du sport après entorse moyenne ou grave. Les plus Thuasne :  Sanglage de maintien « en 8 » bidirectionnel (pour entorse du ligament latéral externe ou interne) préservant la flexion-extension. Sur-épaisseur plantaire pour plus de confort. CHEVILLÈRE DE MAINTIEN RENFORCÉE Chevillère de maintien renforcé intégrale multisports (football, basketball, handball, tennis, running, …). Indications : Entorses bénignes de la cheville du sportif. Reprise du sport après entorses et traumatismes de la cheville (y compris après chirurgie). Les plus Thuasne :  Le tricot élastique exerce une compression homogène sur l’articulation Améliore la proprioception ( perception des repères du corps dans l’espace ) Zone de confort au niveau des malléoles   Ces modèles sont issus due l’expérience et du savoir-faire médical reconnu fiable et de qualité dans les 3 domaines d’intervention de la marque : orthèses, compression et sous-vêtements. Retrouvez les modèles d’orthèses Thuasne Sport dans les magasins Terre de Running et sur www.terrederunning.com Qui est Thuasne Sport ? Marque du Groupe français Thuasne spécialiste des solutions de santé au service de la mobilité́ depuis plus de 170 ans, Thuasne Sport propose des produits destinés à la prévention des blessures et à la reprise d’activité́ chez les sportifs au travers de 3 catégories : orthèses, compression et sous-vêtements. Thuasne est partenaire de nombreux athlètes, coureurs et traileurs tels que Sylvain Court, Emmanuel Meyssat, Alexandre Fine et Nathalie Mauclair. Des orthèses et des  brassières La marque sera également présente en magasin avec sa gamme de brassières de sport disposant du concept breveté TOP STRAP  qui apporte confort et maintien lors de votre activité sportive.     Présentation complète à venir.   Demandez conseils à nos équipes en magasin.  

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Les 8 conseils de BAOUW pour renforcer vos défenses immunitaires

Notre partenaire en nutrition sportive BAOUW, dont nous vous présentions récemment les nouvelles recettes des barres 100% bio, vous donne 8 astuces naturelles pour se protéger du coronavirus. C’est le nutritionniste, ostéopathe et coach sportif reconnu Benoit Nave, membre fondateur de Baouw, qui nous l’explique sur le blog de la marque ici : https://www.baouw-organic-nutrition.com/articles/105/8-astuces-naturelles-pour-se-proteger-du-coronavirus Retrouvez les produits BAOUW dans tous nos magasins Terre de Running et sur www.terrederunning.com

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Quand faut-il changer de chaussures de Running ?

Cette question que se pose grand nombre de coureurs suscite beaucoup d’interrogations : « Mes chaussures ont déjà 2 ans, dois-je les changer ? », « Elles semblent un peu usées, mais ça peut attendre… », « J’ai un peu mal au genou, est-ce à cause de mes baskets?« …S’il existe autant de réponses qu’il y a de chaussures et de pratiquants, certains éléments sont à prendre en compte comme l’explique Mathieu Lafontaine, osthéopathe à Paris-5ème. Le moment pour changer de chaussures de running dépend principalement de la fréquence, du modèle, de votre foulée, de votre poids, mais aussi du type de terrain sur lequel vous courez. En moyenne, l’ensemble des équipementiers et acteurs du running évalue le changement des chaussures de course entre 500 et 1000 km. En effet, après un certain temps d’utilisation, la structure de la chaussure ainsi que ses propriétés se modifient ; d’autant plus dans le cas de chaussures techniques qui peuvent perdre leurs fonctionnalités et altérer vos performances. De plus, les déformations de la chaussure induisent une perte de stabilité et de soutien. Les risques principaux sont soit la blessure directe si le maintien n’est plus optimal, soit l’apparition progressive de douleurs. La méthode la plus sûre pour savoir quand changer de chaussures est de les faire contrôler par un spécialiste. Les principales pathologies que peuvent provoquer des chaussures de running usées sont : Le syndrome de l’essuie-glace La périostite tibiale L’aponévrosite plantaire À quel moment doit-on changer de chaussures ? Comme nous l’avons évoqué plus haut, les chaussures s’usent différemment selon votre foulée, votre poids, mais aussi le type de terrain sur lequel vous courez. Les conseillers Terre de Running sont là pour vous aider à déterminer l’état d’usure de vos chaussures. La moyenne se situe entre 500 et 1000 km, mais certains indices permettent de savoir quand changer de chaussures de running : Perte d’éléments de la semelle sous la chaussure Le talon qui devient trop mou et se comprime facilement à la pression Affaissement de plus de 2 cm du talon par apport à la forme initiale Apparition de plis au niveau de la semelle Usure du grip de la semelle Usure asymétrique des semelles Apparition de douleurs après la course Inclinaison de la chaussure quand elle est posée sur une surface plane Conseil pour augmenter la durée de vie de vos chaussures Sur le plan théorique, il faut 48 heures pour qu’une chaussure retrouve pleinement sa forme et ses capacités. Il est donc conseillé d’avoir deux paires de chaussures pour les personnes courant plus de deux fois par semaine. De plus, il est fortement recommandé de ne pas les mettre à la machine ni au sèche linge bien sûr ! Enfin, les chaussures ont des propriétés bien spécifiques ; de ce fait il est conseillé de les porter uniquement pour courir et surtout sans sac à dos notamment pour les coureurs ayant une approche talon. Rendez-vous dans vos magasins Terre de Running pour faire contrôler l’état de votre paire de chaussures par des spécialistes ! Article rédigé par Mathieu Lafontaine, ostéopathe du sport à Paris.

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