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La Tromso race vécue et racontée par Fabien Antolinos

Au mois de Janvier je parcourais le calendrier international et tombait sur des images de la Tromso Sky Race en Norvège, des sommets à traverser, un parcours original en aller retour, des fjords, des arêtes de rocher, du vide, de l’engagement pour une course estampillée Kilian Jornet. La famille ne connais pas ce pays, la course à pied est souvent l’occasion de découvrir alors nous décidons d’y aller !!! Extrême SKY RUNNING quésaco ? La course en quelques chiffres et une carte   Départ arrivée à Tromso (au bord de la mer), 57km, 4600m de dénivelé, 237 concurrents au départ, 98 finishers. Deux sommets de 1200 et 1400 mètres à franchir, deux fois pour le premier… beaucoup de hors sentier, des pentes raides, des arêtes aériennes, des torrents à traverser dans une eau de 3 à 5 degrés, de la proprioception sur les multiples rochers !!! Expérimentation du sky running Je vais vous livrer mes sensations sur la course et essayer de donner ma définition du SKY RUNNING au travers de mon ressenti sur cette Tromso Sky Race : S comme Simplicité : Un écriteau à la main dans un hôtel de Tromso te dit quand venir chercher ton dossard, pas de flyer pour d’autres courses, pas de sac plastique, pas de puce à mettre au pied, pas de certificat médical à présenter… juste un dossard et un tee-shirt. Pas de matériel obligatoire, juste un coupe vent. A l’arrivée c’est thé bio, assiette de pâtes et pâtisseries locales, on te sert avec ou sans dossard. Emelie Forsberg commente, prend des photos et des vidéos, interview, fait la remise des récompenses… K comme Kilian : La course tracée par Kilian Jornet est à son image, c’est raide, engagé, vertigineux, les difficultés ne sont pas contournées mais affrontées directement toujours en passant au sommet. Y comme « Y faut y aller » : Premier exemple, au top du premier sommet le Tromsdalstind tu bascules de l’autre côté et là je me suis arrêté, j’ai pris mon souffle puis me suis lancé dans un névé dur incliné à 45° qui donnait sur des rochers et des pentes glissantes tout aussi raides. Après une descente directe il faut traverser des torrents jusqu’aux genoux dont l’eau vous serre les mollets. Quand tu arrives sur le dernier sommet, le Hampeokken, une arête de rocher se découpe et là tu dois escalader les premiers blocs rocheux et te retrouves sur le fil avec du vide des deux côtés… encore une respiration avant d’ « y aller » !!!   R comme Raide : Ce qui différencie nos courses de trail habituelles et cette course de sky running c’est la raideur du relief, les pentes sont gravies au plus court, au plus direct, à la montée comme à la descente à tel point qu’on doit souvent se tenir à la végétation ou au rocher pour avancer ! U comme Unique : Je n’imagine pas la possibilité d’une telle course en France du moins sans cordes fixes, baudrier, casque, sélection des participants, quand tu es dans la course tu te dis il faut profiter du moment car c’est original… N comme Nature : Jamais sur une course de trail je n’ai eu autant l’impression d’être autant entouré de nature. On doit courir parfois hors sentier, hormis sur le départ arrivé il n’y a aucune maison, route, signe de civilisation durant tout le parcours. Pas de fléchage ou de bombe de peinture, juste quelques rubalises et des fanions. Tu prends ton ravitaillement dans les torrents ou lacs rencontrés en plus des quelques points de l’organisation. Dans la première ascension nous avons croisé un troupeau de Rennes d’une vingtaine de bêtes. N comme « No rules » : Si les règles existent, elles sont réduites au stricte minimum et pour les sky runneurs la règle c’est d’être le plus direct entre deux points. Aussi, malgré les sentiers parfois existants chacun se fait sa trajectoire la plus courte possible. Dans la première petite descente je m’évertue à tracer de belles courbes sur un joli sentier. Les gars me doublent à gauche dans un virage à droite et me disent « cut, cut !!! », bon d’accord… I comme Images : Les paysages sont souvent à couper le souffle du fait de la verticalité et de la profondeur de vue. N comme Niveau de performance : Difficile pour moi de me faire une idée sur la concurrence que je connaissais peu. Je termine 4ème à 4 minutes du podium et de Michel Lanne pour une course absolument pas préparée avec la fatigue du voyage et des nombreuses sorties et ascensions réalisées quelques jours avant la course. Ce qui est certain c’est que dans les dix premiers de nombreux team internationaux sont représentés et également de nombreuses nationalités différentes. J’ai l’impression que le sky running gagnerait cependant à clarifier son calendrier, à ne pas multiplier les courses sur les mêmes périodes pour rassembler son élite sur des courses spectaculaires avec une forte concurrence. G comme « gaufre » : Tomber, glisser c’est normal, il faut juste se préparer à la chute et essayer de ne pas se faire mal !   Pour conclure, cette expérience de course originale m’a vraiment plu, j’ai profité du cadre exceptionnel norvégien, du parcours tourmenté et aérien tracé par kilian. Je ne recommande cependant cette aventure qu’aux initiés à la montagne pour lesquels le vertige n’est pas un problème, ceux qui savent utiliser leurs mains pour progresser dans les rochers, poser les pieds sur une arête d’un demi-mètre de largeur et à ceux que marcher ne rebute pas sur une compétition.   Fabien

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Nouveauté SUUNTO : SPARTAN TRAINER WRIST HR

Avec la nouvelle Spartan Trainer Writs, Suunto combine la polyvalence d’une montre GPS multisport compacte et légère La gamme des montres de sport Suunto Spartan s’agrandit aujourd’hui avec le lancement de Spartan Trainer Wrist HR – une montre GPS multisport mince et légère pour les sportifs assidus. D’une taille considérablement réduite par rapport à ses aînées, la montre Spartan Trainer propose cependant des fonctionnalités polyvalentes et bien pensées pour l’entraînement, un contrôle de l’activité quotidienne ainsi que la mesure de la fréquence cardiaque au poignet, une technologie mise au point par Valencell, le spécialiste de la biométrie. Une montre plus petite et plus légère que la gamme Spartan commercialisée à partir de 279€ Fonctionnalités Pour vous accompagner au quotidien et garder la forme, le suivi des informations et la personnalisation ont été revus : les graphismes en couleur clairs et faciles à suivre qui apportent des informations 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 ainsi que des récapitulatifs. des affichages personnalisables et des fonctionnalités d’entraînement sont proposées pour tous les types de sports, grâce à la mesure de la fréquence cardiaque et à la détection de mouvement au poignet poids de 56 grammes design discret qui s’adapte à tous les poignets même les plus fins étanchéité à 50m autonomie de 10 heures (jusqu’à 30 heures avec les options d’économie d’énergie) GPS intégré pour mesurer la vitesse, l’allure, la distance et l’altitude. 80 modes sportifs préinstallés Les affichages dédiés à la course à pied, au vélo ou encore à la natation apportent des renseignements pertinents en temps réel. la navigation GPS assortie d’une vue du chemin emprunté (la trace « Petit Poucet ») est idéale pour découvrir aisément de nouveaux itinéraires et de nouveaux lieux et toujours retrouver son chemin fréquence cardiaque au poignet par Valencell une technologie de pointe au niveau mondial   Modèle à découvrir prochainement dans vos magasins Terre de running et sur www.terrederunning.com

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Ils ont fait du Trail, la maîtresse de leur vie !

Terre de running Toulon a accueilli 3 nouveaux coureurs. Sportifs et coureurs passionnés on découvre leurs portrait, leurs objectifs et leurs beaux projets pour la saison 2017 Hervé Del Gaudio (44 ans), David Depetris (46 ans) et Philippe Manavella (51 ans) sont heureux de rejoindre la team Terre de Running Toulon pour cette nouvelle saison 2017. Ils partagent leur passion Ces trois sportifs passionnés et investis accumulent de manière quasi insoutenable les séances d’entraînement au quotidien. Course à pied, Trail ou encore cyclisme sur route… les entraînements se situent le plus souvent sur les contreforts du Faron, là où le terrain est pentu, rocheux et varié. Depuis 2008, les 3 coureurs mais aussi amis dans la vie se sont donc astreints à une discipline de fer pour mener à bien leurs objectifs d’épreuves au long cours. Ils restent en ce sens sur des épreuves « longue distance » de premier ordre ces dernières années. Objectif « Echappée Belle » Désormais, ils concentrent tous leurs efforts et leurs courses sur ce qu’ils considèrent comme l’objectif primordial de la saison ou peut-être même de leur vie, à savoir l’Echappée Belle, les 25, 26 et 27 août 2017. Cette traversée intégrale de la chaîne de Belledonne de Vizille (Isère) à Aiguebelle (Savoie) d’une distance totale de 144 km pour 11 000 m D+, est pour eux l’aboutissement de plusieurs années d’entraînements et de souffrances. La team Terre de Running de Toulon est pour eux l’occasion de découvrir l’envers du décor, prendre le temps d’observer, d’échanger, de voir comment vit un groupe mais aussi de se perfectionner grâce à des professionnels aguerris. La Team Terre de Running, présidée par Didier Ronsin, leur a gentiment ouvert ses portes, leur offrant l’opportunité de vivre une expérience humaine et sportive unique. Sincérité, simplicité, humilité, une devise que la team Terre de Running et les 3 nouveaux trailers partageront avec fierté ! PALMARES DAVID DEPETRIS Palmarès : SaintéLyon – 72 km (2014, 2016) Trace des Ducs de Savoie TDS – 119 km (2016) Ultra Trail de Vulcain – 72 km (2016) Maxi Race Annecy – 83 km (2016) Gap’en Cimes – 55 km (2012, 2015) Trail de la Sainte Baume – 46 km (2013) Verdon Canyon Xtrail – 52 km (2015) Courchevel XTrail – 54 km (2014) Snow Trail Ubaye – 22 km (2013) Ardéchois Trail – 59 km (2017) High Trail Vanoise – 70 km (2017) Projets : SaintéLyon – 72 km (2017) UTMB – 171 km (2018) L’Echappée Belle – 144 km (2017) PALMARES HERVE DEL GAUDIO Palmarès : SaintéLyon – 72 km (2014, 2015, 2016) Trace des Ducs de Savoie TDS – 119 km (2016) Ultra Trail de Vulcain 72 km (2016) Gap’en Cimes – 55 km (2012, 2015) CCC – 101 km (2015) Verdon Canyon Xtrail – 52 km (2015) Courchevel XTrail – 54 km (2014) Ardéchois Trail – 59 km (2017) High Trail Vanoise – 70 km (2017) Projets : UTMB – 171 km (2018) SaintéLyon – 72 km (2017) L’Echappée Belle – 144 km (2017) PALMARES PHILIPPE MANAVELLA Palmarès : SaintéLyon – 72 km (2016) Ultra Trail de Vulcain 72 km (2016) Gap’en Cimes – 55 km (2012, 2015) Courchevel XTrail – 54 km (2014) Trail de Bormes les Mimosas – 30 km (2012) Trail de la Sainte Baume – 46 km (2013) Ardéchois Trail – 69 km (2017) Projets : SaintéLyon – 72 km (2017) UTMB – 171 km (2018) L’Echappée Belle – 144 km (2017)

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Accrochez-vous avec la nouvelle Speedgoat 2 Hoka One One

Dernière nouveauté trail de la marque franco-américaine HOKA ONE ONE, la nouvelle SPEEDGOAT 2  a été bien améliorée.   Les coloris sont tendance, il n’y aura pas de jaloux entre traileurs et traileuses ! Sa nouvelle version offre notamment un mesh renforcé, une semelle plus large (et pas le chaussant !) pour une meilleure stabilité. lle est d’ailleurs dotée de la technologie VIBRAM pour une accroche sur tous les terrains et toutes les conditions et garde les plus HOKA; à savoir un drop faible de 4.5 et un poids léger pour une chaussure de trail (276g et 232g). Inspirée par l’ultra-traileur Karl Meltzer et par des profils de course comme l’UTMB pour évoluer tant en plaine qu’en haute montagne,  la nouvelle Speedgoat 2 est un modèle plein de promesses…     A découvrir et tester dans les magasins Terre de running et sur www.terrederunning.com/speedgoat-2.html  

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Courez en légèreté et en confort avec les Salomon Sense Ride

Aujourd’hui c’est Mervin, vendeur-conseil à Terre de running Limonest et runner assidu qui vous parle du nouveau modèle Salomon Sense Ride après l’avoir testé sur les sentiers…     La nouvelle Salomon SENSE RIDE est un subtil compromis entre confort et légèreté ! Salomon sense ride, A conseiller si… : Vous êtes « léger » (recommandée < 80kg) Avec mon gabarit léger, je souhaitais une chaussure « poids plume » pour des trails polyvalents: la Sense Ride répond parfaitement à mes attentes. Vous cherchez de l’accroche Coté semelle, son grip est marqué et procure une très bonne accroche dans toutes les conditions. La semelle est bien là pour durer car malgré des nombreux passages sur la route et dans des terrais très secs et caillouteux, il n’y a aucune trace d’usure majeure apparente. La semelle « Contagrip »  procure effectivement une très bonne adhérence sur tous les terrains. Vous voulez quand même de l’amorti J’ai vraiment été surpris par l’efficacité de la technologie VIBRE (opal + EnergyCell) qui apporte de la douceur sur tout le déroulé du pieds et filtre parfaitement les passages sur routes. Les autres points forts : Les habituels points forts de chez Salomon sont toujours présents avec : une tige robuste, confortable et protectrice une voute marquée et le laçage rapide. Caractéristiques :  275gr – universelle – Drop 8 mm Je la recommande à tous les coureurs évoluant sur des terrains et des courses aux profils variés.   Disponible dans vos magasins Terre de running et sur www.terrederunning.com

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En confort et en confiance avec les Nike Pegasus 34

Mathilde runneuse addict et membre de Terre de running Toulon nous fait son retour  sur les NIKE Pegasus 34. Version améliorée de la 33 Voilà maintenant un mois, j’ai eu la chance de recevoir en test les petites dernières de Nike. Ayant déjà usé 2 paires de Pegasus 33 je connaissais bien la gamme et je n’ai pas été déçue. Comme les 33 on retrouve des chaussures qui allient amorti et dynamisme grâce à la technologie Zoom Air située au niveau du talon mais également au niveau de l’avant pied. Elles s’adressent donc à des coureurs à la foulée universelle, quelle que soit l’attaque du pied au sol (talon ou médio pied) pour des run plutôt sur route ou chemin. On retrouve également les câbles Flywire qui permettent un bon maintien du pied et de la voûte plantaire pendant la course. LES CHANGEMENTS Ce qui change : Le design : les câbles sont cachés par l’empeigne et il n’y a plus le talon réfléchissant.  L’empeigne sans couture en tissu Flymesh qui se veut plus respirant pour plus de confort. AVIS ET UTILISATION Mon avis : pas de surprise par rapport aux Pegasus 33, je les ai enfilées comme des chaussons et retrouvé des sensations similaires ! Concernant l’empeigne, honnêtement difficile à dire si mes pieds « respirent » plus lorsque je cours surtout avec la chaleur de ces dernières semaines…. Si vous êtes habitués aux Pegasus 33, vous ne prenez pas beaucoup de risque en les remplaçant par les 34 ! Pour ma part elles ont remplacé ma paire de 33 un peu fatiguée sur mes footing, sorties longues, séances de PPG et même mes sorties vélo ! Pour les séances sur piste, elles peuvent être bien pour commencer, mais si vous avez un peu « de pied » elles vont paraîtront lourdes par rapport à des chaussures plus minimalistes qui privilégient légèreté et dynamisme à l’amorti ! Caratéristiques : – 295g (homme 44) / 247g (femme 39) – Drop 10mm Les Pegasus 34 sont disponibles dans vos magasins et sur www.terrederunning.com

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Notre avis sur la M430 Polar

On a testé la montre GPS Cardio Polar M430. Voici notre retour d’expérience suite à quelques semaines de running et de prise en main. POlar M430, entre la M600 et la M400 La M430 est la dernière née de POLAR. C’est l’évolution de l’efficace M400 avec le cardio poignet en plus. Cette nouveauté est sortie en début d’année avec trois couleurs de bracelets (gris, orange, blanc) au prix de 229€ et elle se place entre la M400 (vendue à 129€ chez Terre de running) et le M600 (vendue 329€ en magasin et en ligne).   M430 : montre GPS et plus.. Cette montre est avant tout une montre GPS, donc elle permet de calculer la distance parcourue, la vitesse instantanée et la vitesse moyenne. Dotée d’un nouveau capteur de fréquence cardiaque avec 6 leds, sa précision est correcte comparée à une ceinture cardio à la poitrine. On retrouve le look d’une M400 avec un design qui manque un peu de travail par rapport à la concurrence. On retrouve dans le logiciel de la montre, un outil facile à prendre en main. Cette montre est étanche jusqu’à 30m permet le suivi d’activité (sommeil, pas…) peut se connecter avec un téléphone permettant de recevoir notifications, sms et mails sur la montre en présence de votre téléphone. vous retrouverez des plans d’entrainements directement via Polar pour vos différents objectifs. Prise en main de la M430 Maintenant en regardant la montre de plus près, elle est très facile à prendre en main avec des fonctions simples que l’on découvre dans le menu avec par exemple un test fitness qui permet de calculer des données physiologiques de l’utilisateur. En parcourant le menu, on arrive facilement aux activités avec bon nombre de sports renseignés. Le signal GPS est plutôt facile à avoir, précisons quand même qu’il est préférable de s’éloigner des arbres et des habitations pour le trouver plus rapidement. Nouveauté Nouveauté sur la M430 : un enregistrement GPS sur trois paliers : 1 s, 30 s ou 60 s. => L’intérêt est de pouvoir choisir la précision du GPS selon l’activité pratiquée. Cela influence grandement l’autonomie de la montre puisqu’elle passe de 8h (1 s) à 30h (60 s). Egalement, on retrouve la l’alerte par vibration que nous n’avions pas sur le M400. Connexion Polar Flow L’interface pour échanger avec la montre est Polar Flow que vous retrouverez en application pour téléphone et tablette ou sur internet. Il est possible de réaliser beaucoup de choses avec cette plateforme. Un petit temps de découverte vous permettra de mieux comprendre son organisation.   En résumé : la M430 Polar est une montre multisport assez complète et facile à utiliser avec des plans d’entrainement adaptés à chacun, un cardio poignet qui permet de gagner en confort sans utiliser la ceinture à la poitrine. Seul bémol, son design qui est peu travaillé au regard de la concurrence.

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Guides nutritionnels trail et running par Overstim’s

La marque de diététique sportive Overstim’s vient d’éditer 2 guides sur la nutrition en running et trail. Il s’agit de 2 guides pratiques qui abordent les thèmes de l’alimentation au quotidien, de conseils, de l’aliment avant-pendant et après l’effort.   Pour les consulter : guide_nutritionnel_running_overstims guide_nutritionnel_trail_overstims     La gamme Overstim’s est disponible dans les magasins Terre de running et sur www.terrederunning.com    

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Premier IronMan pour Hugo !

Hugo Altmeyer, vendeur à Terre de running Décines membre du team TDR régional et du team Scott, est un coureur accompli qui aime les défis. Après son bon résultat aux France de duathlon (14ème) il participera à son « objectif » de l’année : l’IronMan de Nice. Portrait de ce sportif qui partage son temps entre ses passions… Hugo, peux tu te présenter ? J’ai 25 ans, j’ai un master en Finance de marché et je travaille actuellement à mi-temps au magasin terre de running de Décines pour concilier plus facilement mon entrainement, le travail, le repos et les loisirs. J’ai grandi côté de Reims où habitent encore mes parents. Là-bas je faisais du tennis et du foot avant de partir à 15 ans en Haute-Savoie pour faire du biathlon qui était un rêve pour moi. La course à pied était jusqu’à mes 19 ans une activité annexe avant d’arrêter le biathlon et je m’y suis mis plus sérieusement pour des raisons anecdotiques et des défis à relever. Par exemple, quand j’ai effectué mon année d’échange à Moscou et que j’avais arrêté le sport pendant les 2 années d’avant, j’allais à la salle de sport 4 fois par semaine où je ressemblais plus à un gymnaste qu’à un coureur ! Puis au printemps je me suis dit qu’il était temps de recourir donc je me suis inscrit à mon 1er marathon à Lyon, j’ai été sérieux dans ma prépa et je l’ai fini en 2h30 du coup je me suis dit que j’avais fait le bon choix en m’y remettant. Tu es un coureur multi-terrain (trail, route, trai) mais cette année ton principal objectif sera l’Ironman de Nice. Pourquoi ce choix et comment t’organises-tu pour tout concilier? Par les différents sports que j’ai pratiqué, je me suis rendu compte que j’avais des qualités d’endurance et de vitesse. Je suis plutôt polyvalent dans les sports et vu mon gabarit, des copains sportifs m’avaient dit que je devais essayer le triathlon, sauf qu’à l’époque, j’avais ni vélo de route et je ne savais pas nager le crawl 😉 Donc pour aller dans leur sens, et après avoir encouragé un ami à moi à l’Ironman de Nice en 2015,  je me suis décidé à faire cette course avant mes 30 ans ! La fin de mes études a accéléré ma décision, car j’ai décidé d’arrêter la Finance et la vie à Paris pour me lancer dans l’Ironman cette année, revenir à Lyon pour mieux m’entraîner et faire également pas mal de courses sur route et trail. N’aimant pas prendre mes défis sportifs à la légère, je savais que pour l’Ironman il fallait beaucoup de temps pour s’entraîner et faire mon apprentissage en triathlon du coup je travaille qu’à mi-temps. Après c’est moi qui m’auto-gère sur mon programme, je suis assez flexible en fonction de la météo, des horaires de piscines, de la pollution, de mes envies et d’où je suis car je bouge beaucoup pendant mes jours de repos, mais j’essaye de garder une trame globale. Globalement je fais mes journées « volume » en milieu de semaine, plus cool le vendredi et samedi, puis les compétitions le dimanche. La préparation n’a pas été monotone et longue d’un point de vue mental, vu que j’ai fait beaucoup de courses (23 en 2017) et sur des profils variés, et je change souvent mes coins d’entrainement. De plus, j’ai continué à profiter de ma jeunesse entre les amis, les festivals de musique et les autres petits plaisirs sans trop de privations mais tout en gardant une très bonne hygiène de vie pour bien assimiler les grosses semaines (en moyenne 20h/ sem) et les courses sans se blesser. Quelles sont tes ambitions pour ce premier IronMan et comment vas-tu gérer la course? Malheureusement cette année je bascule dans la catégorie 25-29 ans, c’est donc mission quasi impossible de faire un top 3 dans cette catégorie dû au retard que je vais prendre en natation du coup je me suis juste fixé un objectif de temps sous les 10h. Sur la natation vu que c’est un départ par vague, je vais essayer de me mettre dans les premiers concurrents afin d’éviter « le gros du trafic ». Puis sur la 1ère partie en vélo  où il y a le gros du dénivelé, je dois faire mon effort pour profiter de mes qualités de grimpeurs ensuite la fin du parcours est roulante donc il faudra les optimiser et bien s’hydrater et manger afin d’avoir assez de jus pour attaquer le marathon que j’espère faire -de 3h où le mental dira à mes jambes de continuer à avancer encore et toujours ! Et je pense que la foule de spectateurs le long de la promenade pour nous encourager sera juste une bouffée d’énergie. À titre personnel, j’espère aussi qu’il fera chaud car c’est là où j’ai le plus mes chances 😉 Quelle sera la suite de ta saison? As-tu déjà organisé la suite de ta saison? Après une petite pause, je vais reprendre par le trail, avec notamment l’Ultraks à Zermatt fin août, puis le Bike & Run de l’Ancilevienne mi septembre que j’avais remporté l’année dernière avec un ami. Enfin, retour sur marathon avec Lyon début octobre et j’espère celui de Reims 2 semaines après. Pour finir par d’autres courses comme l’urban trail nocturne de Lyon et la Saintéxpress. Je vais être moins gourmand que l’année dernière où j’avais du abandonner sur la SaintéLyon après 50 km..   Merci et bonne course Hugo !

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