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Thibaut Garrivier tente la CCC

Après une belle 3ème place lors des Championnats de France de Trail long et un début de saison bien rempli, Thibaut Garrivier (Team Hoka – TDR Lyon) s’est octroyé une petite pause régénérante. Néanmoins, il ne chômera pas au mois d’août avec la préparation de la CCC, un test sur un format clairement plus long que ce qu’il a pu expérimenter jusqu’à présent. Petit bilan d’avant course. Thibaut comment vas tu depuis les France de trail?. Peux tu revenir sur ta prestation? Je suis globalement satisfait du résultat pour 2 raisons : l’objectif de podium est réalisé et c’est une course de plus affirmant ma régularité cette saison avec une nouvelle place d’honneur que je prends bien volontiers vu le travail d’amont effectué… Le seul bémol avec du recul est que je n’étais pas dans un jour de grande forme, et que la stratégie de course était sûrement trop ambitieuse, mais aucun regret. Depuis j’ai pris 2 semaines de vacances et de coupure totale de sport qui m’ont bien régénérées. Début août, j’ai été accueilli par la station de Val Thorens pour passer une belle semaine en montagne et participer aux VT Summit Games. J’ai accompagné Julien Chorier dans son Grand Tour de la Tarentaise ce qui m’a permis de partager son défi et de m’imprégner de son expérience sur ultra…il y a un sacré chemin à parcourir avant d’atteindre de telles capacités physiques et de gestion…et je ne parle même pas du mental et de l’engagement psychologique dans l’effort: une leçon de vie bluffante!   Tu participes prochainement à la CCC, comment vas tu aborder ce long format? C’est le point d’orgue de la saison ! Après être monté progressivement en puissance sur des formats plus longs (presque 8h de course), c’est encore une sacrée marche à franchir avec certainement plus de 11(-12) h de course… La prépa aura été un peu particulière avec la coupure, mais elle était nécessaire, et je mise aussi sur la fraîcheur car c’est ma 1ère année d’ultra, et mine de rien il faut absorber tout cela physiologiquement. J’y vais déterminé mais humble avec un objectif mesuré, plutôt personnel dans ce contexte très relevé: rentrer à Chamonix sur mes 2 jambes en ayant fait une course régulière. Je suis conscient que la performance sur format long demande plus de temps et d’expérience que ce que je n’ai actuellement: cela sera une prise de repères primordial pour la suite. Un objectif de place est impossible pour moi car je n’ai aucun repère sur ce format et les courses y sont de plus en plus relevées. J’ai hâte d’y être mais avant ça encore 3 belles semaines de préparation pour pouvoir encaisser ces nombreuses heures de course.   As-tu prévu une suite après la CCC? Après la CCC il y aura forcément une nouvelle coupure complète de plusieurs semaines, ce d’autant que je vais participer au trail de Bourbon à la Réunion fin octobre (111k, 6500+). J’y vais dans l’optique de découvrir l’île et d’engranger de l’expérience sur la distance sur un terrain plus hostile qu’à Chamonix. Je pense que l’expérience devrait me plaire et j’irai donc passer 1 mois sur place histoire de profiter du lieu et de ma disponibilité (d’hôpital). Il sera ensuite temps pour moi de rentrer 😉  

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Protocole nutrition sur la TDS par Fabien Antolinos

A quelques semaines de la TDS, Fabien Antolinos nous livre ses conseils et son protocole nutrition, avant-pendant et après l’effort avec les produits de notre partenaire Nutrisens Sport. Je n’utilise que des produits énergétiques principalement sans Gluten pour une meilleure digestibilité. 72h avant l’épreuve 1,5L de Pro Dextro saveur Thé Pêche par jour pour la recharge glucidique. La veille de la course, j’opte pour une part de gâteau énergétique saveur Fruits rouges ou Chocolat selon l’envie. Le matin de la course, je prends une à deux parts de ce même gâteau énergétique avec de la compote de pomme et une tisane. Avant le départ 1/2L de boisson énergétique AC+ saveur Mandarine givrée pour attendre. Pendant la course : j’alterne deux boissons énergétiques avec principalement du AC+ mandarine givrée à raison de 1/2L heure au moins toutes les deux à trois heures une boisson de récup (speed récup saveur cerise cassis ou citron cactus) plus riche en acides aminés. Pour m’alimenter je vais essentiellement manger des Jelly Bar (pâtes de fruits avec des saveurs variées) à raison de une pâte par heure d’effort. Je peux aussi selon le besoin prendre un gel Tonik’s liquide et toutes les 4h une crème lactée de récupération nommée Récup 10 saveur chocolat.  Pour ceux qui aiment davantage le solide les « 9 Bar » au Potiron sont excellentes. Après la course, la Crème Récup 10 saveur chocolat et deux heures après l’arrivée un milk shake de récupération hyperprotéiné au chocolat « Récupération Pro« .   Bien sûr tout cela a été testé pendant des entraînements ou des courses et correspond à Fabien. Vous pouvez vous en inspirer mais il est indispensable de s’approprier les goûts et les textures et surtout de les tester notamment lors de vos efforts longues durées. N’hésitez pas à demander conseils à nos équipes en magasin. Retrouvez les produits Nutrisens dans les magasins Terre de Running et sur www.terrederunning.com Bonne fin de prépa et bonne course à tous/toutes !

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Conférence Nutrition pour préparer et réussir votre Run in Lyon !

Vous préparez l’une des distances de Run in Lyon? Stimium (gamme de nutrition et compléments) vous propose, en partenariat avec les magasins Terre de Running de Décines, Craponne, Lyon et Limonest une conférence gratuite animée par Isabelle Mischler (nutritionniste sport et fondatrice du site Nutrimove) sur le thème : Nutrition et complémentaires alimentaires, conseils pour réussir votre course. Dates et inscriptions A quelques semaines de votre objectif, les conférences s sont idéalement placées et se déroulent à partir de 19h. Gratuit mais inscription obligatoire. 11/09/2018 : à Terre de Running Craponne 14/09/2018 : à Terre de Running Lyon 21/09/2018 : à Terre de Running Décines 20/09/2018 à Terre de Running Limonest   Pour vous inscrire cliquez ici

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Travailler le fractionné en montée

La séance de fractionné fait partie du quotidien notamment des coureurs en recherche de progression et de dépassement. De différents types, elle permet de progresser dans bien des domaines, indispensable pour envisager de performer en fonction de son potentiel. Sur le plat, les séances d’intervalles ou de fractionné sont relativement bien maitrisées du grand public grâce à des mesures de VMA (Vitesse maximale Aérobie). Chaque séance peut être calibrée en termes intervalles de distances ou de temps, de vitesse, de temps et d’intensités de récupération, du nombre de répétitions et de séries en fonction de la qualité physiologique que l’on veut travailler. Pour les courses d’endurance on parle alors de Capacité Anaérobie Lactique (CAL), Puissance aérobie (VMA), endurance de Puissance (Temps de soutien à des intensités proches de VMA), seuil 1, seuil 2….. Pourquoi et comment fractionner en montée? Mais quand il s’agit de travailler en montée, les gens ont souvent du mal à s’y prendre. Pourtant au niveau physiologique, il n’y a pas vraiment de différences. Le système cardio-vasculaire travaille de la même façon. La composante qui diffère est l’aspect musculaire. D’une part le mode de contraction musculaire devient prioritairement concentrique (au lieu de pliométrique sur le plat) et les angulations au niveau de la jambe et du tronc sont modifiées D’autre part le fait d’élever le corps vers le haut demande plus de force (d’endurance de force ou de puissance en fonction du temps d’effort). C’est souvent ce deuxième paramètre qui fait défaut et qui va souvent limiter les facteurs physiologiques. Dans le jargon on dit souvent que l’on sature musculairement avant de saturer cardiaquement. Avec le coût énergétique c’est souvent ce paramètre qui fait la différence entre deux coureurs de même niveau sur la plat. Alors si il est possible de développer la force par du renforcement musculaire, de la musculation ou du vélo, il peut s’avérer très intéressant de le faire en même temps qu’un développement physiologique, complètement contextualisé avec du fractionné en montée. progressivité dans la pente et l’intensité ! Un des grands principes de base sera d’augmenter progressivement la degré de pente de manière à ce qu’on ne soit pas trop limiter par la force pour développer la qualité que l’on cherche à développer spécifiquement (PMA, endurance de PMA, seuil….) Ainsi on pourra passes de pentes faibles (+/-5%,) à de vrais « raidars » à 30% (dans la période de préparation spécifique, il conviendra bien évidemment de se rapprocher du profil de la course préparée). On peut également pallier ce retard de force au cours de la pré-saison en incluant à l’entrainement des séances de capacité lactique en montée. Ces séances sont accessibles à tous, une petite rampe suffit pour des intervalles courts courus proche du maximum. On restera dans le domaine de l’anaérobie avec un gros travail de puissance de puissance musculaire. Ce travail en anaérobie aura double effet car on remarque que même sur des courses d’endurance le système anaérobie est plus sollicité que sur des courses à plat du même format à plat, du fait du niveau de force requis plus élevé et de variations d’intensité dues aux variation de pente. Faîtes vous confiance ! Dans le domaine de la Puissance aérobie, du temps de soutien à des intensités hautes et du seuil, on pourra procéder de la même manière que sur le plat en termes d’intensités, de durées, de temps de récupération, de nombre de répétitions et de séries… tout en gardant à l’esprit cette notion de progressivité dans la pente. On ne parlera alors pas souvent de distance d’intervalles mais de temps et le principal enjeu sera de maîtriser l’intensité qu’on ne peut contrôler comme sur une piste ou une portion de route étalonnée. Ici on pourra parler de VMAa (VMA ascensionnelle) ou de PMA (Puissance Maximale aérobie) au lieu de VMA que l’on pourra éventuellement mesure par un test d’effort maximal sur 5 ou 6’. Malgré tout cette VMAa ou PMA est relativement dépendante de la pente et de la nature du terrain et sera donc peu reproductible d’un endroit à l’autre (à moins d’avoir un tapis roulant inclinable), d’autant que les pentes sont très rarement vraiment régulières. Et si sur des intervalles longs les données de dénivelé indiqués par les montres GPS barométriques seront utiles au même titre que la fréquence cardiaque, sur des fractions courtes cela sera beaucoup moins valable. L’expérience et la maîtrise des différentes intensités par le ressenti seront souvent le meilleur indicateur. Cela demande un peu plus d’expérience et d’écoute de ses sensations et des signaux de son corps. Exemples de séances Voici quelques exemples de séances de fractionné en montée en fonction du domaine physiologique sollicité : Capacité Anaérobie lactique : – 12*30’’ à intensité proche du maximum pour 30’’ – récupération retour départ en trottinant (1’10’’ à 1’30’’) – 5*45’’ – 5*30’’ -5*20’’ à intensité proche du maximum pour chaque durée d’effort – récupération retour départ en trottinant Puissance Aérobie : – 2*8*(50’’/40’’) R=3’30’’ : 50’’ effort à +/-100%PMA avec 40’’ de récupération trot en descente / 3’30’’ entre les séries – 3*7*(45’’/15’’) R=2’30’’ : 45’’ effort à +/-95%PMA avec 15’’ de récupération en trottinant en descente / 2’30’’ entre les séries – 14*(1’/1’) : 1’ à +/-95%PMA et récupération en descendant activement jusqu’en bas Endurance de Puissance Aérobie : – 8*3’ r=1’30’’ : 3’ à +/-90%PMA, récupération 1’30’’ trot en descente – 2’-3’-4’-5’-4’-3’-2’ r=1/2 tps effort : de +/-90 à 85%PMA, récupération trot en descente ou en montée – 6*4’ proche de 90% PMA avec récupération active en redescendant jusqu’en bas (petit travail excentrique par la même occasion) Séance typée « seuil 2 et 1» : – 3*10’ à +/-85%PMA r=2’30’’ trot en descente ou en montée – 4*8’ entre 85 et 90%PMA avec redescente actives jusqu’en bas (petit travail excentrique par la même occasion) – 2*20’ à +/-80%PMA r=5’ à 7’   Conseils : Toutes ces séances sont précédées d’un échauffement complet (footing progressifs + gammes + accélérations) et suivies d’un retour au calme classique d’une dizaine de

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Sportihome, des hébergements et destinations pour les sportifs !

Start up créée en 2017 à Montpellier par Sylvain Morel et Fred Diaw (photo ci-dessous) , Sportihome est une plateforme collaborative regroupant un guide des spots sportifs et une offre d’hébergements  à proximité de ces lieux de pratique. Leur leitmotiv est « Vivons nos sport plus fort ensemble ». Simple et ludique, cette nouvelle plateforme offre aux voyageurs (sportifs)  la possibilité de composer leur séjour à la carte en seulement quelques clics.   Le concept : D’un côté des hôtes passionnés d’un ou plusieurs sports et de l’autre, des voyageurs souhaitant loger chez des personnes ayant les mêmes affinités sportives qu’eux. ET un guide des spots recensant les lieux de pratique sportive et les conseils donnés par les locaux. Un bon moyen de partager sa passion sportive et d’être guidé localement sur les meilleurs spots de son sport. Parce que chacun est différent dans sa pratique sportive, la notion de partage et l’hébergement, le concept est basé sur 3 notions : Stay : (juste héberger)  Vous voulez simplement proposer un logement ou être hébergé chez un hôte pratiquant les mêmes sports que vous. Stay & Share : (héberger et conseiller sur les spots) Vous aimez partager des bons plans sur des pratiques locales, échanger des conseils et aller à la rencontre d’autres passionnés comme vous. Stay, Share & Play : (héberger, conseiller et partager une sortie ensemble) Vous êtes partant pour partager des sorties sportives avec vos vacanciers ou vos hôtes si l’occasion se présente. Les sports 46 sports outdoor référencés et une communauté qui grossit de façon exponentielle. Dix disciplines particulièrement affinitaires sont mises en avant : kitesurf, windsurf, surf, parapente, escalade, alpinisme, équitation, randonnée, VTT, cyclisme et le trail ! A ce jour, la plateforme regroupe 18 000 membres, plus de 1650 spots et 4150  logements dans 22 pays allant de 10€ à plus de 1000€ la nuit. Des chiffres qui augmentent significativement chaque semaine avec la communauté.   Vous n’avez plus alors qu’à choisir votre sport, vos dates et à réserver ! www.sportihome.com  

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Pegasus 35, une version qui conforte la légende

Bruno, coureur assidu membre du Team Terre de Running Craponne et fidèle à Nike avec notamment 10 ans de versions successives de Pegasus, teste donc la dernière version de ce modèle « légendaire » qui l’a déjà accompagné sur plusieurs marathons ainsi que la SaintéLyon. Idéal pour comparer et apprécier cette nouvelle version. Nos runners sont aussi des poètes 😉 LOOK : Une couleur qui étonne, un profil qui cartonne, me voilà à essayer la nouvelle Pegasus 35 le long du canal de la Somme. Chaussé de mes nouvelles Pegasus 35 vert canard, je suis ravi de fouler le chemin de halage en plein cagnard ! Maintien et nouveautés : Je suis comme d’habitude toujours aussi bien maintenu et le chaussant encore plus précis avec la nouvelle languette avec encoches. Habitué au confort Nike avec plus de 10 ans de Pegasus, je ne suis pas déçu avec cette nouvelle monture. L’arrière profilé rajoute visuellement du dynamisme à la chaussure et les premières foulées confirment que le dynamisme est à la hauteur du confort légendaire du modèle. De plus, elle est encore plus légère que la précédente (285 G au lieu de 303 G en taille 10 US). Usages : J’ai eu l’occasion de courir sur terrains variés (bitume, chemins gravillonneux, sous bois) et cela m’a confirmé la polyvalence de cette chaussure. Les qualités de la Pegasus sur terrains mixtes sont excellentes. Attention cependant à l’empeigne sur le devant qui pourrait se déchirer si l’utilisation était trop nature ! J’avais déjà eu l’occasion de tester le modèle sur une Saintelyon et une trentaine de marathons sans soucis particuliers … Tellement habitué et confiant sur le confort du modèle, j’ai couru mon 42 ième marathons à Lyon en 2017 avec une paire de Pegasus 34 achetée la veille au magasin TDR !   En conclusion : Je suis ravi de chevaucher une fois de plus « Pegase cheval ailé » jusqu’au Marathon d’Athènes afin de rendre hommage à ce modèle mythique qui m’accompagne depuis tant d’années.   Retrouvez les Pegasus en version Hommes et Femme dans les magasins Terre de Running et sur www.terrederunning.com 

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Toutes les nouveautés et exclusivités chaussures running et trail

En cette période estivale, les nouveautés chaussures commencent à arriver pour le plus grand bonheur des runners et trailers ! En chaussures, de nouveaux modèles, coloris, des innovations et des exclusivités magasins spécialisés… Exclusivité magasins spécialisés On se démarque chez les spécialistes running avec des modèles ou des coloris dédiés. Petit tour d’horizon. Hoka One One : – La gamme Evo regroupe une nouvelle version de la Mafate Speed Evo, la Jaws (modèle de trail/course en montagne/montée sèche légère et dynamique) et la Tracer 2. – Les amateurs de Speed Goat retrouveront la version 2 avec dès juillet des coloris exclusifs TDR.   Chez Adidas, la gamme « performance » Adizero avec les modèles Adios et Boston 7 séduira les coureurs Homes et Femmes pour les courses (10km, Semi ou Marathon) ou les entraînements rapides.   Chez New Balance : retrouvez les modèles 880 V8 et 860 V8 réservés aux magasins spécialisés. . La 860 est une chaussure dédiée aux foulées pronatrices. La stabilité est donc de mise sur ce modèle confortable et dont la tige thermocollée permet l’absorption des chocs. Idéales pour la route et es chemins sur les entrainements ou les courses de moyennes et longues distances.   Le 880 est une chaussure universelle pour un usage mixte (route et chemin). Technologies NB pour favoriser l’amorti, le maintien et le confort avec notamment des lacets élastiques. Mizuno : des modèles uniquement disponibles en magasins avec sort une nouvelle version et un coloris dédié de la Wave  Sky 2. Egalement disponibles les modèles Ultima et Horizon. Améliorations sur la Sky 2 : une nouvelle tige qui introduit la technologie AeroHu permettant d’offrir à la fois liberté de mouvement et maintien du pied pendant toute la durée de l’effort.   Nouveautés running et trail Hoka One One : la Clifton 5 ravira les amateurs d’amorti, de légèreté et de confort avec son effet marshmallow. Attendue également en août, la Bondi 6 ainsi que des nouveautés en trail avec notamment le modèle Torrent léger, performant et dynamique.   Chez Nike on retrouve le modèle incontournable et amélioré de la Pegasus 35. Cette version propose notamment des améliorations et technologies adaptées à la morphologie féminine. Chez Adidas, la nouvelle gamme Solar et ses modèles Solar Boost, Solar Energy, Solar Glide apporte encore plus de précision, de stabilité et de légèreté. Innovation aussi côté conception avec la nouvelle technologie – TFP – qui s’inscrit dans une logique d’éco-responsabilité.                   Mizuno : le modèle incontournable Wave Rider sera disponible en août avec sa version 22 (disponible en août). Un modèle revu et amélioré avec une nouvelle semelle intermédiaire = dynamisme et un meilleur confort , des espaces d’amorti élargis pour une meilleure absorption de l’impact, des encoches de flexion plus nombreuses, plus larges et plus profondes pour une meilleure articulation du talon, un talon plus souple et un amorti optimisé. La Semelle a été élargie pour plus de stabilité au moment de la réception et le nouveau design de la semelle offre plus d’accroche et de durabilité.   Saucony : la nouvelle collection Whitenoise a fait déjà parlé d’elle avec son look moderne et urbain disponible dans les modèles Ride, Jazz, Triumph Vous retrouverez aussi en magasin les nouvelles versions des modèles RIDE ISO, Freedom Iso, Triumph…. Altra : la marque minimaliste Altra sort une nouvelle version de son modèle Torin 3.5.  Les changements sur ce modèle sont un nouveau mesh intégral offrant confort, durabilité et respirabilité et le système de laçage pour plus de maintien au niveau du coup de pied. Le modèle trail Lone Peak 4.0 a évolué pour proposer un mesh encore plus résistant et imperméable. Le nouveau laçage et la languette augmentent le maintien au niveau du coup de pied. Au niveau de la semelle intermédiaire, la nouvelle technologie Stone Guard permet de gagner en légèreté et flexibilité. La semelle extérieure gagne en durabilité. Brooks : la version 13 de la Cascadia a été améliorée pour proposer encore plus de stabilité et de protection grâce à des renforts pour protéger les pieds lors de vos trails. Une languette intérieure conçue pour épouser la forme du pied apporte confort et aération. La semelle d’usure est plus moelleuse. New Balance : un nouveau coloris pour la version très apprécié deu modèle trail Hierro. Mizuno : la célèbre Mujin revient avec une version 5 plus agressive. Toujours dotée de la semelle Michelin, le grip et la traction ont été revus avec notamment un système de semelle auto nettoyante. La plaque Wave Concave en éventail garantit une stabilité efficace. Les plaques de protection permettent à la foulée de s’adapter aux irrégularités du terrain. Saucony Le modèle phare de la gamme trail, la Xodus Iso 3 connaît des évolutions avec notamment une nouvelle semelle Powertrack en monobloc pour améliorer la résistance, l’amorti Everun sur l’ensemble de la semelle pour un meilleur amorti et le laçage isIofit pour un meilleur maintien des protections extérieures de l’orteil.   Une chaussure polyvalente très rassurante, stable avec une bonne protection du pied. Lire notre test en avant-première sur la Xodus Iso 3. Salomon : Une modèle attendu de la Sense Pro avec une version 3 qui va évoluer. Altra : le modèle trail Lone Peak 4.0 a évolué pour proposer un mesh encore plus résistant et imperméable. Le nouveau laçage et la languette augmentent le maintien au niveau du coup de pied. Au niveau de la semelle intermédiaire, la nouvelle technologie Stone Guard permet de gagner en légèreté et flexibilité. La semelle extérieure gagne en durabilité.     Un large choix de chaussures running et trail aux caractéristiques et aux lokks diférents. Venez les essayer et testez l’analyse de foulée par vidéo dans l’un de nos magasins.

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L’effort en altitude, acclimatez-vous !

L’été n’est pas seulement synonyme de farniente sur le sable. Il est aussi la pleine période des trails de montagne qui proposent fréquemment de grimper en altitude. Or cette dernière n’est pas sans effet sur le coureur à pied. La mode du trail running se traduit par la multiplication des épreuves, notamment en montagne. Il est désormais banal de courir à des altitudes auxquelles on n’osait pas s’aventurer autrefois sans grosses chaussures de randonnée et sac à dos bien rempli. Aujourd’hui, les parcours proposent fréquemment des passages à plus de 2 000 ou 3 000 mètres d’altitude, comme sur la Skyrace de Montgenèvre (qui accueillait le week-end dernier les championnats de France) ou le Trail Verbier Saint Bernard (qui s’est déroulé le week-end dernier en Suisse). Pourtant, évoluer à de telles hauteurs – qui plus est en courant ou en essayant de courir – n’est pas anodin, loin de là ! Que ce soit à la montée, lorsque l’effort se fait intense, ou à la descente, lorsqu’on est tenté de lâcher les chevaux alors qu’il faut rester particulièrement vigilant pour éviter la chute, l’altitude n’est pas sans impact sur l’organisme du trailer. Altitude = hypoxie ! L’altitude a un lien direct avec l’oxygène disponible dans l’air : plus on monte, moins la pression atmosphérique est élevée (hypobarie) et moins la pression en oxygène est forte (hypoxie). Par conséquent, on éprouve davantage de difficultés à respirer, la quantité d’oxygène étant de plus en plus faible. Ce n’est pas seulement en très haute altitude que l’hypoxie a des conséquences sur l’organisme. Ses effets se font sentir en général au-delà de 1 000 mètres d’altitude – sachant toutefois que les « symptômes » diffèrent énormément d’un individu à l’autre : entre 1 000 et 2 000 mètres, on peut ressentir les effets de l’altitude lorsque l’intensité de l’effort est élevée ou lorsqu’on est assez mal préparé physiquement ; entre 2 000 et 5 000 mètres, des symptômes peuvent apparaître au repos et lors d’un effort de faible intensité. Des signes variés et variables Il est difficile d’émettre des généralités en matière de signes physiques liés à l’altitude car ils varient énormément : selon les individus (chacun de nous est plus ou moins sensible), selon l’habitude de chacun à évoluer en montagne (un sportif de la plaine a plus de chances de ressentir les effets de l’altitude qu’un coureur qui vit en station de ski toute l’année). Au-delà de cette variabilité interindividuelle, l’organisme réagit cependant de manière uniforme en développant des adaptations : la viscosité du sang augmente le nombre de globules rouges (qui transportent l’oxygène) augmente grâce à la sécrétion d’érythropoïétine (EPO). Ainsi, les mécanismes en anaérobie ne sont pas affectés par l’altitude car, dans ce type d’effort court et intense, le muscle fonctionne sans requérir d’oxygène. En revanche, les efforts longs qui mobilisent des mécanismes en aérobie sont affectés par le contexte hypoxique. Si le Mal aigu des montagnes (MAM) concerne surtout les altitudes relativement élevées, auxquelles le trailer est rarement confronté lorsqu’il porte un dossard ou prépare une compétition, les symptômes d’une difficulté d’adaptation de l’organisme peuvent apparaître : maux de tête, fatigue, nausées, vertiges, déshydratation plus rapide… Dans tous les cas, ces signes physiques ne doivent pas être ignorés : au lieu d’avaler un cachet de paracétamol pour apaiser les céphalées, on préférera redescendre plus bas ou bien se mettre au repos pour s’acclimater. S’acclimater et s’habituer Pour éviter de subir les effets de l’altitude au repos et a fortiori à l’effort, un temps d’acclimatation peut être nécessaire ou, a minima, la répétition d’entraînements à l’altitude que l’on rencontrera en compétition. Le nombre de jours nécessaires à l’organisme pour s’adapter à la situation d’hypoxie varie d’un individu à l’autre : alors que certains auront besoin de seulement 2 jours, d’autres devront attendre 8 jours pour ressentir un mieux-être. Il est donc essentiel d’être à l’écoute de son corps et de repérer les signes de stress hypoxique pour moduler : l’intensité de l’effort (baisser d’environ 10 % cette intensité lors des premiers jours), le volume d’entraînement (baisser d’environ 25 % le volume au début du séjour), le temps de récupération (l’augmenter sensiblement entre chaque entraînement intense). Pour avoir des effets bénéfiques sur la performance, le séjour en altitude doit être suffisamment long, autrement dit s’étirer sur plusieurs semaines. Toutefois des recherches font encore débat : tandis que certains conseillent de dormir en bas et de s’entraîner en haut, d’autres suggèrent de dormir entre 2500 et 3000 m d’altitude et de redescendre pour s’entraîner. Quoiqu’il en soit, pour le trailer qui prépare une épreuve en montagne, l’objectif est moins de chercher à booster ses performances en jouant avec l’altitude que d’éviter de subir de plein fouet des symptômes délétères le jour J. L’idéal est donc de s’entraîner plusieurs fois à des altitudes similaires à celles de la compétition afin d’apprendre à gérer le stress hypoxique. Les week-ends chocs, recommandés au cours de la préparation d’une épreuve longue distance, constituent de belles opportunités d’organiser un séjour à la montagne. Enfin, un petit tour chez un médecin du sport peut être bienvenu afin d’éviter toute mauvaise surprise. En pratique et pour résumer… Si je prépare une épreuve ou un séjour en montagne avec passages en altitude : je vais consulter mon médecin en lui expliquant mon projet ; je ne banalise par l’altitude et reste conscient des risques et implications de la pratique sportive en (haute) montagne ; je m’entraîne plusieurs fois aux altitudes que je rencontrerai le jour J ; je planifie un ou plusieurs séjours à la montagne, par exemple à l’occasion de week-ends chocs, en adaptant l’intensité, le volume et le temps de récupération entre les séances si je ressens des symptômes de stress hypoxique. Bel été à tous !

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Pierra Menta Été, première participation pour Gaëtan, TDR Albertville

C’est bien connu, nos équipes aiment courir et se challenger. Dans ses montagnes en Savoie, Gaëtan, gérant du magasin TDR Albertville et traileur avait bien envie de cocher et de participer à la Pierra Menta Eté, attiré par le Beaufortain et la technicité des parcours. Comme pour la version hivernale, 3 jours d’épreuves sont proposés aux coureurs avec des parcours et des profils techniques nécessitant le baudrier lors de certains passages. 3 jours où les équipes sont « bichonnées » par une organisation au top et rodées… De retour de cette épreuve et après avoir récupéré, Gaëtan nous fait part de cette expérience atypique. Alors cette première Pierra? Cette épreuve m’attirait mais c’est vrai que l’enchaînement assez costaud des 3 jours me rebutait un peu. J’ai été motivé par un bon copain, Olivier qui l’a déjà faite 2 fois et qui a un niveau sensiblement similaire au mien. Côté entrainement, entre le magasin et la famille ce n’est pas tjs évident. J’avais donc prévu plutôt des courses de préparation mais au final j’ai eu plusieurs fois des soucis d’entorse alors j’ai misé sur la fraîcheur! Comment se sont passés les 3 jours? Nous avions décidés de partir tranquillement. Autant à la montée j’étais plus à l’aise mais dans les descentes j’ai dû souvent m’employer pour suivre mon équipier! Les descentes sont raides et techniques et avaient été rendues glissantes par le mauvais temps (d’ailleurs nous avons eu un parcours de repli sur l’une des épreuves). J’ai par contre optimisé la récup avec de la boisson, de l’électrostimulation et des chaussettes de compression. Le 2ème jour, les jambes ont déjà souffert mais une fois l’échauffement fait et le départ donné ça va tout de suite mieux! Nous avons pu faire l’arête du Grand Mont (reporté les autres éditions) et là c’était grandiose. Comme pour l’hiver, il y a une grosse ambiance et du monde. On est très encouragés et au final j’ai pu voir pas mal de monde autant en bénévoles qu’en clients. Le 3ème jour, l’épreuve est courte et intense, ce qui me convient mieux. j’ai pu faire ma course et me faire plaisir. Il y a encore plus de monde puisque le passage est plus accessible et que les gens sont plus disponibles. Bilan…? Je suis très contents d’avoir pu participé et finir ! J’aurai aimé que l’on fasse mieux en terme de classement mais bon on est partis un peu loin le premier jour alors après c’est plus compliqué mais on a réussi à grapiller qques places…! Nous nous sommes bien entendus avec mon co-équipier mais ce qui est dur c’est de gérer les coups de moins bien car ils n’arrivent pas en même temps! Nous avions aussi décidé de ne pas utilisé d’élastique (souvent prisé des équipes pour que l’un des coureurs tire l’autre). Bien sûr avec un meilleur entrainement ce serait mieux mais au final c’est une très belle épreuve très bien organisée avec une belle ambiance…où les couleurs TDR ont d’ailleurs brillé notamment chez les jeunes et en mixte avec la victoire de Hugo Altmeyer (team Scott-TDR).   Photos Courchevel Sports Outdoor.

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Championnat de France de Trail on y est !

C’est l’un des objectifs de cette saison déjà bien entamée… Ce week end auront lieu les Championnats de France de Trail Court à MontGenèvre (05). Sébastien Hours et Guillaume Rouger, du team Terre de Running Mizuno ont bien sûr coché cette date et prendront le départ de cette édition très relevée. Après avoir fait le reconnaissance du parcours et en récup post Cross et Marathon du Mont-Blanc, on fait le point sur leur état de forme et leurs ambitions.   Guillaume : Depuis que le France existe (2013) c’est une première de le courir si tôt dans la saison. La récupération du Mont Blanc semble très courte pour retrouver un organisme compétitif en 14j mais c’est surtout de mon genou que j’appréhende un peu. Une chute en fin de parcours du marathon, et mon genou gauche s’en rappelle encore, avec une petite douleur quand je cours actuellement. Je ne regrette en revanche pas du tout ce calendrier assez chargé. Le Marathon du Mont Blanc est un trail magnifique et son plateau cette année était très alléchant ! À Montgenèvre on retrouve un profil destiné aux montagnards. Traversée de la station puis un peu de faux plat en tout début de parcours avant d’enchaîner deux longues montées/ descentes. En reconnaissance du tracé avec Sébastien il y a un mois nous avons même rencontré des portions d’ascension très courtes mais à fort pourcentage ! Je tenterai de terminer cette première partie de saison 2018 par un top 20 sur ce France (ma meilleure place 27e). Sur mes 2 trails courus en mai/juin, j’ai plutôt joué l’économie de course. Alors pourquoi pas prendre un peu plus de risques dimanche ? De toute façon avec 27kms je serai bien obligé de partir plus vite !   Sébastien : N’ayant fait que le cross, la récupération du Mont-Blanc a été assez rapide, si ce n’est une petite alerte à l’ischio qui est heureusement passée assez rapidement. J’ai profité du weekend a Chamonix pour refaire un peu de dénivelé, puis j’ai ensuite privilégié le travail de seuil sur cette dernière période, et je commence a très bien me sentir sur les portions roulantes. Au niveau objectif, cela va être compliqué de faire aussi bien que l’année dernière (6e) au vu de mon hiver et de la densité, mais j’espère rentrer dans le top 15, voir 10 si tout se passe bien. Le parcours n’est pas très technique sauf autour du sommet de la 1ère bosse, ce qui a tendance à m’avantager, mais l’altitude jouera un rôle prépondérant, et il faudra en garder sous le pied dans la 1ère bosse sous peine de sanction immédiate, d’autant que la 2e côte a quelques portions très raides. Si le soleil est de la partie, la vue pendant la course devrait être bien sympathique :-).   Souhaitons le meilleur à nos 2 coureurs !

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