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Nouvelle Appli Suunto

Depuis avril dernier, Suunto a lancé une nouvelle Application pour procurer une meilleure expérience aux utilisateurs et à la communauté Suunto. L’application est disponible sur IOS et Android. Téléchargez-la ! NOUVELLE APPLICATION SUUNTO Quelles sont les principales fonctionnalités de l’application? connexion avec les services sportifs essentiels, en commençant par Strava, pour que vous puissiez partager et analyser vos sports avec les communautés de votre choix ; partage personnalisable sur les réseaux sociaux pour vous permettre de choisir quelles données d’entraînement vous voulez partager, quand et comme vous le souhaitez ; cartes de chaleur et planification d’itinéraires spécifiques à l’activité (Suunto 9 et Spartan) pour vous permettre d’accéder à de nouvelles aventures, où que vous soyez ; Personnalisation des modes sportifs (Suunto 9, Suunto 3 et Spartan) pour que vous puissiez choisir les données que vous voulez voir s’afficher sur votre montre pendant votre entraînement ; compatibilité de base pour Ambit3 et Traverse, Traverse Alpha et les ordinateurs de plongée EON. Liste non exhaustive et en cours d’évolution et d’amélioration. FERMETURE DE LA PLATEFORME MOVESCOUNT C’est dans ce contexte que la précédente plateforme, Suunto Movescount fermera, au plus tôt au début de l’été 2020. Suunto vous tiendra informés et répondra à vos questions pour vous aider et vous accompagner tout au long de cette transition. Vous  pouvez être informés par e-mail et sur suunto.com/transition  

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Reco Trail Givré – Montagnay

La 20ème édition du Trail Givré de Montanay qui aura lieu le 3 février se prépare activement avec près de 1000 coureurs déjà inscrits. Les 2 formats historiques de 23km (comptant pour le TTN) et de 9.7km sont reconduits. Le magasin Terre de Running Limonest, partenaire de la course vous informe : RECO DU TRAIL GIVRE LE 20 JANVIER L’organisation vous propose une Reco des 2 parcours ce dimanche 20 janvier Rendez-vous à 9h à la salle des Sports de Montanay, au lieu habituel du départ de la course. Pot après l’effort OFFERT !   Le teaser de la course :   INFOS ET INSCRIPTIONS SUR : www.trailgivre.com Page Facebook 

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Anti-bonnes résolutions running : bonne année 2019 !

Le nouvel an est souvent synonyme de nouvel élan. On fait table rase et on repart sur de bonnes bases ! Avec de très bonnes mauvaises idées qui garantissent une saison pleine de blessures, de lassitude, d’incohérence, d’épuisement… Voici 7 « anti-bonnes résolutions » à éviter pour garder le plaisir de courir tout au long de l’année et d’éviter de vous blesser ! Par Marie Paturel. 7 anti-bonnes résolutions 2019   Résolution n°1 : Je monte à 6 séances par semaine. Faut c’qu’il faut pour progresser  Passer du runner du dimanche au coureur acharné qui s’entraîne tous les jours, c’est forcément la bonne solution pour progresser et relever le défi 2019 : finir un marathon, un trail ou une grande classique comme Marseille-Cassis. Du coup, j’augmente brutalement le volume et l’intensité de l’entraînement. A la clé de cette excellente idée : des blessures, de la fatigue ou encore du surentraînement. On oublie donc ce mauvais plan et on respecte plutôt quelques principes fondamentaux. La progressivité est la clé d’une pratique respectueuse du corps et de l’esprit. Les experts en physiologie recommandent d’accroître de 15 % maximum le volume d’entraînement chaque année. Autant dire que pour passer d’une sortie hebdomadaire à 6 séances par semaine, il va falloir être patient ! L’idée n’est pas de courir énormément pendant une saison, mais plutôt de courir pendant des années en restant en bonne santé. On calme donc ses ardeurs et on raisonne sur plusieurs saisons. Résolution n°2 : Cette année, je me lance sur un marathon ou un ultratrail. Habituellement, je suis plutôt un coureur de 10 kilomètres et je m’entraîne 2 ou 3 fois par semaine. Mais là, j’ai une furieuse envie d’effort long, alors j’ai prévu un marathon au printemps. Et puis peut-être bien un ultra au début de l’automne parce que le trail, c’est cool ! Non, un marathon n’est pas anodin. Tout comme un ultratrail n’est pas juste une grande balade en montagne. L’un comme l’autre exigent de longs mois, voire plusieurs années, de préparation progressive et adaptée. Pour « monter » sur les longues distances, l’organisme a besoin de temps pour s’adapter au volume élevé parcouru à l’entraînement. De plus, gérer un marathon ou un ultra nécessite une solide expérience, une excellente connaissance de soi et le franchissement de paliers. Avant de s’aligner au départ de 42,195 km, on valide l’étape du semi-marathon. Tout comme on valide sa capacité physique et mentale à assumer un trail de 30, 50 et 80 km avant de lorgner vers 100 km. Attention à la banalisation des longues distances qui occulte toute l’importance d’une bonne préparation et d’un réel respect de l’organisme ! Résolution n°3 : Je programme tout un tas de compétitions. Les compet’, c’est bon pour la tête : ça motive, ça incite à s’entraîner et ça permet de rencontrer plein de monde. Je m’inscris donc à une bonne vingtaine de courses, histoire de multiplier les expériences. Un dossard tous les 15 jours, c’est le bon rythme ! A moins d’avoir envie d’être complètement cramé à la fin de l’année, multiplier les compétitions n’est pas très recommandé. En revanche, il est conseillé de définir 2 à 3 objectifs phares au maximum dans la saison, pas davantage. En amont de chacune de ces courses importantes, une ou deux épreuves peuvent faire office de préparation. Par ailleurs, il est capital d’identifier les périodes pendant lesquelles on sait ne pas être très disponible ou accuser systématiquement un coup de fatigue, quelles qu’en soient les raisons (surcharge périodique au travail, période intense de rentrée scolaire, etc.). On évite alors de programmer des séances difficiles ou des compétitions pendant ces créneaux. Résolution n°4 : Je prends un plan d’entraînement sur internet et je l’applique aveuglément. Google. « Plan entraînement marathon ». Entrée. Bing ! Des dizaines de pages de résultats s’affichent. Il n’y a plus qu’à se servir dans cette offre pléthorique et gratuite. Je choisis un planning et je l’applique à la lettre. Ben quoi, c’est bien un coach qui a dû l’élaborer, non ? Certes, le web est une mine d’informations parmi lesquelles on déniche de vraies pépites. Mais il regorge aussi de conseils mal avisés. En matière d’entraînement, on trouve de tout sur internet. La première règle consiste donc à identifier l’auteur du plan d’entraînement : est-ce un entraîneur diplômé ? Quelles sont ses compétences et ses références ? La deuxième règle est commune aux plannings proposés également dans les magazines : il est nécessaire de personnaliser la trame générique que vous avez trouvée. Les plans d’entraînement gratuits se veulent le plus universel possible. Néanmoins ils ne tiennent pas compte des spécificités individuelles (passé sportif, problèmes de santé, disponibilité, autres sports pratiqués…). Il faut donc absolument prendre du recul et adapter le plan pour en faire une programmation personnelle. Résolution n°5 : Je cours à bloc tout le temps et je ne me repose jamais : no pain, no gain ! Une petite douleur dans le mollet, des séances systématiquement finies à l’agonie, un entraînement quotidien (voire bi-quotidien), une fatigue qui s’installe petit à petit. Le corps et la tête envoient des signaux, mais je n’y prends pas garde. Ce n’est qu’en m’entraînant dur tout le temps que je progresserai. S’il ne s’agit pas de courir en se frisant les moustaches en permanence, il n’est pas question non plus d’être tout le temps au taquet ! Une grosse partie de l’entraînement doit être réalisée en endurance fondamentale, autrement dit à une allure qui permet de papoter tranquillement avec quelqu’un tout en courant. Après une compétition, on prévoit généralement une semaine de récupération pendant laquelle on relâche le rythme. De plus, un plan d’entraînement est structuré en cycles au sein desquels on programme une semaine allégée toutes les 3 à 4 semaines. Ce changement de rythme permet au corps d’assimiler le travail réalisé. Enfin, il est crucial de ménager une à deux coupures pendant l’année. Qui dit coupure, dit arrêt de toute activité sportive intense pendant une période donnée (en général, 2 à 3

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Soirée spéciale Raid Amazones – TDR Limonest

Votre magasin Terre de Running Limonest organise le jeudi 31 janvier à partir de 19h30 une soirée spéciale « Raid Amazones ». Cette soirée de partage et d’information est dédiée aux Amazones avec la présentation et les conseils de l’équipe des Aces du Raid. Fortes de leurs 3 participations (12ème, 2ème puis 3ème) Christine et Delphine seront à votre écoute pour échanger sur les bonnes pratiques. Futures Amazones, préparez-vous dès maintenant avec votre magasin TDR qui vous propose des entraînements coachés les mardi et jeudi (contactez le magasin pour plus d’informations).   Plus d’information sur la page facebook Terre de Running Limonest et auprès du magasin : www.terrederunning.com/magasin/limonest.html

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Mieux comprendre Imperméabilité et Respirabilité

En quête de l’équipement et de la veste idéale pour vos sorties running ou trail, vous vous êtes sans doute posé la question plus d’une fois ! Imperméable et/ou respirable? On vous aide à décoder ces 2 termes. L’Imperméabilité C’est la capacité d’un tissu à empêcher la pénétration de l’eau. On peut rendre un tissu imperméable en lui associant une membrane ou grâce à une enduction. Le Schmerber est l’unité de mesure de l’imperméabilité, il représente une colonne d’eau de 1 mm. Un vêtement qui a une valeur de 10 000 Schmerber, c’est-à-dire 10 000 mm, résiste donc à 10 m d’eau. Un vêtement est parfaitement imperméable à partir de 20 000 Schmerber. La Respirabilité C’est la capacité d’un tissu à évacuer la vapeur d’eau. Un tissu garantissant une bonne respirabilité limite la condensation de la vapeur d’eau à l’intérieur du vêtement. Elle facilite donc l’évacuation de la transpiration et maintient le corps au sec. On évalue la mesure de respirabilité de 2 manières : 1.  La mesure MVTR (taux de transmission de la vapeur d’eau) calcule la quantité d’eau (sous forme de vapeur) que le tissu laisse passer en 24h. La MVTR s’exprime en gr/m2/24 h : MVTR 30 000 = vêtement extrêmement respirant MVTR 20 000 = vêtement avec une très bonne respirabilité MVTR 10 000 = vêtement respirant MVTR 5 000 = vêtement peu respirant Cet indice est utilisé par la plupart des marques françaises. 2.  L’indice RET (Resistance Evaporative Transfert) mesure la capacité d’un tissu à laisser s’échapper la vapeur d’eau générée par le corps (transpiration). Le RET étant un indice de résistance, plus il est faible plus il indique que le vêtement est respirant. RET inférieur à 6 : très respirant RET entre 6 et 12 : respirant RET entre 12 et 20 : faiblement respirant RET au-delà de 20 : non respirant. Cet indice est surtout utilisé par les marques américaines, dont Gore. Allier imperméabilité et respirabilité L’idéal est donc d’allier imperméabilité et respirabilité ! En effet, la membrane (ou l’enduction) contient des millions de pores microscopiques au cm², assez grands pour laisser s’échapper la vapeur d’eau (transpiration), mais suffisamment petits pour empêcher le passage de pluie. Vous êtes donc parfaitement au sec.   Actuellement, l’une des vestes les plus performantes et technologiques sur le marché et répondant à ces 2 critères est le modèle Shakedry de la marque Gore Wear; mais d’autres modèles existent qui ne manqueront pas de vous combler 🙂   Demandez conseils à nos équipes en magasin.    

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Meilleurs vœux 2019

Amis runners, chers Clients, Nous vous présentons tous nos voeux pour cette nouvelle année ! Qu’elle soit riche en émotions, en partage et en succès sportifs  Belle année sportive à tous !

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Test de la montre Vantage V de Polar

La dernière montre de Polar a fait un runner heureux ! Jérôme, coureur au club Léman Triathlon et client du magasin Terre de Running Anthy  s’est procuré la Vantage V de Polar. Il nous partage son retour et son coup de coeur suite à son utilisation. Une montre qui allie design et technologies Dans l’utilisation quotidienne : elle est top, légère , discrète elle se laisse facilement oubliée au poignet et elle peut se porter facilement même pour aller au bureau. Le design est vraiment réussi. Côté Technique: le suivi cardiaque et d’activité en continue  est bien fait, je manque un peu de recul pour le moment mais à mon avis sur le long terme cela doit permettre de bien gérer les périodes de charge et d’éviter la sur fatigue. Pour ce qui concerne le cœur de la bête  l’activité sportive tout n’est pas encore parfait .. Point positifs : l’écran aussi bien le côté tactile que la couleur et la définition : les informations sont très lisibles, la configuration des écrans via polar Flow très pratique. L’apparition de la puissance en course à pieds : pour l’instant je n’ai pas encore le recul nécessaire pour vraiment en profiter mais déjà les informations à en retirer sont intéressantes. L’altimètre barométrique est précis comme sur la V800. Très bonne précision également pour les séances de natation en piscine. Enfin la batterie tiens vraiment plus longtemps que sur la V800 : parfait pour les longues distances. Points à améliorer : la montre en est encore à son adolescence 🙂 Les prochaines mises à jours devraient corriger tout ça, comme cela avait été le cas pour la V800 à son lancement, mais j’ai rencontré déjà quelques « soucis » : fréquence de foulées en course à pieds sous-évaluée, tracé GPS en terrain non ouvert (en forêt surtout) moyen, quelques bugs sur les boutons (autolap Vs manuel lap) et sur l’affichage de la distance. Autre remarque si la mesure du cardio au poignet est pratique pour le suivi continu, elle est beaucoup plus aléatoire et même clairement erronée sur les séances course à pieds. Le couplage avec un émetteur H10 est indispensable pour ceux qui basent leur entrainement sur leurs zones FC. Ce point est commun à toutes les montres proposant la mesure au poignet actuellement sur le marché… ERREURS CORRIGÉES SUITE A LA MISE A JOUR DE LA 2.0 (voir notre article) Suite à la mise à jour de la montre cette semaine, les points à améliorer ont tous été traités dans celle-ci. Donc outre le fait que maintenant la montre fonctionne vraiment bien , on peut noter que les équipes techniques de chez Polar sont à l’écoute des retours des utilisateurs et corrigent au fur et à mesure les problèmes rencontrés. Un cadeau de Noel à recommander donc 🙂 Retrouvez les montres Polar dans les magasins Terre de Running et sur www.terrederunning.com

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Conseils : comment reprendre le running après une coupure

Nous avions vu dans un précédent article l’intérêt d’une coupure annuelle ; à la fois dans un but de régénération mais aussi de progression et santé à long terme. Cette coupure peut être volontaire mais elle est parfois forcée par une blessure ou par des contraintes professionnelles ou familiales. En tout cas quelles que soient les raisons de votre arrêt nous allons voir les principes à respecter pour reprendre de manière optimale en régulant convenablement sa charge d’entrainement sans aller vers la sur-fatigue ou même à la blessure. Les principaux axes pour reprendre le running après une coupre Retrouver une condition physique générale Durant votre période de repos, votre organisme s’est plus ou moins désadapté au niveau musculaire, tendineux et cardio-vasculaire. Vous devez donc complètement occulter la charge d’entrainement qu’il était capable d’encaisser avant votre période de repos. Votre « niveau » de départ sera bien évidement malgré tout dépendant de la longueur de votre période de repos et des éventuelles sollicitations que vous lui aurez imposé durant cette période. Dans un premier temps il s’agira donc de vous remettre sur les rails pour vous permettre d’encaisser progressivement une charge de travail plus conséquente et spécifique à vos objectifs. Les désadaptations musculaires étant souvent les plus perceptibles, si vous en avez la possibilité, privilégiez d’abord les activités où les contactions musculaires excentriques sont limitées (vélo, marche en montée, ski, cardio-training en salle..) pour progressivement tendre vers la course à pied. Vous serez parfois surpris de vous retrouver avec de belles courbatures après un premier simple footing. Lors des 2 à 3 premières semaines, l’objectif sera de d’abord retrouver un niveau d’endurance correct. L’endurance fondamentale sera la base de votre entrainement avec progressivement un peu d’endurance active. C’est elle qui détermine grandement votre condition physique générale. En parallèle astreignez-vous à du renforcement musculaire de la ceinture abdominale et lombaire (gainage, abdominaux…) et profitez-en pour refaire du travail technique à base de gammes de course. Ajoutez-y dans un deuxième temps progressivement du renforcement musculaire des membres inférieurs.   Ce travail vous permettra de vous adapter progressivement à une charge de travail plus importante tout en ne l’augmentant pas trop brutalement sans faire uniquement de la course à pied. Pensez également à varier les activités pendant cette période pour vous permettre d’obtenir un plus large panel d’adaptations et parce que l’endurance est ce qu’il est le plus facile à mettre à place en terme d’entrainement croisé. Une bonne condition physique de base est indispensable avant de greffer des séances plus qualitatives. Progressivité : la clé de la réussite de votre reprise Durant cette période de reprise, le plus grand principe d’entrainement que vous devez garder à l’esprit est la progressivité. Progressivité dans le volume de vos séances, dans le volume hebdomadaire ainsi que dans l’intensité et le volume de vos séances d’intensité. Dès que vous allez solliciter un registre que vous n’avez pas encore travaillé, les adaptations du système qu’il sollicite vont se mettre place ; mais il faut laisser le temps à ce que ces adaptations puissent se faire. Si on prend l’exemple des courbatures qui peuvent être nécessaires à une adaptation ; celles-ci peuvent apparaître suite à une séance d’entrainement mais elles ne doivent pas augmenter au fil des séances, au contraire. Si c’est le cas c’est que vous augmentez votre charge d’entrainement trop rapidement. Globalement, n’ayez pas peur de reprendre à la fois lentement en termes de vitesse et sur des durées courtes. Par exemple : 20 ou 30’ de footing ou d’alternance course/marche peuvent être complètement suffisantes au départ. Je vous conseille dans un premier temps de rester sur de l’endurance de base en augmentant progressivement la durée de vos sorties (+10 à 15’ max). Progressivement vous pouvez y ajouter un peu d’endurance active (toujours progressive en termes de durée et d’intensité) puis du seuil anaérobie. A RETENIR : Ce n’est à partir que du moment où vous aurez une endurance de base minimum que vous pourrez inclure des sessions plus intenses (VMA/PMA, vitesse, capacité lactique…) et ainsi varier l’intensité de vos séances. Ce premier cycle d’entrainement doit durer 2 à 4 semaines. Pour ne pas risquer la blessure ou une fatigue excessive, il n’est pas conseiller d’augmenter sa charge d’entrainement de plus de 25 à 30% maximum chaque semaine. Mais attention la charge d’entrainement ne veut pas dire seulement le volume, elle tient compte également de l’intensité. Prenez votre temps pour la reprise en compétition Dans une période de reprise, la majorité des cas de mauvaise réussite sont dus à une reprise trop rapide. Pour cela il ne faut surtout pas se fixer d’objectifs trop proches en terme de compétition. Prenez le temps de bien planifier vos cycles d’entrainement en fonction de vos objectifs majeurs de la saison qui doivent être suffisamment éloignés pour vous permettre de placer tous les cycles de préparation dont vous avez besoin pour arriver à votre forme optimale. Se fixer un objectif de compétition trop rapprochée de la reprise c’est se mettre un ultimatum et prendre le risque de bousculer inconsciemment les choses. Prenez le temps de voir l’évolution de votre forme et de vos adaptations avant de planifier une première compétition de préparation qui correspond aux qualités que vous aurez développées au cours des cycles précédents. Progressivité, adaptations, patience, variété de travail et planification sont les maîtres-mots que vous devez garder à l’esprit dans une période de reprise. Le risque est souvent d’aller trop vite, trop fort ou trop longtemps de par l’envie décuplée qui nous anime durant ces périodes. Gardez en tête que la saison est longue ! Soyez raisonnable, votre corps vous le rendra 😉   Julien Rancon Athlète et coach www.julien-rancon.com

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Mise à jour des Polar Vantage

Polar vient d’annoncer la mise à jour de la 2.0 sur les montres Polar Vantage V et Polar Vantage M. Cette mise à jour prend en compte la résolution de quelques bugs signalés sur la première version. Les mises à jour importantes des Vantage sont : Chronomètre,  timer et le fractionné sont désormais disponibles pendant votre entrainement Verrouillage des boutons : Avec Vantage V, les actions d’affichage tactile sont désactivées. Appuyez sur le bouton LIGHT et maintenez-le enfoncé pour l’activer et le désactiver. Améliorations des caractéristiques existantes par exemple, rétroéclairage amélioré pour une meilleure lisibilité pendant l’entraînement. La sensibilité à la vitesse et aux changements d’allure est plus réactive. Mettez à jour votre montre sur votre ordinateur via FlowSync ou sur votre mobile via Flow app. D’autres améliorations à venir Par ailleurs, Polar prévoit un grand programme de mises à jour est prévu pour la famille Vantage. Détails sur www.polar.com/en/vantage/updates     Retrouvez les montres Polar Vantage V et Vantage M dans les magasins Terre de Running et sur www.terrederunning.com

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Lurdunum 2019 – 4ème édition

Notez bien la date de cet événement organisé par l’association « Lyon Ultra Run » : le Lurdunum 2019 aura lieu le 1er février. Le Lurdunum qu’est-ce que c’est? Cette manifestation a pour objectif de faire découvrir les plus beaux lieux de course à pied de la ville de Lyon, la nuit. Le Lurdunum est une randonnée en groupe sans chronométrage ni classement réalisée dans le strict respect du code de la route. L’ensemble de l’itinéraire est effectué sur les trottoirs. Le teaser de l’événement   Lurdunum 2019 – 4ème édition 25km et 600 m D+ Départ le vendredi 1er février à 19h30 Tracé et lieu de départ non communiqué. 1 ravitaillement intermédiaire, 1 ravitaillement à l’arrivée dans le Parc de la Visitation. Page facebook de l’événement  Ouverture des inscriptions vendredi 14/12 : les places parent vite 🙂 Inscriptions gratuites mais indispensables.  

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