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Courir pendant ses règles, j’y vais ou pas ?

Oh la poisse, j’ai mes règles… La vie est franchement injuste. Non seulement les filles n’ont pas les mêmes capacités et la même physiologie que les hommes (force musculaire, taux de masse grasse…), mais en plus elles doivent composer avec leurs hormones. Quand une course approche ou qu’une séance importante se profile et qu’on constate avec consternation qu’on va avoir ses règles, le moral plonge dans les abysses du bidon de ravitaillement. Mais courir pendant ses règles n’est toujours pas évident ni agréable… Bien qu’ il n’y ait aucune contre-indication à la pratique du sport pendant la période des menstruations. on constate juste ces sensations et symptômes parfois franchement désagréables : Poitrine douloureuse Ventre gonflé Prise de poids Douleurs au ventre Nausées Fatigue Pertes de fer Par ailleurs, le jeu hormonal entraîne une laxité ligamentaire accrue et une sensibilité plus forte pendant certaines phases du cycle (certaines études ont pointé les 12ème et 14ème jours). Alors je fais quoi ? Je cours ou pas ? En fait, tout dépend de votre état. Si vous vous sentez franchement épuisée, si vos douleurs sont insoutenables, alors repoussez la séance difficile qui était prévue et remplacez-la par un simple footing tranquille. Vous pouvez même vous octroyer du repos, cela ne changera pas la face du monde et ne vous fera pas régresser ! Vous permettrez à votre organisme de récupérer un peu pendant cette phase où le fer s’enfuit et le système hormonal tourne à plein régime. Si vous voulez absolument vous entraîner ou qu’une compétition tombe au moment de vos règles, vous avez plusieurs solutions : Pour atténuer les douleurs, vous pouvez prendre un antalgique. Mais demandez conseil à votre médecin car tous ne sont pas recommandés ! Par exemple, l’aspirine présente un risque hémorragique : elle est donc à bannir absolument pendant les règles ! Vous pouvez aussi vous tourner vers des médecins douces (homéopathie, phytothérapie…). Vous pouvez adopter un mode de contraception qui décale ou supprime vos règles. Pas forcément recommandée par tous les médecins, la prise de la pilule contraceptive en continu présente un intérêt très simple : elle permet de vivre une compétition importante sans subir les désagréments des menstruations. Certaines femmes choisissent carrément une contraception qui supprime les règles (implant hormonal, stérilet hormonal…). Dans tous les cas, mieux vaut consulter votre gynécologue pour être sûre d’adopter la bonne stratégie ! Avoir mes règles quand j’cours, j’m’en tamPonne ! Bon, rien à faire, vous avez vos règles. Et vous êtes bien décidée à aller courir quand même ! En matière de protection, il faut être honnête : il n’y a pas de conseils universels. Certaines ne jurent que par les tampons, pratiques et confortables, tandis que d’autres ne les supportent pas et ne portent que des serviettes. Les adeptes des coupes menstruelles vantent leurs mérites alors que d’autres estiment qu’elles ne tiennent pas bien en place. Conclusion : testez tous les moyens possibles et imaginables… et choisissez ce qui vous convient le mieux ! Adaptez votre entrainemenT Vous pouvez continuer à courir pendant vos règles, mais nous vous conseillons d’adapter votre entraînement : décalez les séances difficiles, allégez votre programme… Si vous avez une compétition, prenez un antalgique uniquement si les douleurs sont insupportables et surtout ne testez rien de nouveau (type de protection, remède antidouleur…). Ne négligez jamais une aménorrhée et, surtout, oubliez l’idée selon laquelle « maigreur = performance ». Des études ont montré que des athlètes maigres en aménorrhée qui reprenaient du poids et retrouvaient un cycle menstruel amélioraient leurs chronos ! Focus sur le sport et les troubles du cycle menstruel Minceur, maigreur : attention danger ! Nous, les filles, subissons la dure loi de la minceur. Et ce encore plus dans le milieu des sports d’endurance où la masse grasse est chassée comme le diable ! Pourtant la quête de la maigreur a des conséquences négatives, voire dangereuses. Une diminution des masses grasse et corporelle entraîne des modifications hormonales. Associée à la pratique d’un sport d’endurance comme la course à pied, elle entraîne très souvent des troubles menstruels, voire carrément la disparition des cycles (aménorrhée). Plus de règles, plus de soucis pour courir ! Oui, mais la médaille a son revers : qui dit aménorrhée, dit notamment problèmes tendineux et musculaires et fragilisation osseuse (risques accrus de fractures de fatigue et, à plus long terme, d’ostéoporose). Charge d’entraînement : une corrélation avérée Il a été démontré qu’à partir de 6 heures de running hebdomadaires et d’une augmentation de la charge d’entraînement exposent les femmes à des perturbations du cycle menstruel : aménorrhée (plus de règles pendant 3 mois consécutifs) oligoménorrhée (règles espacées de plus de 6 semaines et survenues de 5 à 9 fois pendant une année), règles très courtes ou peu abondantes… Loin de vous pousser à arrêter de courir ou à diminuer votre volume d’entraînement, cette constatation vise surtout à vous inciter à consulter votre médecin pour que ces perturbations n’aient pas de conséquences délétères sur votre santé. Marie Paturel, journaliste et coureurse

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Quelle eau pour le coureur à pied ?

Quelle que soit la saison l’une des préoccupations majeures du coureur est l’hydratation. Si l’on a tout entendu à ce sujet, une question reste moins polémique : quelle eau choisir  pour votre activité quotidienne et sportive ? Voici quelques éléments de réponse. pourquoi S’HYDRATER ? Que l’on recommande de boire avant d’avoir soif ou, au contraire, de boire uniquement lorsque la sensation de soif se fait sentir, le résultat est le même : à un moment donné de la pratique sportive, il faut s’hydrater. Il faut même s’hydrater en permanence, autrement dit en amont, pendant et en aval de l’entraînement. Pourquoi ? Parce que l’eau est indispensable au bon fonctionnement de l’organisme. Un déficit hydrique engendre des problèmes de santé qui peuvent être particulièrement nuisibles à la performance (crampes, tendinites, fatigue…). L’eau est également un moyen d’éliminer les toxines via l’urine et de réguler la température corporelle via la sudation. Robinet ou bouteille : entre les deux, mon cœur balance Deux types d’eau peuvent être consommés : La bonne vieille eau du robinet : contrôlée étroitement, elle peut être bue sans crainte a priori, même si de récents reportages ont pointé d’un doigt inquiétant des pollutions chimiques. C’est parfois son goût (très variable d’une région à l’autre) qui peut rebuter. Aucune propriété particulièrement favorable à la santé ne la caractérise. L’eau en bouteille : on distingue deux sortes d’eau minérale embouteillée : o L’eau de source est issue de nappes souterraines et mise en bouteille à la source. Elle ne présente aucun intérêt particulier pour la santé. o L’eau minérale naturelle est issue de nappes souterraines et elle est contrôlée étroitement. Ses caractéristiques sont constantes. Elle possède des propriétés favorables à la santé. Et l’eau qui pique ? Parmi les eaux embouteillées, figurent évidemment l’eau plate, mais aussi l’eau gazeuse qui peut être : o soit naturellement gazeuse ou renforcée au gaz de la source, o soit gazéifiée avec du gaz carbonique, procédé utilisé en production industrielle ou à la maison avec une machine de type Sodastream. Comment choisir ? Les eaux se différencient par : – leur goût, – leur composition minérale. Pour le sportif, c’est surtout la composition minérale qui est intéressante car elle permet de choisir l’eau en fonction des besoins. Il faut toutefois garder à l’esprit que c’est avant tout l’alimentation qui apporte les sels minéraux indispensables au fonctionnement de l’organisme. Les minéraux contenus dans l’alimentation sont d’ailleurs bien mieux assimilés que ceux présents dans l’eau. Les eaux à privilégier au quotidien Au quotidien, le coureur à pied a intérêt à consommer de l’eau du robinet et des eaux normalement minéralisées, voire faiblement minéralisées. Il doit éviter les eaux trop riches en sodium et, à ce titre, se méfier des eaux gazeuses qui en recèlent souvent de grandes quantités. S’il veut boire de l’eau qui pique tous les jours, il privilégiera donc la Perrier ou la Salvetat. Côté eaux plates en bouteille, il adoptera de préférence la Mont Roucous et la Montcalm, mais pourra aussi consommer la Volvic, l’Evian et la Thonon. Les eaux à privilégier pendant l’effort Pendant l’activité sportive, les besoins du coureur diffèrent sensiblement. De l’eau plate agrémentée d’une boisson isotonique (60 g de sucre par litre maximum) sera bénéfique à la performance. Les eaux fortement minéralisées sont pertinentes pour les efforts d’une durée supérieure à 3 heures. Pour les efforts moins longs, une eau normalement minéralisée (eau du robinet incluse) s’avère suffisante. Les eaux en bouteille adaptées aux activités de plusieurs heures ou aux séances engendrant une forte sudation (fortes chaleurs ou sessions de sport en salle) sont l’Hépar, la Contrex, la Rozanna et la Courmayeur. Les eaux à privilégier après l’effort En phase de récupération, le corps a besoin de reconstituer son stock de sels minéraux perdus pendant l’activité sportive par le biais de la transpiration. Une eau riche en bicarbonates sera donc bienvenue. Par ailleurs, le gaz carbonique présent dans les eaux pétillantes favorise la récupération. La Saint Yorre, la Badoit et la Vichy sont donc particulièrement recommandées. En conclusion L’essentiel, c’est finalement de s’hydrater suffisamment – et, évidemment, avec des boissons saines. Si le sportif peut varier les eaux qu’il boit afin de les adapter aux besoins de l’organisme, il faut garder à l’esprit que l’intérêt « nutritionnel » des eaux reste limité et ne peut se substituer aux apports alimentaires. Enfin, certaines boissons permettent, certes, de s’hydrater, mais engendrent une activité digestive, notamment lorsqu’elles sont sucrées (jus de fruits, sodas…) ou alcoolisées (bière, vin…). Enfin, le thé et le café peuvent parfois être les ennemis du sportif car ils favorisent la déminéralisation. Bref, pour bien s’hydrater, la meilleure boisson reste encore l’eau claire !

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Terre de Running ce sont aussi les clubs et collectivités

Le saviez-vous ? Terre de Running, ce sont aussi des offres et un service dédié aux Collectivités : clubs sportifs, associations, entreprises, Collectivités Locales ou Territoriales. Une offre large et variée qui permet de répondre aux besoins de chaque acteur dans des délais réactifs. Au sein du réseau Terre de Running, un interlocuteur est dédié aux clubs, collectivités et entreprises : il s’agit d’Eric Nallet. Fort de sa précédente expérience, Eric nous présente son métier un peu atypique ! Eric, peux tu te présenter ? Eric Nallet, 52 ans. Cela fait déjà 30 ans que je travaille sur la thématique des collectivités puisque j’étais salarié d’une une structure commerciale dédiée aux collectivités. Je suis arrivé en 2019 chez Terre de Running pour apporter une continuité dans les offres et services et apporter mon expérience et mon réseau de clientèle issue de ma précédente expérience. En quoi consiste ta mission ? Ma mission consiste à apporter des solutions aux besoins et demandes des clubs sportifs, des collectivités , des entreprises en termes de textiles clubs et promotionnels, d’objets publicitaires, « goodies », récompenses sportives, matériels d’entraînement et parapharmacie. Je fais le lien entre le fabricant et le client pour apporter des réponses et surtout des solutions tout en étant réactif. J’essaie d’apporter une réponse adaptée à la demande quel que soit le produit ou la quantité. J’ai également un rôle de conseil et préconisations auprès des différents acteurs. Nos « best-sellers » et nos réalisations phares : des vestes, des serviettes, des coupes, des t-shirts, des sacs à dos, des sacs à chaussures….. Peux tu nous citer des références et les partenaires avec qui tu travailles ?  Pour les Clubs et les collectivités, nous travaillons avec les marques Mizuno, Macron, Kappa, …… De nombreux clubs sportifs nous font confiance : DMA, Asvel Athlé, ESL, Lyon Athlé, EAG, ainsi que d’autres clubs de sports individuels (badminton, danse, Judo, triathlon….) Parmi les entreprises et les Collectivités partenaires, nous pouvons citer : Le Groupe Total, le Groupe Mylan, la mairie de St Priest,…. Vous êtes intéressés par notre service Collectivités ? Contactez Eric par mail à eric.nallet@terrederunning.com

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Prévention des blessures et aide à la reprise d’activité avec les orthèses Thuasne

Afin de vous accompagner dans votre pratique sportive notamment dans une optique santé; prévention des blessures et reprise d’activité, les magasins Terre de Running complètent leur gamme de protections articulaires avec la marque Thuasne Sport. Spécialisée notamment dans les orthèses pour sportifs,  4 produits Thuasne Sport seront à votre disposition en magasin. 2 genouillères et 2 chevillères couvrant les blessures les plus courantes des runners. Retrouvez en magasins, les modèles d’orthèses suivants : GENOUILLÈRE ROTULIENNE La Genouillère rotulienne renforcée multisports Thuasne vous apporte confort et maintien. Indications :  instabilité, tenditinite, subluxation ou luxation  rotulienne, douleur cartilagineuse de la rotule, entorses bénignes des ligaments latéraux du genou, reprise du sport après entorse bénigne et traumatisme du genou. Les plus Thuasne : Un anneau amortisseur rotulien en mousse pour un centrage et une stabilisation optimale de la rotule. Zone de confort au niveau du creux poplité (face postérieure du genou). Bon maintien : baleinage latéral souple Tricot élastique :  une compression homogène sur l’articulation et une meilleure proprioception ( perception des repères du corps dans l’espace ) GENOUILLÈRE DE MAINTIEN RENFORCÉE Genouillère de maintien renforcé intégrale multisports. Indications : Instabilité chronique et gêne articulaire. Reprise du sport après entorse bénigne et traumatisme du genou. Les plus Thuasne : Le tricot élastique exerce une compression homogène sur l’articulation Améliore la proprioception ( perception des repères du corps dans l’espace ) Zone de confort au niveau de la rotule et du creux poplité. Baleinage latéral souple assurant un bon maintien CHEVILLÈRE STRAPPING Chevillère ligamentaire stabilisatrice avec strapping multisports. Indications :  Traitement fonctionnel des entorses bénignes et moyennes du ligament latéral externe ou interne. Reprise d’activité et du sport après entorse moyenne ou grave. Les plus Thuasne :  Sanglage de maintien « en 8 » bidirectionnel (pour entorse du ligament latéral externe ou interne) préservant la flexion-extension. Sur-épaisseur plantaire pour plus de confort. CHEVILLÈRE DE MAINTIEN RENFORCÉE Chevillère de maintien renforcé intégrale multisports (football, basketball, handball, tennis, running, …). Indications : Entorses bénignes de la cheville du sportif. Reprise du sport après entorses et traumatismes de la cheville (y compris après chirurgie). Les plus Thuasne :  Le tricot élastique exerce une compression homogène sur l’articulation Améliore la proprioception ( perception des repères du corps dans l’espace ) Zone de confort au niveau des malléoles   Ces modèles sont issus due l’expérience et du savoir-faire médical reconnu fiable et de qualité dans les 3 domaines d’intervention de la marque : orthèses, compression et sous-vêtements. Retrouvez les modèles d’orthèses Thuasne Sport dans les magasins Terre de Running et sur www.terrederunning.com Qui est Thuasne Sport ? Marque du Groupe français Thuasne spécialiste des solutions de santé au service de la mobilité́ depuis plus de 170 ans, Thuasne Sport propose des produits destinés à la prévention des blessures et à la reprise d’activité́ chez les sportifs au travers de 3 catégories : orthèses, compression et sous-vêtements. Thuasne est partenaire de nombreux athlètes, coureurs et traileurs tels que Sylvain Court, Emmanuel Meyssat, Alexandre Fine et Nathalie Mauclair. Des orthèses et des  brassières La marque sera également présente en magasin avec sa gamme de brassières de sport disposant du concept breveté TOP STRAP  qui apporte confort et maintien lors de votre activité sportive.     Présentation complète à venir.   Demandez conseils à nos équipes en magasin.  

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Nutrition en course : Comment préparer sa stratégie à l’entraînement

Comme nous avons eu l’occasion d’en parler lors du précédent article, il est temps de revenir sur la préparation d’une stratégie de nutrition en course. Le sujet aurait sans doute pu être abordé plus tôt, car la saison est déjà bien lancée, certes. Mais il faut avoir conscience d’un fait d’importance : une mauvaise stratégie pardonne d’autant plus facilement que la course est courte. On peut donc considérer que nombre d’entre nous ont déjà fait des courses relativement longues (si, si, plus de 20 km c’est déjà long !), en se contentant de choix nutritionnels tout à fait anarchiques. Mais pour beaucoup, le programme de la saison comprendra des formats représentant des temps de course de plus de 5 à 10 heures… et parfois plus encore. Et c’est justement là que la question se pose. Supporter des aigreurs d’estomac sur les 10 derniers km du marathon de Paris, c’est encore faisable… mais traîner des ballonnements, entrecoupés de diarrhées ou de vomissements, alors qu’il reste encore 40 km ou parfois plus, c’est carrément masochiste. Les problèmes qui apparaissent au 30° ne feront à priori qu’empirer par la suite, il convient donc de prendre quelques dispositions. Choisir au mieux les produits d’effort ? Il faut déjà faire des choix éclairés, et c’est tout le but de cet article. Il importe de préciser les réalités scientifiques qui soutiennent ma réflexion, car on pourra tout à fait trouver des informations divergentes sur la toile : – Tout d’abord, le rôle de la boisson d’effort n’est pas d’assumer l’apport énergétique nécessaire pour sa réalisation, mais avant tout de favoriser l’hydratation. – Comme j’ai eu l’occasion d’en parler, l’eau seule est mal absorbée comparativement à une association de différents types de glucides, d’électrolytes et d’acides aminés. – Ensuite, ces nutriments permettront de protéger l’intestin, organe particulièrement sensible aux situations d’effort, tout en ralentissant, il est vrai, la vidange des réserves de glycogène. La formule ? Donc pour commencer, il convient de choisir une boisson complète (maltodextrines, glucose, fructose, un peu de protéines très digestes comme par exemple de lactosérum, sodium, potassium, magnésium, vitamines B1, 2, 3 à minima, vitamine C et E). Le reste n’est pas forcément sans intérêt, mais il semble logique de se focaliser sur l’essentiel avant tout. J’aurai sans doute l’occasion de revenir sur l’utilité des protéines dans une boisson d’effort, mais pour d’autres avant moi elle ne fait aucun doute. Leur rôle n’est pas d’améliorer la performance, mais de ralentir la vidange des réserves de glycogène, et de favoriser une épargne des protéines musculaires. Ce sera d’autant plus intéressant que l’on programme des courses de formats longs. La saveur ? Un aspect crucial est celui des saveurs. Il faut essayer autant que possible de les choisir légères, en tout cas attrayantes, variées si l’on doit les utiliser sur de longues durées. Le marché est abondant, presque trop, et le choix en la matière offre de grandes libertés, mais les promesses d’un fabricant ne cherchent à répondre qu’à des critères très personnels. Pour cette raison particulièrement, il faut impérativement tester chaque produit d’effort, plusieurs fois, en situations variées, tout en faisant varier les modes de dilution. Seulement après ces tests, on pourra valider définitivement un choix… ou presque ! Comment la préparer ? A ce sujet, la dilution recommandée correspond à une boisson isotonique, cadre légal un peu ancien, pas très à jour, mais qui donne un point de repère à utiliser intelligemment. Il ne faudra pas mettre moins d’eau que ce qui est suggéré, car une boisson trop concentrée est d’autant plus indigeste. Au contraire, une boisson plus diluée sera plus facile à assimiler… Donc n’hésitez pas à mettre un peu plus d’eau que ce qui est conseillé (jusqu’à 2 fois plus, pas au delà, en situation de forte chaleur). C’est ainsi que votre boisson sera mieux tolérée au niveau gustatif et digestif. La bonne méthode de consommation ? Il faut le répéter, encore et encore, on doit boire par petites quantités, régulières, et fréquentes. Donc une à deux gorgées toutes les 5 à 10 minutes seront mieux assimilées que 200 ml pris toutes les 20 minutes. La physiologie de la vidange gastrique est ainsi faite, et il est d’autant plus intéressant de la respecter qu’elle est le principal facteur limitant de la nutrition à l’effort. Comptez un total de 300 à 500ml d’eau par heure, voire plus, en fonction de votre gabarit et des conditions météo. Considérez qu’un organisme sous-hydraté ne performe pas, et a beaucoup de mal à réguler sa température. Ne pas s’hydrater suffisamment c’est se mettre en danger… mais s’hydrater trop n’est pas moins dangereux, trouvez donc le bon compromis ! La quantité à prévoir ? La capacité d’assimilation est limitée à 60g/h, de glucides voire moins pour les estomacs sensibles. Ne prévoyez donc pas davantage, et testez sur des sorties longues la combinaison solide-liquide. Préférez les barres solides aux gels, qui sont hyper-concentrés, et nécessiteront un apport d’eau complémentaire en même temps qu’on les consomme, pour les rendre assimilables. Une barre demande en revanche un effort de mastication qui permet de la mélanger à la salive, de relancer la production de sucs digestifs, nécessaires à une bonne digestion. Si on considère une utilisation classique de 30g de poudre par heure pour faire de la boisson, il faudra compléter donc par un apport solide de l’ordre de 30g au maximum. Créer et ancrer de bonnes habitudes Pour s’entraîner à courir longtemps, il faut courir longtemps !… J’ajouterais qu’il faut profiter des sorties longues et autres week-ends chocs, pour ancrer les bonnes habitudes. Donc on prépare les choses de manière structurée, on prévoit une quantité d’eau ou des ravitaillements adaptés à la durée prévue, voire un peu plus au cas où. On adapte le nombre de barres ou gels qu’on emporte (et la taille du sac poubelle qui vous permettra sagement de tout ramener à la maison sans rien laisser d’autre que les traces de vos pas dans la nature !!). Donc en substance : je commence à

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fabien antolinos la recup d'après course

Intégrer la récupération dans l’entraînement

Étymologiquement, récupérer c’est retrouver quelque chose que l’on a perdu. Mais que perd t-on à l’entraînement ou après un trail de quelques heures à plus d’une journée parfois ? Des forces, certes, de l’envie, sûrement ; mais on ne fait pas que perdre en faisant un effort ! On gagne aussi beaucoup…de fatigue dont il va falloir traiter les causes et les conséquences. récupérer pour mieux s’entraîner Les différentes pathologies dont souffrent les traileurs et traileuses (tendinopathies, fractures de fatigue, entorse, burn out …) sont dues à la répétition des charges et non à la nature du terrain. Beaucoup enfilent les entraînements et les courses comme des perles et sombrent joyeusement dans l’addiction. Pourtant, la récupération fait partie de l’entraînement. Guillaume Millet parle même d’«entraînement invisible», formule qui devrait encourager la pratique.   Récupérer pour booster l’effet forme On peut concevoir aisément la pratique sportive avec 2 effets associés : un effet fatigue et un effet forme. Quand je rentre d’un entraînement, je suis moins en forme qu’avant d’y aller. L’entraînement m’a fatigué et a diminué ma capacité de performance. Si je retourne rapidement à l’entraînement avec des charges mal-adaptées, j’augmente l’effet fatigue et je diminue davantage l’effet forme, et ainsi de suite jusqu’à la rupture. Par contre, si je laisse à mon organisme le temps nécessaire de la récupération, il va s’adapter et élever son niveau de potentiel : c’est la surcompensation à l’origine de la forme. Ce principe est valable à l’échelle de la semaine comme du mois ou de la saison (ou pour chaque cycle d’entraînement). C’est pour cela que de nombreux programmes sont basés sur le modèle suivant : 3 semaines de travail pour une semaine de repos relatif. Cette dernière semaine, légèrement OFF, permet de recharger les batteries sur les plans physique et mental. Et après les compétitions ? Il y a tout d’abord l’avant-compétition : appelé phase d’affûtage ou tapering, pendant laquelle l’athlète diminue les charges de travail pour espérer une surcompensation optimale le jour J. La longueur de cette période est proportionnelle à la durée de la compétition qui va suivre. Pour un ultra trail, le dernier bloc de travail se situe généralement à S-3. Ensuite, on conserve une bonne fréquence d’entraînement mais on diminue fortement le volume. Après la compétition,  la règle est la même : on récupère sur un temps proportionnel à la durée de la course mais aussi en rapport avec son expertise. Pour un trail court entre 20 et 30 kms, 7 à 10 jours sont requis. Pour un trail plus long, entre 30 et 50 kms, 7 à 15 jours selon les individus, voire plus. Pour un trail de 50 à 80 kms, 3 semaines sont souvent nécessaires. Au-delà de 80 kms, il faut environ 1 mois pour bien récupérer.   Mais 2 questions se posent, que veut dire « récupérer » et que fait-on pendant la récupération ? récupérer : comment et par quels moyens ? A-t-on récupéré quand on a plus mal aux jambes ? Certaines études scientifiques ont été mal traduites et le message envoyé porte à confusion. Par exemple, quand Guillaume Millet montre qu’après 15 jours, un ultra-traileur (course de 160 km) a retrouvé une parfaite intégrité musculaire au niveau des membres inférieurs, associée à zéro douleur, peut-on dire que l’athlète a récupéré ? Certainement pas, car la récupération ne se limite pas aux jambes. C’est le métabolisme dans son ensemble qui est concerné (système nerveux, hormonal…). Par exemple, un indice comme la Variabilité de la Fréquence Cardiaque, marqueur du système nerveux autonome, montre qu’un bon mois est nécessaire pour recouvrer son intégrité, parfois plus. De même, quand Grégoire Millet conclue après le Tor des Géants (330km et 24000m d+) que la fatigue musculaire y est moindre que sur un 160km, cela veut-il dire qu’un Tor des géants est moins fatiguant et qu’on en récupère plus vite ? La réponse est non bien entendu, et beaucoup retrouvent difficilement le goût de courir l’année suivante. La récupération est liée à la fatigue, et il n’existe aucun marqueur universel de la fatigue. De plus, les variations inter et intra-individuelles sont importantes. Cela veut dire que le temps de récupération est variable d’un individu à l’autre, mais qu’il varie aussi pour un même athlète selon de nombreux paramètres (état de forme avant la course, déroulement de l’épreuve …).   Un large éventail de méthodes de récupération Récupérer ne veut pas dire nécessairement ne rien faire (à différencier de la traditionnelle « coupure » annuelle). C’est la différence entre la récupération passive et la récupération active. On sait qu’une légère activité aérobie (marche, vélo, footing) le lendemain d’une course est bénéfique. Il existe d’ailleurs une multitude de méthodes à utiliser en fonction de ses besoins et de ses moyens. Zoom sur 2 d’entre elles. Les méthodes de contact, parmi lesquelles : les étirements les massages la compression l’électrostimulation les applications thermiques locales le hammam / sauna les alternance de bains chauds / froids     Les méthodes sensorielles : Pour compléter ce large éventail de méthodes de récupération, rajoutons-en encore 2, moins connues et usitées, mais pourtant non dénuées d’intérêt : la luminothérapie et l’aromathérapie (l’utilisation des huiles essentielles) Chacune de ces méthodes présentent des effets physiologiques et psychologiques que nous verrons dans un prochain article… En conclusion, écrivez bien le mot RECUPERATION dans votre plan d’entraînement car c’est une séance indispensable ! Pascal Balducci

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Retour sur le Marathon d’Amsterdam avec Vincent, gérant de TDR ANTHY

Le 20 octobre dernier, Vincent, Responsable du magasin Terre de Running d’Anthy-sur-Léman, a participé au Marathon d’Amsterdam, soutenu par notre partenaire Mizuno. Mais comment s’est-il embarqué dans cette belle aventure ? Tout commence par une histoire de jeu bien sûr ! « Il y a 1 mois, j’ai eu la possibilité de participer à un tirage au sort organisé par MIZUNO. On se dit toujours, je joue mais ce n’est pas moi qui vais gagner…Coup de chance ou de malchance (on ne va pas se plaindre quand même) coup du sort ou du hasard….C’est bien moi qui ait été tiré au sort. » Vincent ne peut plus faire marche arrière et s’élance donc pour la 44ème édition du Marathon d’Amsterdam ! Une preparation rapide La préparation de Vincent dure 5 semaines et se décompose comme suit : 3 semaines avec des séances hebdomadaires entre 60 et 80 km, dont une séance spécifique 1 semaine comptabilisant près de 106 km avec toujours une séance spécifique La 5ème semaine devient plus compliquée pour Vincent, avec de petits pépins médicaux : « je n’ai couru que 55 km cette dernière semaine, en raison d’un mal de gorge. On m’a conseillé de ralentir le rythme afin d’éviter une pneumonie. Du coup, sur les 15 derniers jours de préparation, je n’ai fait que 3 sorties. » LE GRAND DÉPART -JOUR J Nous y sommes ! C’est Le Grand Jour pour Vincent, qui s’apprête à commencer son premier Marathon d’Amsterdam ! « Dossard épinglé, orgueil plus ou moins mal placé, je décide de prendre des risques et de partir sur une allure jamais travaillée en séance : 4’15 au kilomètre. Je ne me sens pas si mal au niveau des sensations, l’allure sera tenue, voire même un peu accélérée jusqu’au 35ème kilomètre. Je suis toujours sur les bases de 2h58, jusqu’au 37ème. Puis, d’un seul coup, extinction des feux ! Je rallie comme je peux l’arrivée avec comme ultime objectif de faire moins de 3h05. Je franchis la ligne d’arrivée dans le merveilleux stade olympique d’Amsterdam, avec un chrono de 3h03’42. » Toute l’équipe Terre de Running félicite Vincent pour cette belle aventure et ce bon chrono, nul doute qu’il fera tomber la barrière des 3 heures au prochain Marathon ! GALERIE PHOTOS Vincent à l’arrivée du stade olympique d’Amsterdam Résultat des courses un temps inespéré en 3h03’42 Nous sommes fiers de Vincent, et lui souhaitons une belle récupération ! Suivez l’actualité du magasin de Vincent sur la page facebook TDR Anthy sur Léman.

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Brassière de maintien Top Strap X-Back : le test par notre ambassadrice

Sujet délicat mais sujet important pour les runneuses ! Petite, moyenne ou grosse poitrine….pas de sous-traitement quels que soient la taille et le niveau de pratique. Tous les sports sont concernés, le Running plus particulièrement avec les chocs et le poids décuplés à chaque foulée. Mais comme pour les chaussures il faut essayer ! Sans tabou, notre ambassadrice Sophie en pleine préparation et ligne droite finale pour les 100km de Millau s’est prêtée au jeu. Elle a testé, elle avait quelques préjugés et craintes et finalement elle a rendu son verdict. Dans cet article, nous vous dévoilons son avis sur la brassière Top Strap X-Back de la marque Thuasne Sport. Ce modèle de brassière a été développé avec le concept unique breveté Top’Strap qui limite significativement les accélérations verticales et horizontales des seins. Maintien des seins : prenez les choses en main ! Notre ambassadrice Sophie vous donne son avis sur cette brassière TOP STRAP X-BACK. « Si je me souviens bien au tout début, le sujet du maintien était quelque peu négligé. Un bas lambda, un soutien-gorge de fond de placard. Un bonnet pour l’hiver. Jambes et bras nus, pas besoin de parure. Mon décolleté ballotté a fini par comploter avec les bien-pensants des forums de médecins du sport. Je me suis penchée sur ma féminité visible et j’ai enfin pris les choses en main. J’avais besoin de maintien. Le fait étant établi, pour le choix, ça se corsait. Les grandes enseignes sont dans la combine. À moins d’avoir les lolos qui s’en balancent il est assez sage de ne pas tomber dans la guêpière de la mode à bon marché et de se tourner vers le giron des marques spécialisées. Une brassière bon marché n’est pas forcement gage de mauvais maintien. Sauf que l’usure prendra rapidement le dessus sur le dessous qui finira vite à la corbeille. Pensez ; une moyenne de, disons, 20 à 40 km hebdomadaires, ça en met du monde en ballottage ! Du maintien ferme. Et du confort Pour le confort, il convient de procéder au crash-test du sac d’hydratation (sur une course longue). L’équation est simple ; brassière plus sac égal frottements. En général c’est sous le jet de la douche que le résultat du test se révèle. Une bonne brassière offre une bonne liberté de mouvement, possède un maintien performant et surtout, surtout. Elle sait se faire oublier. La brassière Thuasne Sport Extrême Support possède ces trois qualités ; testée sur 35 km avec sac à eau, elle a rempli parfaitement le contrat. J’ajoute que je ne me suis pas tartinée le buste de crème anti-frottement (l’armure du coureur de fond), ce que je fais systématiquement avant une sortie longue. Je soupçonne du monde au balcon pour boxer en touche. Voici mon maigre bémol : Si la brassière Thuasne présente toutes les qualités nécessaires à un dessous de sport à haute intensité, la tâche Ô combien délicate du déshabillage post course (très) longue et (faut-il être stupide pour s’y engager) (très) froide, peut s’avérer complexe, voir possiblement obsédante. Cependant, à ce stade, la manipulation du petit bitoniau de l’ouverture facile du biscuit puissance plus n’étant déjà plus dans tes cordes, Thuasne et moi, on a beau être de gros bonnets, on se désengage. Tu veux. Au sujet de la taille, ne faisons pas les prudes, c’est au cœur du sujet. La brassière Thuasne est conçue pour offrir un maintien extrême ; bonnets moulés et bandes de contention. Vous devez la choisir à votre taille très exactement. Cependant, je conseille aux athlètes qui ont les épaules développées (les triathlètes par exemple) de prendre un tour de buste supplémentaire afin de pouvoir assurer un réglage parfait grâce aux trois agrafes situées sur l’avant des bretelles. La brassière Thuasne est assez flexible pour pouvoir se passer sans se dégrafer. » Retrouvez les brassières Thuasne Sport et notamment le modèle Top Strap X-Back sur notre site et dans nos magasins Terre de Running.

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Reconnaissance SaintéLyon par Terre de Running

A quelques semaines de l’événement tant attendu, nous vous attendons pour votre traditionnel rendez-vous du mois de novembre  : la reconnaissance du parcours SaintéLyon 2019 😉 Une « reco » idéale pour se familiariser avec le parcours de cette classique de nuit. En partenariat avec le Lyon Ultra Run et les magasins Terre de Running Lyon, Décines, Limonest et Craponne, rendez-vous le dimanche 17 novembre 2019 pour la Reco des parcours avec 2 options de 36km ou 22km : RELAIS 2 & 3 : ST-CHRISTO – STE-CATHERINE – SOUCIEU Rendez-vous à 7h45 du stade municipal à Soucieu-en-Jarrest Total = 36km et 1000m+/ 1400m – Prévoir 5h15 RELAIS 3 : STE-CATHERINE – SOUCIEU Rendez-vous à 9h45 du stade municipal à Soucieu-en-jarrest Relais 3 : 22km, 550m D+, 900m D-, Prévoir environ 3h15 Infos pratiques : Transport en bus jusqu’à  St Christo ou Ste Catherine (10€ sur inscription) Pensez à prévoir une tenue adaptée à la météo et à la longueur de la sortie ainsi que vos ravitaillements solides et liquides. Ravito final et convivial à la fin de la sortie ? Inscription sur https://www.terrederunners.com/inscriptions-aux-courses/reco-saintelyon-2019-by-tdr/  

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Faites confiance aux brassières Thuasne Sport

On ne le redira jamais assez mais lors de la pratique sportive, il est indispensable d’adopter un soutien-gorge de sport ou une brassière adaptée. Afin de compléter ce rayon dédié aux femmes, les magasins Terre de Running vous proposent de retrouver les brassières de la marque Thuasne Sport, spécialiste du maintien et de la compression médicale, et déjà présente en magasin avec sa gamme d’orthèses. La marque propose une gamme complète de brassières et de soutiens-gorge de sport adaptée aux différentes morphologie et niveaux d’impact des sports pratiqués regroupés en 3 catégories : maintien normal, supérieur et extrême. Concept unique breveté : Thuasne Top’Strap En magasin, vous retrouverez les 2 modèles phares de la marque Thuasne Sport, les brassières TOP STRAP X-BACK 2019 et TOP STRAP ORIGINAL 2019 Ces 2 modèles sont dotés du concept unique breveté Thuasne Top’Strap. Présentation des 2 modèles de brassières : TOP STRAP X-BACK : Dotée de la bande de contention brevetée Thuasne Top Strap, cette brassière procure sans doutes le meilleur maintien de la gamme. Elle réduit significativement les accélérations verticales et horizontales de vos seins pendant l’effort sans les écraser. La doublure intérieure évite les frottements et irritations pour un confort sans gênes. Son dos nageur et ses larges bretelles matelassées réglables lui permettent de s’adapter parfaitement à votre morphologie avec une totale liberté de mouvements. Le tissu du dos en mesh assure l’évacuation de l’humidité et de la transpiration. MAINTIEN EXTRÊME : particulièrement adapté pour les sports à impact fort comme le running/trail, équitation, sports de raquettes, collectifs, combats, … TOP STRAP ORIGINAL : Dotée de la bande de contention brevetée Thuasne Top Strap, cette  brassière est une valeur sûre. Elle assure un maintien performant qui réduit significativement les accélérations verticales et horizontales de vos seins pendant l’effort sans les écraser. La doublure intérieure évite les frottements et irritations pour un confort sans gênes. Le tissu du dos en mesh assure l’évacuation de l’humidité et de la transpiration. L’élastique large sous la poitrine et les bretelles matelassées viennent parfaire l’ensemble pour une liberté de mouvements assurée. MAINTIEN SUPÉRIEUR : particulièrement adapté pour les sports à impact modéré comme le fitness, cross training, vélo, … En complément des conseils de nos équipes, vous pourrez compter sur un affichage pour vous guider dans le choix de votre taille.  » Découvrez les brassières Thuasne et le concept unique Top’Strap en vidéo : A suivre, notre test produit sur la brassière réalisé par notre ambassadrice Sophie ! Retrouvez en magasin les brassières Thuasne Sport.

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