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Que faire avec un syndrome de l’essuie-glace / TFL ?

Le TFL, plus communément appelé « syndrome de l’essuie-glace », est une pathologie répandue chez les pratiquants de course à pied. Manifestée par une douleur sur la face externe du genou, le TFL est une blessure courante qui nécessite bien souvent rééducation et reprise progressive de la course à pied. Quels sont les signes ? Comment améliorer la situation ? Théo Dupras, athlète élite de cross-triathlon et masseur-kinésithérapeute, nous livre son expertise.  Le TFL, c’est quoi ? Pour commencer, faisons un petit tour anatomique. Scientifiquement, nous parlons plutôt de syndrome de la bandelette ilio-tibiale (SBIT). Le tenseur du fascia-lata (TFL) est un muscle qui s’étend du bassin au genou. Sur le côté du genou, on trouve un tendon : c’est la bandelette ilio-tibiale. Sur toute la face latérale de la cuisse, une lame fibreuse est présente du haut de la cuisse jusqu’au tractus ilio tibiale. Autour de 5cm plus haut, cette bandelette va « glisser » sur le condyle externe du fémur lors des flexions et extensions comme le ferait un essuie-glace. Comme tout tissu de notre corps et notamment nos tendons, un stress trop important sur ce tissu avec ce mouvement de « va-et-vient » pourra provoquer une réaction inflammatoire : une tendinopathie. On introduit ici le concept de stress tissulaire qui regroupe tous les facteurs pouvant entraîner l’apparition d’une pathologie :– Stress mécanique : c’est la contrainte mécanique qu’on exerce sur un tissu.– Stress biologique : une adaptation de l’organisme pour s’adapter à l’environnement qui nous entoure. – Stress physiologique ou psychologique :  Fait référence à une réponse physique et émotionnelle liée à notre environnement.  La douleur surviendra généralement pendant votre effort sur la face latérale du genou lors de mises en tensions (course à pied, course en descente par exemple). Ces syndromes sont majoritairement présents dans les sports qui nécessitent beaucoup de répétition. Running, trail ou triathlon sont les disciplines les plus touchées par ce syndrome. Comment guérir du syndrome SBIT ? La priorité absolue est de comprendre pourquoi cette pathologie est apparue ? Quels sont les facteurs de stress tissulaires que j’ai augmentés ou mal coordonnés pourraient expliquer ce TFL ? C’est une pathologie très fréquente et peu de coureur en sont épargnés malheureusement. Il faut prendre son mal en patience et y aller étapes par étapes. Cette pathologie vous permettra aussi de faire énormément de choses en complément et en rééducation. La meilleure chose à faire est de vous rapprocher en premier lieu d’un professionnel de santé (médecin, kinésithérapeute) pour répondre avec lui à cette question, réaliser un bilan clinique. Le « syndrome de l’essuie-glace » se dévoile comme une pathologie mécanique de répétition. Il va donc falloir dans un premier temps alléger l’activité responsable de cette pathologie. On va parler de repos relatif et non de repos strict. Concrètement, que signifie le repos relatif ? Le repos relatif signifie qu’il faut garder une activité physique modérée et non s’arrêter totalement. Reprenez progressivement et alternez marche et course à pied. On peut donc, dans un premier temps, faire des sorties régulières sans dépasser les 10 minutes d’effort, afin de garder un certain stress mécanique.     Cela permettra de renforcer vos tissus et ainsi permettre de réhabituer la BIT (la bandelette ilio-tibiale ) à retravailler de manière spécifique à votre pratique. Le vélo, la natation ne déclenchent aucune douleur, parfait. Profitez de cette transversalité pour travailler des qualités moins évidentes à bosser à pied : vélocité, sortie longue, apnée en piscine, gainage… Ce sont les exemples de sport les plus proches de la CàP mais toute actvité est intéressante : l’escalade vous permettra de travailler gainage, mobilité, coordination bras jambes, les sports de raquettes sont un moyen ludique de travailler votre stabilité… Le renforcement musculaire. C’est le point faible des coureurs et des sportifs en endurance. En plus d’être complémentaire à votre pratique c’est également l’élément clef de votre rééducation, il semble pertinent de vous y intéresser pour comprendre ses différentes modalités Les études récentes donnent comme axes majeurs différents traitements.– Le renforcement musculaire +++– La gestion des stress tissulaires– Assouplissements, étirement des membres inférieurs– Étude du matériel utilisé (chaussures et utilisation éventuelle de semelles orthopédiques.– Reprise progressive et adaptée. Aussi, une analyse vidéo chez Terre de Running vous permettra de déterminer la ou les paires qui correspondent le mieux à votre foulée, votre morphologie et vos objectifs de courses. Ceci dans un souci d’efficacité de la foulée et afin d’éviter ou de réduire le risque de blessures.  Les genouillères Zamst, une solution pour atténuer la douleur ! Spécialisée dans les solutions orthopédiques pour les sportifs, Zamst, la marque Japonaise propose des genouillères comme solutions aux personnes qui souhaitent améliorer leur confort de pratique et leurs performances ! Un sport faisant appel à l’endurance tel le running ou le trail va venir durement solliciter votre genou pendant parfois plusieurs heures. La genouillère RK-1 de Zamst est précisément conçue pour contrer la tendinopathie du muscle Tenseur Fascia Lata (TFL). Les ressorts légers en résine présents à l’intérieur de cette genouillère stabilisent doucement le genou sans gêner le mouvement. COMPEX : L’électrostimulation pour améliorer la récupération et soulager les blessures ! Les appareils d’électrostimulation Compex utilisent des impulsions électriques pour stimuler les muscles, favorisant ainsi la récupération et soulageant les douleurs. La gamme SP offre des programmes spécifiques qui peuvent aider à traiter ces blessures. Par exemple, les programmes « Anti-douleur » peuvent soulager les sensations douloureuses liées au TFL et au syndrome de l’essuie-glace en réduisant la perception de la douleur. L’utilisation régulière d’un électrostimulateur Compex après une séance de course à pied peut contribuer à détendre les muscles, à améliorer la circulation sanguine et à réduire l’inflammation, favorisant ainsi une récupération plus rapide. Les programmes spécifiques de la gamme SP sont conçus pour cibler les zones affectées, offrant un soulagement ciblé et favorisant la guérison. Retrouvez l’ensemble des produits Zamst et Compex dans votre magasin et sur terrederunning.com

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New Balance 880 V13

Le test de la New Balance 880 V13

Du confort, de la stabilité et un excellent amorti… Loréline, gérante du magasin Terre de Running Genay, traileuse et sophrologue, vous présente la dernière New Balance 880 V13. Un modèle route polyvalent qui vous accompagnera sur vos sorties footing ! Étant traileuse sur longue distance, j’ai plutôt l’habitude de collectionner les chaussures de trail, mais depuis le début de l’hiver, je travaille la vitesse et la puissance. Je multiplie donc les séances sur plat et sur bitume. C’est tout naturellement que mon rayon de chaussures de route s’étoffe petit à petit avec la petite dernière arrivée, la Fresh Foam X 880 V13 de New Balance. Quelle joie de pouvoir tester un modèle sur une marque jamais portée auparavant. Ayant les pieds entre fins et standards, je sais déjà que le chaussant m’ira parfaitement. New Balance annonce cette chaussure comme étant amortissante et confortable sans négliger pour autant le dynamisme. Je pense qu’elle sera parfaite sur la route mais aussi plus occasionnellement sur les chemins tracés aux alentours de Genay.  Nouveautés et aspects visuels Aussitôt la boîte ouverte, je mitraille de photos la nouvelle arrivante comme je le fais à chaque nouvelle paire. La forme est fine, la couleur simple et discrète. Elle a une semelle un peu épaisse, avec un drop de 10 mm. Je m’imagine également les porter en mode sportswear au magasin, même avec une robe ou une jupe… autant lier l’utile à l’agréable. Par rapport à la version précédente, la conception de la Fresh Foam X 880 V13 est plus écologique et sa nouvelle semelle extérieure est plus résistante. La tige semble assez respirante et le maintien du pied est optimal. Une chaussure polyvalente et confortable Premier testing sur un fractio 10x40x40… une rude mise à l’épreuve d’entrée de jeu pour un modèle plutôt orienté et pensé pour des allures faibles à modérées, mais je ne suis pas là pour « ramasser des pâquerettes » et j’ai besoin de voir ce qu’elles ont dans le ventre. Cette première sortie se passe plutôt bien. Je sens immédiatement le confort promis par New Balance, un peu moins le dynamisme, mais venant d’une autre paire très dynamique, faite expressément pour de la vitesse, je pense que la sensation est normale.  Je m’amuse à comparer avec une précédente séance de fractionné (10x20x20), faite une semaine plus tôt sur le même parcours. L’allure est quasiment la même 5:23 min/km avec ma paire « dynamique » donc c’est plutôt intéressant avec des sensations différentes certes, mais malgré tout une certaine aisance sur la foulée.  Je test les 880 V13 également dans les chemins légèrement humides, faits de graviers et sur des sentiers « très roulants ». L’adhérence est bonne tout comme la stabilité, l’accroche correcte et la paire démontre une bonne polyvalence. La New Balance 880 V13 est clairement fait pour la route, mais elle peut aussi s’adapter pour quelques escapades sur des chemins non accidentés. Spécialement conçue pour les footings Au fur et à mesure de mes sorties, je me rends compte que cette paire est ma meilleure amie pour mes footings et mes séances de récupération, ainsi qu’un usage quotidien. En effet, même si les premières sorties ont été intéressantes en termes de dynamisme, à titre personnel j’ai besoin d’une chaussure avec moins de drop et moins de semelle car j’aime être près du sol. Conclusion Je pense que cette basket fera parfaitement l’affaire pour les personnes qui : – Cherchent du confort – Débutent la course à pied, car c’est une chaussure qui offre une bonne stabilité, un excellent maintien et un bon amorti – Courent régulièrement, sur des sessions d’entraînement quotidiennes   – Ont besoin d’un drop élevé pour soulager les tendons d’Achille Avis aux amateurs, venez la tester et vous faire conseiller dans votre magasin TDR ! Retrouvez l’ensemble des produits New Balance dans votre magasin et sur terrederunning.com

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Baouw, aux origines !

La marque Baouw est né en 2017 sur les bords du lac d’Annecy et a été fondée par 3 passionnés de sports Outdoor : Gilles Galoux (CEO & expert agro-alimentaire), Benoît Nave (nutritionniste sportif) et Yoann Conte (chef doublement étoilé), qui défendent une nouvelle vision de la nutrition sportive respectueuse de la santé et de la nature. Baouw, [‘bau] : mot-valise formé par la contraction de “boum” et “waouw”, désigne la sensation ressentie lors de la consommation d’une barre ou d’une purée énergétique. Baouw propose en effet une large gamme de barres, purées et fruits secs nutritionnels bio, ainsi que des accessoires, à destination des sportifs et de tous ceux qui recherchent un snack sain. Une nutrition à emporter pleine de goût, facile à digérer, source d’énergie longue durée et sans coups de mou. Des ingrédients simples, naturels, les plus bruts possibles, avec de bons lipides, des protéines végétales et juste le sucre naturel des fruits. Zoom sur les purées énergétiques Baouw : Alternatives naturelles aux gels énergétiques, elles sont pratiques et gourmandes. Des recettes sans sucres ajoutés, fruitées comme salées, à consommer à l’effort ou comme en-cas sain. 4 recettes : – Framboise-Fraise-Basilic – Poire-Pomme-Menthe – Banane-Kiwi-Vanille (la petite nouvelle !) – Patate douce-Carotte-Poivre Timut Concoctées par notre chef 2 étoiles. Yoann Conte et notre nutritionniste Benoit Nave, elles ne contiennent que le sucre naturel du fruit. Parfaitement physiologique, ce sucre est donc assimilé et compris par le corps car il est combiné aux fibres, aux minéraux et autres micro-nutriments des fruits. Il permet de garder tous les apports nécessaires à la performance à l’effort, tout en préservant sa santé. Notre purée énergétique Banane-Kiwi-Vanille, petite dernière de la gamme, est un condensée de nos valeurs et de notresavoir-faire, fruit de la demande des Baouwers, la purée Banane-Kiwi-Vanille vient compléter à la perfection notre gamme de compotes énergétiques enproposant un produit particulièrement adapté aux efforts intenses. Avec son apport glucidique important, notre nouvelle recette s’avance comme une alternative bio, naturelle et savoureuse aux gels énergétiques. Plus d’infos et de conseils sur le blogbaouw : https://www.baouw-organic-nutrition.com/articles 

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Le test de la SpeedGoat 5 par Quentin du magasin de Lyon

La SPEEDGOAT 5, c’est la superstar du trail chez Hoka. Une chaussure qui a su garder les atouts des modèles précédents tout en y ajoutant une dose de performance. Quentin, vendeur à Lyon, a testé ce best-seller de l’ultratrail. Chaque saison, on se demande encore comment HOKA va nous surprendre avec ses nouveautés. Et en même temps, on peut être rassuré. La marque continue sur la conception qui fait sa renommée et la nouvelle SPEEDGOAT 5 ne déroge pas à la règle et fait d’une pierre deux coups. Caractéristiques communes et évolutions Pour commencer, on retrouve des caractéristiques communes à sa version précédente qui ont fait le succès du produit : Amorti conséquent mais avec une légèreté incroyable (291 g seulement en taille 42). Semelle dotée de la technologie VIBRAM® Mega-Grip plus résistante à l’abrasion et des crampons Traction Lug de 5mm pour une adhérence et un freinage efficace en toutes circonstances. Enfin, on retrouve un profil de semelle incurvé mais associé à un drop faible (4 mm). Comme l’annonce HOKA, le but de cette SPEEDGOAT 5 est de revenir avec une version transformée et présentant des améliorations axées sur la performance ! Voyons en détail ces nouveautés, du talon, jusqu’aux orteils : La coque talonnière et le nouveau tirant étendu permettent une tenue optimale du talon et de la cheville, sans entraver l’enfilage de la chaussure. La languette plate à soufflet sur le dessus du pied est plus confort que la version précédente, et s’associe parfaitement au mesh technique jacquard double couche recyclé. Le tout offrant un maintien sur le dessus et l’avant du pied léger mais rassurant. L’embout pare-pierre est toujours présent mais sur l’avant pied la protection TPU a été réduite sur les côtés afin de gagner en poids. Enfin le composé de la semelle intermédiaire est toujours le même (CMEVA), mais HOKA réussit l’exploit de le rendre encore plus léger sans pour autant influer sur son épaisseur. Personnellement, en ce qui concerne le design et l’ergonomie du produit, on voit et sent tout de suite que cette nouvelle version a été optimisée pour plus de performance. HOKA le dit mot pour mot, elle offre tout ce que vous aimez de la SPEEDGOAT mais en mieux ! Esthétiquement, HOKA place encore la barre très haut : que ce soit chez la femme ou chez l’homme. En effet, les coloris sont pêchus et dynamiques, tout en gardant une belle harmonie ! Plus de performance pour l’ultra-trail Tous les atouts posés sur la table, il était désormais temps de tester ce monstre de trail ! Pour un gabarit léger comme le mien (173 cm pour 62 kg), le fait que cette nouvelle version soit allégée et encore plus axées sur la performance et l’impulsion est parfait. Cependant, elle conviendra aussi à un profil plus lourd grâce à un amorti conséquent propre à HOKA.Etant passé par HOKA, il y a quelques années sur leur modèle route Clifton, je suis agréablement surpris et même rassuré que le soutien au niveau de la voûte plantaire soit moins marqué. En effet, ça avait été un point presque bloquant pour moi à l’époque. C’est désormais de l’histoire ancienne. Ayant le pied assez fin, j’apprécie également que la chaussure soit assez fit et proche. C’est le cas au niveau de l’arrière pied et du talon grâce à la coque talonnière et au nouveau tirant, mais également sur le dessus et les côtés du pied grâce à l’empeigne composé d’un textile dynamique et flexible. Je me retrouve avec un peu plus de place à l’avant pied que ce que j’ai l’habitude de porter mais ce n’est pas pour me déplaire. Cela permet de laisser de l’espace aux orteils et de travailler un peu plus sur les sensations et la proprioception. De plus, le mesh est ultra respirant, ce qui permet au pied d’être à l’aise en toutes conditions ! Concernant la semelle intermédiaire, quelle que soit la distance, elle offre un confort impressionnant sous le pied et un déroulé fluide propre à la marque. En effet, on se sent propulsé sur l’avant à chaque foulée. Malgré tout, cela peut en faire une paire assez exigeante sur de plus longues distances. Attention donc aux personnes souffrant déjà de tensions ou blessures sur la chaîne musculaire postérieure (Tendons d’Achille, Mollets, etc..) car le drop faible viendra accentuer la sollicitation à ce niveau-là. Pour ma part, je suis d’ordinaire sur des paires ayant moins de volume en semelle intermédiaire, préférant ressentir un peu plus ce qu’il se passe sous mon pied et être plus en contact avec le terrain. Néanmoins, sur cette nouvelle SPEEDGOAT 5, pas besoin d’être au plus proche du sol pour se sentir rassuré. On est véritablement en confiance avec la semelle extérieure et les crampons qui offrent un excellent grip par tous temps et sur tous types de terrain. Aucun problème à traverser quelques portions de route également. Cette nouvelle version de la SPEEDGOAT que nous propose HOKA est donc un concentré de polyvalence comme on le connaissait déjà sur les modèles précédents mais optimisé sur la légèreté et le dynamisme. HOKA tient encore une fois ses promesses avec sa superstar du trail technique ! Venez découvrir les SPEEDGOAT dans votre magasin Terre de Running et sur votre site internet.

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Le test de la Mizuno Wave Daichi 7

Du confort, de la protection, une bonne accroche … et tout ça avec style ! Marie, membre du team Terre de Running Ambérieu-en-Bugey, vous présente la dernière Daichi 7 de chez Mizuno. Un modèle trail unique et accrocheur !  » Il y a quelques semaines, j’ai reçu un message de Cyril, gérant du magasin à Ambérieu, qui me fait la proposition de tester le tout dernier modèle de chez Mizuno, la Wave Daichi 7. Très heureuse, j’accepte en me disant que c’est l’occasion de tester une chaussure novatrice et avec une approche peut être différente de ce que l’on connaît. Pour planter le décor, moi c’est Marie 32 ans, 1m70 et 65 kilos. Question activité physique, je bouge beaucoup, notamment sur les sports pleine nature. Actuellement responsable technique, je développe également mon entreprise de coaching en sport santé et sport adapté. Je pratique le trail, le VTT et plus particulièrement le canicross ! Et quoi de mieux qu’une sortie comme celle-ci pour entrer dans le vif du sujet ! Le temps est bien pluvieux et les conditions météorologiques me donneront très vite un avis sur cette fameuse Daichi 7 et sa semelle Michelin. Côté évolutions et caractéristiques, la Wave Daichi 7 intègre désormais la technologie Wave de Mizuno qui, avec la mousse EVA, garantit une plus grande stabilité sans négliger sa capacité d’amortissement. Quant à la tige, les Daichi 7 ont un tissu respirant et élastique, renforcé par des joints thermiques qui offrent une plus grande protection. C’est parti pour un canicross sur une dizaine de kilomètres avec environ 250 de D+. La pluie, les cailloux et la boue sont au rendez-vous… Et bien sûr, ma chienne en grande forme. Les baskets ont intérêt à bien suivre. Je suis immédiatement conquis par la petite dernière de chez Mizuno. On m’avait vendu la Rock Plate à l’avant pied pour une protection maximale et c’est bien le cas. Une accroche solide en descente où j’ai pu prendre confiance et lâcher les watts à fond dans la pente. Le maintien est, lui aussi, au rendez-vous avec les technologies AP+ et U4icX qui offrent plus de sécurité et une bonne absorption à chaque impact. Ma super acolyte canidé, valide également le bon dynamisme en montée de la chaussure, qui me permet de bien relancer et d’avoir une foulée légère… et donc moins lourde à tracter ???? Quelques jours plus tard et cette fois seule, je pars sur une sortie souple, au terrain plus sec et moins technique, mais toujours bien vallonné. Une vingtaine de kilomètres avec 800 de D+ . L’amorti est là, le pied est confortablement bien installé dans son chausson, bien protégé des chocs. Sur la longueur, la chaussure peu par moment manquer un tout petit peu de tenue sur la cheville, et ce, en fin de parcours. Côté stabilité et confort, la Wave Daichi 7 fait le job ! Une dernière sortie en séance de cote afin de voir ce qu’elle a vraiment sous la semelle… Et c’est validé ! La traction, l’adhérence et le dynamise répondent présent pour aider aux objectifs fixés. J’ai aimé : la forme et l’accueil du chausson, le confort, l’amorti et la semelle de grande qualité qui amène une adhérence parfaite ! Et en plus ça, elles sont très stylées ! En résumé, c’est une basket légère, agréable et adaptée pour trail sur courte et moyenne distance en chemin ou terrain humide et gras. Excellente paire pour des coureurs débutants et intermédiaires. Venez découvrir la Mizuno Wave Daichi 7 dans votre magasin Terre de Running et sur votre site internet.

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Paire de chaussures NewBalance 880V11

Le test de la New Balance Fresh Foam 880 V12 par Sophie !

Du confort, de la neutralité, de la stabilité… Présentation de la New Balance Fresh Foam 880 v12, testée par Sophie Valantoine, spécialiste de la course à pied, styliste et modéliste ! Je me réveillais à peine de mon hiver ensommeillé de journées trop courtes, de travail trop long de ciel trop gris, d’enfin de tout ce que l’on peut trouver comme excuse pour courir peu, procrastiner beaucoup et emmagasiner des projets qu’on parvient à tenir, une fois sur deux. Elles sont arrivées dans leur boîte rouge siglée de blanc. New Balance, comme un réveil, un coup de klaxon, ou comme le feu du volcan qui va se réveiller ( si tu as la référence, c’est que tu étais préado en 1984 et que tu écoutais du Sardou dans ton walkman Sony ). De V11 à V12 : une nouvelle semelle testée à la Sarra J’avais testé la NB V11 l’an dernier, bleue comme la maison accrochée à la colline et légère comme l’oiseau. Malgré leur confort, je ne les avais pas poussées très loin, mais elles ont amorti 300 km et je les porte encore aujourd’hui pour faire les escaliers (comprendre pour les monter au pas cadencé, pas pour faire ma commère, j’use la semelle, et si j’ai la langue bien pendue, c’est parce que je m’entraîne). La nouvelle mouture arrivée à mes pieds était donc une aubaine. Je savais déjà avec certitude que cette New Balance V12 nouvelle génération allait me plaire, mais j’étais impatiente de la comparer avec sa grande sœur. La petite nouvelle présente bien ; éclipse, mesh bleu nuit et logo clémentine, la styliste que je suis adopte illico la combinaison de couleurs ; bleu et orange sont complémentaires, c’est peut-être un détail pour vous, mais pour moi ça veut dire, beau coup stylistique. Je chausse prompto direction la Sarra. Je m’y aligne, pour des 24 heures au petit bonheur, un mois avant échéance, il est temps de s’entraîner un peu, et sans traîner ! La boucle est idéale pour un test stabilité et moelleux. C’est ce que promet la marque, je ne vais pas me priver. La boucle de la Sarra, pour qui ne s’y est jamais frotté, c’est du gravier, de la terre, du pavé, du bitume, de l’escalier, du pentu et du ardu. Un parfait mélange pour un test grandeur nature en pleine ville, je suis du genre à vouloir autopsier sans concession mes bécanes, mais, citadine oblige, je m’adapte avec le terrain que j’ai sous la main. Ah, la Sarra, à quelques foulées de mon domicile, ça ira ! Pas de surprise, ou plutôt, si ; la V12 est non seulement très confortable, mais elle s’est améliorée, il me semble ; la semelle en mousse absorbe les irrégularités du terrain sans pour autant en gommer le relief. La qualité numéro un d’une chaussure de course est, à mon sens, de savoir survoler le plateau sans en masquer les enjeux. Ne pas sentir ce que l’on a sous la semelle, c’est risquer un mauvais placement du pied, trop le ressentir, c’est s’exposer à des échauffements. La grande qualité de la V12, c’est donc sa semelle, qui nous assure un pied de fer dans un chaussant de velours. Le principal est acquis. Je rechausse plus tard pour deux tests dynamiques, une sortie tempo sur les quais avec du rythme et une séance de fractionné au parc. J’imagine que les puristes de la piste crieraient à trop de confort, on ne brûle pas le bitume en chaussons, je répondrais que ne hennit, on peut jouer au cheval de course, sur une sortie bien piquante, la V12 en a sous le capot ; parfaite cylindrée pour qui veut alterner les allures, sans pour autant changer de carrosserie. Dernière sortie, on passe au long, j’enquille 20 kilomètres et 775 D d’escaliers sans broncher, ça balance pas mal, en 880 V12 W. Pour finir en beauté, puisque ma nouvelle compagne de running n’a plus rien à me prouver, je décide de l’emmener sur mes 24 heures de l’Ultra boucle. Elles m’accompagneront toute la nuit sur la boucle, sans jamais me décevoir, je les changerais à 12 heures de course, soit à plus de 70 km et 3000 D+, non pas pour cause d’inconfort, mais parce que la descente de la piste devenant périlleuse et que je n’avais plus le moteur pour pousser sur le plat, j’ai troqué mes chères hybrides V12 par des trail pur jus. Le mot pour conclure Stylée et confortable, la Fresh Foam W880 V12 de New Balance n’est pas vraiment une belle endormie, c’est une dynamique, un vrai festival, j’étais si contente d’elle, que j’ai fait la boucle 58 fois, en chantant ! Venez découvrir la NewBalance 880 V12 dans votre magasin Terre de Running et sur votre site internet.

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Le test de la Scott Supertrac RC2

La chaussure iconique trail de chez Scott revient pour une deuxième version encore plus robuste et dynamique. Conçue pour le « skyrunning », la Supertrac RC2 est une chaussure idéale pour les sorties techniques en montagne. La Supertrac fait partie de la gamme RC ou « racing concept ». Comme pour le reste des produits identifiés sous cette bannière, la Supertrac est une chaussure orientée course, créée pour courir vite et en milieu technique. 3 ans après la toute première RC, la Supertrac est de retour avec un look tout aussi agressif : une nouvelle semelle extérieure primée Radial Traction pour une traction et une durabilité améliorée, ainsi qu’un jaune et noir iconique de la marque suisse qui ne passe pas inaperçu. Premières impressions et caractéristiques Cette RC2 est dotée de plusieurs technologies et autres améliorations pour être encore plus à l’aise et confortable dans des parties pentues, glissantes, escarpées et où l’accroche devient primordiale. RADIAL TRACTIONCette semelle extérieure a été conçue pour la pratique de la course à pied dans les environnements montagneux les plus techniques. Avec cette nouvelle version, la durabilité et la traction sont optimisées. AEROFOAM+Cette technologie offre une foulée confortable mais stable ; exactement ce dont vous avez besoin pour fournir une performance optimale sur les terrains techniques de montagne. TIGE EN SCHOELLER COLDBLACK®Avec la technologie coldblack®, l’absorption de chaleur est réduite au minimum. On obtient ainsi une gestion de la chaleur nettement améliorée. Une semelle à toute épreuve Après plusieurs sorties en chemins secs, terreux et caillouteux et quelques passages et transitions sur route, il faut bien dire que la semelle est le gros point fort de cette chaussure. Elle remplit bien son rôle de protection tout en apportant un amorti correct sur les parties un peu plus cassantes. Sans transmettre un retour d’énergie énorme comme pourrait le faire une Endorphin Trail par exemple, la Supertrac permet de descendre et surtout de monter tout en gardant une certaine traction et légèreté. La semelle externe a été retravaillée avec des crampons de 5 mm qui offre une surface de contact plus importante et donc une meilleure accroche par rapport au précédent modèle. Les crampons sont très efficaces sur tous les types de revêtements et offre une stabilité sans faille. Sur les différentes portions de route, la chaussure n’est pas dans son élément, mais la semelle très légèrement incurvée permet de ne pas trop subir le bitume. Suffisant pour faire quelques (petits) kilomètres sur route en transition. Un modèle conçu pour les terrains rocailleux Plutôt ferme, légère et dynamique, cette RC2 offre un équilibre intelligent pour des sorties rapides et elle trouve notamment tout son potentiel en montagne, sur des terrains difficiles. La conception est d’excellente qualité et malgré son orientation « course », elle ne néglige en rien le confort et cette sensation de protection une fois la paire chaussée. Le mesh est solide, tout comme les protections qui incitent à crapahuter en terrain technique. Plus polyvalente que ses rivales de la catégorie, cette chaussure est adaptée à tous les terrains trails. Points forts et conclusion Une chaussure idéale et incontournable pour des trails techniques sur des distances moyennes ! Dynamisme. Déperlance et régulation de l’humidité. Accroche, traction et durabilité. Drop : 5 mm. Légèreté : 238 g en taille 40. Découvrez la Scott Supertrac RC2 dans votre magasin Terre de Running et sur votre site.

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Le test de la Saucony Peregrine 12 !

Une chaussure trail agressive et légère, un drop faible de 4mm, une bonne stabilité latérale et un look plutôt sympathique… Présentation de la Saucony Peregrine 12, par Pierre du magasin TDR Lannion qui a passé au crible ce modèle trail ultra polyvalent de chez Saucony. Déballage et premières impressions  En ouvrant la boîte, on tombe face à une chaussure très jolie esthétiquement avec un jaune pétant qui amène un peu de couleurs à vos sorties. On sent tout de suite que le produit a un côté « race » avec un aspect agressif. Elle semble être joueuse et dynamique. Pour continuer l’analyse, on y retrouve une semelle extérieure bien crantée qui donne envie d’aller jouer dans les chemins boueux. Cette nouvelle pérégrine est totalement différente du précédent modèle. Elle a gagné en campons avec une nouvelle configuration et a perdu quelques grammes (environ 30 pour le modèle homme en taille 42,5). Le chausson est également différent avec un style un peu plus affiné. La tige est allégée et le fit plus marqué. On sent que cette Peregrine 12 met l’accent sur la performance et les courtes distances Pour me présenter, je suis un traileur d’1m75 pour 62 kg donc plutôt léger, ayant pour distance favorite les trails de 25-30kms. Je suis localisé en Bretagne, à Lannion. Les sentiers sont variés avec beaucoup de cailloux et des forêts plus ou moins grasses. Essayage et mise au pied Une fois enfilée, on se sent tout de suite à l’aise. Le confort d’accueil procuré par le FormFit est tout de suite rassurant. Le pied est bien maintenu au niveau du talon et du médio-pied et on garde un peu de place à l’avant de la chaussure ce qui permettra aux personnes ayant un pied un peu fort d’être à l’aise .En-tout-cas une chose est sûr, c’est qu’on a là un produit confortable et surtout léger ! Direction le GR34 pour la première sortie Afin de tester ces Pérégrine 12 en conditions réelles, c’est sur le GR34 pour une sortie d’allure avec un peu de technique dans les rochers humides. On sent que la chaussure est joueuse et qu’elle répond bien lorsqu’on commence à mettre un petit peu de rythme, tout en gardant du confort avec l’amorti mouelleux (pwrun). Pour ce qui est du grip, j’ai été vraiment surpris par son accroche même sur rochers humides. Deuxième sortie en conditions humides ! Pour cette deuxième sortie, j’ai opté pour un footing d’une heure en sous-bois en testant les capacités de cette chaussure dans la boue et les parties grasses. Objectif : sauter dans les flaques et foncer dans les parties grasses en descente et en montée en espérant ne pas glisser. Test vraiment convaincant, les crampons ont une très bonne traction et assure une très bonne stabilité sur terrains humides. Ils sont bien orientés, de manières à éviter que la terre stagne entre eux. Du long pour terminer Pour terminer ce test, je voulais tester la stabilité de la chaussure sur des parties roulantes tout en gardant une allure footing. Sortie plus que convaincante ! En revanche, on sent qu’au bout de plusieurs kilomètres la pose de pied est différente et que le pied perd un petit peu de sa stabilité. On garde tout de même du confort sur les parties bitumées. CONCLUSION : Du confort et surtout du dynamisme ! Cette Pérégrine 12 est un très bon compromis entre légèreté et confort. Avec un chausson très agréable et une accroche infaillible. On retrouve tout de même un très bon amorti moelleux, qui saura satisfaire grand nombre de coureurs. Si vous êtes à la recherche de dynamisme pour vos entraînements ou compétitions, sur trail court ou moyen, vous trouverez là le produit qu’il vous faut. Pour à peu près tous les usages, avec une préférence pour les terrains humides et les distances courtes/moyennes. Points forts : confort, dynamique, polyvalence Venez découvrir la Saucony Peregrine 12 dans votre magasin Terre de Running et sur votre site.

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Le test du soutien-gorge Anita Dynamix Star par Murielle, TDR Bidart

Sur le marché des brassières de sport, Anita est une marque qui se positionne avec des produits ultra confortables et d’excellents maintiens. Un système de bretelles exclusif, des matériaux respirants… Découvrez le test du soutien-gorge par Murielle Miguelgorry du team Terre de Running Bidart. J’ai tout de suite été plus que motivée, lorsque TDR m’a proposé de tester une brassière trail & running de chez Anita. Lorsque j’ai rejoint la Team TDR en juillet 2019, Gilles de Terre de Running Bidart a été catégorique sur l’importance du soutien-gorge pour la course à pied et le trail running. Je me suis fait presque réprimander pour ce paramètre pris trop à la légère ! « Il est primordial de préserver la santé de la poitrine et il ne faut pas le négliger, c’est très important ! » m’a-t-il dit. Depuis ce jour et cet échange, je l’ai écouté et n’ai plus jamais couru avec des brassières de fitness ! Il est fréquent pendant des sorties running de ressentir des gênes et douleurs aux seins. Le bon maintien de ces derniers permet à la fois d’être plus à l’aise sur différents entrainements, mais aussi et surtout de protéger la santé des femmes. Je partais du principe, bien candidement, que les bons soutien-gorge étaient faits pour les fortes poitrines uniquement et je négligeais complètement ce paramètre et courais avec à peu près tout ce qui me tombait sous la main ! Mon critère de sélection étant plus ou moins les couleurs, les motifs et les paillettes ! Alors pas de motifs ni de paillettes pour ce soutien-gorge Dynamix Star de chez Anita, en revanche toutes les autres cases sont cochées et bien cochées ! Habillage / Déshabillage Déjà, une fois en place, on ne le sent pas. Aucune gêne, aucune douleur, aucune oppression, il se fait littéralement oublier ! Et la poitrine ne bouge pas, malgré le fait qu’il n’y ait pas de couture au niveau des bonnets – pour un confort optimal ! C’est vrai que les coutures peuvent être un vrai fléau : elles grattent, elles irritent, elles font des marques quand elles ne blessent pas ! Surtout sur les longs trails ! Ici, aucune inquiétude à avoir puisqu’il n’y a pas de couture ! C’est vrai que la première sensation sur la peau est bonne. Pour en parler, il faut tester, alors en piste ! J’ai eu la chance de pouvoir le tester avec le collant assorti, collant au tissu fonctionnel à reliefs 3D qui massent et tonifient les muscles en même temps, avec une bonne compression qui rend les jambes légères. Très agréable ! Le soutien-gorge est facile à mettre et une fois en place, il ne bouge pas. Quelques sauts tests, tout reste bien en place ! Aucune gêne… c’est parti ! Pour le déshabillage, idem. Il se dégrafe d’une main et s’enlève facilement. Le soutien-gorge Dynamix Star de chez Anita est doté d’un système de bretelles exclusif. Positionnées astucieusement sur le milieu des épaules les bretelles se règlent par l’avant, et le dos est largement ouvert, tout en assurant un excellent maintien de la poitrine. Le dos reste plutôt esthétique et harmonieux. Transport d’humidité : Le soutien-gorge se fait oublier, certes, mais comment gère-t-il le transport d’humidité ? Parce qu’avoir une brassière qui se gorge de transpiration, c’est tout sauf agréable ! Ici, le soutien-gorge est en microfibre, ce qui non seulement lui donne un toucher soyeux et agréable, mais aussi une excellente thermorégulation de la peau. Cette dernière reste somme toute au sec malgré un effort intense. Alors les températures en ce temps de testing ne sont pas encore estivales, donc je ne peux juger de cette climatisation de la peau par forte chaleur et grosse transpiration, néanmoins je peux assurer qu’entre 10 et 15 degrés, le soutien-gorge ne se gorge pas d’eau et sèche vite ! Maintien en course : Le soutien-gorge Dynamix Star d’Anita n’a pas de rembourrage. En même temps, il épouse plutôt bien la poitrine et le serrage est optimal, clairement la poitrine ne bouge pas (test en taille 85C). Il est aussi léger, en ce sens qu’il se fait oublier : ni pression, ni oppression, il ne gène en rien la respiration, ne tire ni au niveau des bretelles ni dans le dos, il fait presque double peau au final. C’est indéniablement un plus qui a son importance. J’ai également testé la brassière sur des séances de fitness avec sauts, burpees, pompes, etc. Et là encore, le maintien est assuré, en douceur et au sec. Idem sur des séances de vélo route. En même temps les impacts n’y sont forcément pas du tout aussi marqués qu’en course à pied. Les plus pour conclure L’élastique sous la poitrine Les bretelles suffisamment larges, ajustables sur le devant et qui se rejoignent à l’arrière du dos. L’absence de coutures au niveau des bonnets. L’attache double crochets au dos pour s’assurer d’un bon maintien Le tissu microfibre qui le rend soyeux au toucher. Sa légèreté et sa thermorégulation Venez découvrir la brassière Anita dans votre magasin Terre de Running et sur votre site internet.

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Brooks Adrenaline GTS 22 : entre douceur et soutien

L’un des modèles phare de Brook s’améliore encore ! Une chaussure confortable avec un amorti intégral et des transitions en douceur. L’Adrénaline GTS 22 revient pour un confort accru kilomètre après kilomètre. La semelle intermédiaire a fait l’objet d’une mise à jour majeure, avec désormais une composition 100% de DNA Loft. Alliance parfaite de l’air et du caoutchouc, l’amorti DNA Loft procure une sensation de légèreté, mais avant tout de confort et de moelleux. Il est également réactif et durable. Cette semelle intermédiaire encore plus souple associée au « segmented crash pad » forment un duo super puissant qui offrent des atterrissages tout en douceur et des transitions fluides. Le chaussant de ces modèles a été amélioré : Le mesh en 3D Fit Print équilibre l’extensibilité et la structure de la chaussure pour qu’elle épouse confortablement ton pied. Ce modèle saura répondre à vos besoins pour vos runs sur route ou chemin, principalement pour l’entrainement. L’Adrénaline GTS 22 : Pour les coureurs qui ont besoin d’une combinaison parfaite entre le maintien, l’amorti, la flexibilité et la fiabilité. Ce modèle est fait pour vous si vous avez une foulée pronatrice ou si lors de vos sorties un peu plus longues, vous sentez que votre pied a un peu tendance à s’affaisser. En effet, l’Adrenaline GTS 22 est dotée du système de soutien intégral que l’on appelle Guiderails. Son principal atout ? Il ne se met en action que lorsque votre corps en a besoin. Si votre foulée nécessite, à un moment donné, du maintien, il agit pour maintenir l’alignement du corps et éviter les mouvements excessifs tout en gardant une foulée naturelle. Ainsi protéger, vous éviterez les blessures. À découvrir en magasin et sur terrederunning.com

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