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montre gps tomtom adventurer

Montre GPS TomTom Adventurer, au coeur de l’outdoor

Partez au cœur de l’aventure avec la montre GPS TomTom Adventurer. Découvrez sa présentation et ses fonctionnalités :   Les caractéristiques de la nouvelle montre TomTom Adventurer GPS, boussole et baromètre Ecran anti-rayures durable et super-résistant Connectivité Bluetooth® Smart Étanche jusqu’à 40 m (5 ATM) Jusqu’à 10 heures d’autonomie (GPS activé) et jusqu’à 20 heures en mode Randonnée Commande à bouton unique Capacité de 3 Go de musique Prise en charge des casques (audio HiFi via profils A2PP et AVRC) Prise en charge des formats MP3 et AAC. La nouvelle montre GPS TomTom Adventurer est idéale pour les sports de plein air avec son GPS altimétrique. Les données et les parcours sont en temps réel pour partir à la découverte de nouveaux espaces sans complexe!

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courir en musique

8 conseils pour courir en toute sécurité

Sans tomber dans la paranoïa la plus sclérosante, mieux vaut prendre quelques précautions lorsqu’on court seule. Non pas parce qu’un sadique se cache derrière chaque buisson, mais parce qu’il vaut mieux prévenir que guérir. Quelques astuces très simples suffisent pour s’entraîner sans psychoter. Voici nos conseils pour courir en toute sécurité. Conseil n°1 : Ne partez pas sans prévenir Choisissez qui vous voulez : votre maman, votre meilleure amie, votre voisin, votre patron… Mais dites à quelqu’un que vous partez courir seule, précisez quelle sera la durée approximative de votre sortie et dans quel secteur vous allez. Bien entendu, cela implique d’avertir aussi la personne quand vous rentrez ! Conseil n°2 : Adieu le MP3 à fond dans les oreilles ! Courir en musique, c’est super sympa. Mais avoir les deux écouteurs fichés dans les oreilles, ce n’est pas franchement l’idéal pour savoir ce qui se passe autour de vous. Si vous êtes accro au MP3, ne portez qu’une oreillette et laissez l’autre oreille disponible pour entendre les bruits de votre environnement. Les traileuses ont sans doute déjà constaté qu’être à l’écoute de la nature est tout aussi relaxant que trotter au rythme du dernier tube à la mode. Et ça évite aussi parfois de se trouver sur la route d’un vététiste déchaîné ! Conseil n°3 : Brisez la routine Pour ne pas être repérée facilement, variez vos entraînements ! Changez d’horaire et de parcours afin que personne ne puisse anticiper où et quand vous courez. Par la même occasion, vous éviterez aussi de plonger dans une routine bien souvent synonyme de lassitude et de démotivation. Conseil n°4 : Portez des couleurs vives Bon, d’accord, si vous courez dans les parcs en ville, ce conseil n’est pas ultra pertinent. En revanche, si vous trottez dans les bois, il revêt une importance particulière en période de chasse : pour que les chasseurs ne vous confondent pas avec un chevreuil, portez des vêtements flashy (rose vif, jaune, orange…). Conseil n°5 : Adoptez un mini-portable Qui ne vous a pas conseillé de faire votre footing en emportant votre smartphone « au cas où » ? Si vous êtes fan de la sortie en musique, vous êtes peut-être équipée d’un brassard pour y glisser votre téléphone. Mais si vous ne courez pas avec vos écouteurs, emporter un téléphone devient plus difficile. Sauf si vous adoptez un mini-portable ! Vendus sur internet pour prix modique (autour de 20 €), ces téléphones miniatures sont hyper pratiques : pas chers et tout petits (de la taille d’une carte de crédit), ils permettent de glisser sa carte SIM, de téléphoner et d’envoyer des SMS. L’essentiel en cas d’urgence ! Conseil n°6 : Soignez le choix de votre itinéraire Il y a des évidences : quand on court seule, on évite les parcours peu sécuritaires (longues portions sombres à la nuit tombée, coins isolés facilement accessibles en voiture, quartiers peu recommandables…). Préférez les zones éclairées, relativement fréquentées ou a priori sans danger. Conseil n°7 : Baguez-vous ! Cela fait un peu « surveillance des oiseaux migrateurs », mais c’est une idée à la fois simple et efficace : portez un bracelet d’identification. Il en existe différents modèles : simple bracelet en plastique avec une plaque métallique où vous faites inscrire ce que vous voulez (nom, prénom, personne à prévenir en cas d’accident, groupe sanguin…) ou bracelet-clé USB qui permet de saisir, via des formulaires tout prêts, non seulement votre identité mais aussi des informations médicales. Conseil n°8 : Soyez lumineuse ! On vous a déjà dit que vous étiez rayonnante, mais ce n’est pas une raison pour négliger votre équipement quand vous courez dans la nuit ! Pour être vue des véhicules (vélos, voitures, autobus…), portez des accessoires tels que brassard à LED, vêtements à empiècements réfléchissants, lampe frontale ou encore clip lumineux à accrocher à l’arrière de vos chaussures.   Marie Paturel

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préjugés nutrition sportive

10 préjugés en nutrition sportive

10 vrai-faux en nutrition sportive 1. Pour avoir de l’énergie, il faut des glucides : INEXACT L’organisme est en mesure de produire de l’ATP (la molécule énergétique) à partir du glucose, d’acides aminés ou d’acides gras. Tout est une question d’intensité. Schématiquement, plus on court à haute intensité (pourcentage élevé de sa VMA), plus on utilise les glucides. Mais en dessous de 80% de VMA, les lipides prennent une place qui devient rapidement majoritaire dans la production d’énergie… D’autant plus que l’on s’entraîne à courir avec des réserves de glycogène basses. En réalité, plus on habitue l’organisme à consommer des glucides, moins il sait utiliser les lipides. Ensuite, les glucides ne sont assimilables qu’en faible quantité pendant un effort, ils ne peuvent donc permettre de tenir très longtemps. Tout est donc une question d’intensité, à définir avec l’entraîneur. 2. Les gels sont une source d’énergie rapidement disponible et très digeste à l’effort : FAUX Les gels sont rencontrés dans la plupart des marques de nutrition sportive qui en proposent presque toutes une ou plusieurs versions. La quantité d’eau qu’ils contiennent dépasse rarement les 30%, ce qui est très peu, et fait de ces « liquides » des aliments hypertoniques. En mots plus clairs, ils sont difficiles à assimiler, et resteront plus longtemps dans l’estomac, provoquant un ralentissement du passage des glucides vers l’intestin… Ils nécessiteront donc un temps de digestion plus long que ce que l’on espère. Une utilisation inconsidérée augmente le risque de coup de mou, et de troubles digestifs. Pour obtenir un effet « coup de fouet », on a vu mieux ! Il convient de les utiliser avec prudence, par petites quantités, et de boire au moins un peu d’eau pour qu’ils soient moins concentrés dans l’estomac, et donc plus assimilables. 3. Plus je mange de pâtes (sucres lents) la veille d’une course et plus je pourrai courir longtemps. La théorie du « plus je mange, plus je stocke » ne fonctionne pas à tous les coups. Trop d’aliments surcharge le système digestif qui ne peut pas tout assimiler. Donc rien ne sert de manger beaucoup à la veille d’une course, au contraire. Les glucides restants seront fermentés, et provoquent souvent le « syndrome de la pasta party », c’est à dire une accélération du transit intestinal, et le besoin logique de se soulager pendant la course. Le stockage du glycogène ne peut se faire en un seul repas. Des méthodes existent, organisées sur la semaine précédant une course. Nous aurons l’occasion de l’aborder. 4. La boisson énergétique c’est commercial, de l’eau et du sucre, c’est pareil : FAUX Eh bien non, ce n’est pas juste commercial… Il suffit de lire la formule pour faire la différence, encore que parfois les ingrédients puissent se compter sur les doigts d’une main. De plus en plus de boissons ont des formules complexes, avec des glucides aux vitesses d’assimilations différentes, des minéraux, des vitamines, et dans le meilleur des cas un peu d’acides aminés. Derrière ces innovations intéressantes pour la réputation d’une marque, se cachent des notions scientifiques poussées. Une boisson est utile pendant l’effort, car elle accélère l’absorption de l’eau, compense une partie des pertes minérales, protège l’intestin, et diminue l’inflammation provoquée par l’effort. On ne peut pas en dire autant de l’eau simplement sucrée. 5. Pour éviter de prendre du poids, il faut manger moins gras ; FAUX C’est une légende tenace, et qui semble pourtant si logique ! Le tissu adipeux tant redouté par le poids inutile qu’il représente, contient bien des graisses, mais celles-ci ne sont pas issues d’une alimentation riche en graisse. Les acides gras alimentaires sont utilisées pour de nombreuses fonctions physiologiques, et ne sont pratiquement pas mis en réserve dans le tissu adipeux. Les glucides sont stockés dans le foie et les muscles sous forme de glycogène, mais la place est limitée ! Quand on en consomme trop, ils sont transformés en graisses par le foie, et mis en réserve en prévision de temps de famine… réflexe de survie très ancien !! Une autre substance, dérivée des sucres, se transforme aussi directement en graisse : l’alcool. C’est mortel pour prendre du poids ! Les études sont de plus en plus nombreuses à recommander de ne pas exclure les graisses de qualité de l’alimentation, afin de prévenir… l’obésité, les troubles métaboliques et les pathologies cardiovasculaires et inflammatoires ! 6. Rien de mieux qu’un bon steak comme source de protéines pour la récupération : FAUX La viande bovine, plus particulièrement quand elle vient de l’industrie, n’est pas la plus intéressante pour apporter les nutriments de la récupération. Elle contient des acides gras oméga 6 précurseurs de médiateurs pro-inflammatoires, fatigue l’intestin et le foie, et n’a même pas un profil en acides aminés intéressant. On lui préférera les poissons, ou la volaille fermière, sans oublier tout le reste ! car la récupération n’est pas qu’une question de protéine, loin s’en faut ! 7. Des crampes ? Rien de tel que des pastilles de sel ! ARCHIFAUX ! Les mécanismes responsables de l’apparition des crampes sont complexes, et les physiologistes n’ont pas encore trouvé toutes les réponses. Dans les causes possibles, on trouve le manque d’entraînement spécifique, la déshydratation, et on parle parfois de la déminéralisation. Mais l’apport de pastilles de sel n’a jamais donné le moindre résultat valable. En revanche, elles sont parfaites pour provoquer un appel d’eau dans l’intestin, et une diarrhée dans les quelques minutes qui suivront. Autant s’hydrater correctement, choisir les bons objectifs… et tenir les allures adaptées. 8. Pour performer, rien ne vaut la suppression du gluten : DISCUTABLE On parle beaucoup des méfaits du gluten, et nombre d’athlètes ont vu leurs performances augmenter de manière surprenante après avoir supprimé totalement cette protéine céréalière. Ce n’est pas le cas pour tout le monde, la sensibilité au gluten est très variable d’une personne à l’autre. Bien souvent, les personnes ayant retiré un grand bénéfice de la suppression totale du gluten… en faisaient une consommation largement excessive (plusieurs portions à chaque repas !).

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Immersion avec les athlètes du team

Vivez un week end de stage avec le Team Terre de Running Mizuno et faites connaissance avec les athlètes… Une vidéo en immersion avec les athlètes du team lors de leur stage d’entrainement effectué à La Rosière (73), station partenaire.  

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La coupure annuelle en course à pied

Quelque soit votre niveau, la coupure annuelle en course à pied est indispensable pour progresser et continuer à prendre du plaisir de saison en saison. Pourquoi et comment « couper »? Pour quels bienfaits? Suivez nos conseils pour effectuer une coupure optimale.

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choisir sa brassiere de sport

Le saint du sein : le soutien-gorge de sport

Quand on parle d’équipement de course à pied, on insiste toujours sur l’élément clé : les chaussures. Pourtant, pour nous les filles, un autre composant de la panoplie de la parfaite runneuse est crucial : le soutien-gorge de sport. Comment choisir son soutien-gorge de sport?   Utile le soutien-gorge de sport ? On connaît la tendance minimaliste qui s’est emparée des coureurs américains avant de déferler en Europe : revenir à l’état originel de l’homme en courant pieds nus, ou presque. On connaît moins la mode (elle aussi américaine) du minimalisme en termes de soutien-gorge. Pour faire bref, l’idée est de courir sans sous-vêtement pour revenir à une pratique 100 % naturelle qui permettrait, selon les défenseurs de cette approche, aux muscles de la poitrine de se renforcer et de jouer leur rôle de maintien. Il paraît que, passées les premières sorties un peu inconfortables, les seins s’adapteraient aux contraintes de la course à pied. Bon, soyons honnêtes : on est plutôt sceptique ! Lorgnons donc du côté des rayons sous-vêtements pour fouiller parmi les nombreux modèles de brassières et soutiens-gorge. On préfère en effet ne pas prendre de risque ! Outre les douleurs liées à l’absence de maintien pendant l’activité sportive, c’est carrément un enjeu esthétique qui se joue. Des titis qui pendent comme deux vieilles chaussettes, non merci ! Brassière ou soutien-gorge de sport? Nos conseils pour bien choisir  : Un soutien-gorge traditionnel ne convient pas au running (ni au sport en général d’ailleurs). Il faut absolument investir dans une brassière ou un soutien-gorge spécifique. Ne courez pas avec votre beau soutien-gorge en dentelle ! Non seulement il ne protègera pas votre poitrine, mais en plus la sueur risque fort de réduire sa durée de vie ! A choisir, nous préférons  la brassière plutôt que le soutien-gorge car elle laisse une grande liberté de mouvement et se fait oublier. On préfère des bretelles croisées ou un dos en Y qui assurent, à nos yeux, un meilleur maintien et un meilleur confort que les bretelles droites. Essayez toujours une brassière ou un soutien-gorge de sport avant de l’acheter : vous devez vous sentir à l’aise, la poitrine bien tenue (sans pour autant être compressée !). Certaines marques graduent la force du maintien : le running étant un sport à impacts, prenez le maintien le plus fort, y compris si vous avez une petite poitrine. Si vous courez régulièrement, changez une à deux fois par an votre brassière pour assurer le meilleur maintien à votre poitrine. Côté entretien, évitez de passer vos sous-vêtements (et vêtements) de sport à 50°C et au sèche-linge ! Privilégiez le lavage à la main ou un cycle de lavage très doux, à basse température (idéalement à froid, sinon à 30°C maximum) et un essorage minimaliste (400 tours/minute). Lavez votre brassière après chaque entraînement car c’est elle qui est aux premières loges question transpiration, sel et bactéries.   Dans tous les cas, si vous avez la poitrine douloureuse après avoir couru, réagissez ! Commencez par changer de sous-vêtement et, si le problème persiste, consultez votre médecin du sport.     Marie Paturel Journaliste. Son site : https://marymaryrunrun.com/

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Lutter contre l’apparition des crampes

Les crampes peuvent apparaître durant ou après un effort, que celui-ci soit de courte ou de longue durée. Elles se manifestent par une contraction intense et douloureuse d’un muscle durant plusieurs minutes. Elles peuvent survenir au repos, pendant le sommeil, ou lors d’un effort physique, que ce soit durant l’échauffement, pendant l’exercice, ou même pendant la phase de récupération. Au cours d’un effort les muscles les plus touchés sont les membres inférieurs et en particulier les mollets. L’origine des crampes est complexe et peut résulter de différents facteurs (physiques et métaboliques) durant la pratique sportive : La déshydratation : si vous ne vous hydratez pas correctement et régulièrement tout au long du parcours, l’état de déshydratation apparait très rapidement, entrainant une perte importante en sels minéraux par les voies sudoripares (transpiration) Manque de préparation à l’effort : lorsque les entrainements, échauffements et étirements sont peu présents ou mal exécutés avant une compétition Mauvaise alimentation : carences en vitamines et minéraux La consommation excessive d’excitants : l’abus de café/thé ou de produits à base de caféine/théine Le froid : lié à une mauvaise circulation sanguine. Il n’y a pas de solution miracle pour limiter l’apparition des crampes ! Il faudra s’entrainer régulièrement et de façon progressive pour atteindre vos objectifs ; s’échauffer avant le départ ; s’hydrater avant, pendant et après l’épreuve ; avoir une tenue adaptée aux conditions climatiques et surtout avoir une alimentation équilibrée, riche en sel, magnésium, potassium et vitamine B6. En termes d’alimentation et d’hydratation, voici quelques conseils : Etablir un plan hydrique à suivre quotidiennement quelques semaines avant une compétition et durant les périodes d’entrainements, en buvant entre 2 à 3L d’eau par jour répartis en plusieurs prises sur la journée complète. Favoriser la consommation d’aliments riches en vitamines K : huile de colza, brocoli, laitue, persil, épinard, fenouil, haricot vert, poireaux, etc.. Favoriser la consommation d’aliments riches en vitamines B6 : dinde, thon, foie de bœuf et d’agneau, saumon, morue, poulet, pomme de terre, etc.. Favoriser la consommation d’aliments riches en magnésium : céréales complètes, fruits secs, chocolat, amandes, fruits de mer, chou, oignon, etc.. Durant le parcours voici quelques conseils pour maximiser l’utilisation des produits Nutrisens Assurez-vous de ne pas être déshydraté avant le départ. Buvez une boisson d’attente antioxydante 1h avant le début du parcours de type : Boisson AC+, elle vous permettra de faire le plein d’énergie, de vitamines et minéraux essentiels ; mais également de vous hydrater. Durant le parcours, privilégiez une boisson riche en sels minéraux telle que la boisson Hydra Max qui vous permettra de refaire vos stocks en électrolytes ou AC+.Vous pouvez également tester la pastille Hydra Tabs (goût neutre ou fruits rouges) composée uniquement de sels minéraux, à prendre seule ou en complément d’une boisson de l’effort. Pour les efforts longs, en milieu de parcours prendre le gel AC+ et/ou une barre antioxydante. Il faudra vous hydrater convenablement à raison de 2-3 gorgées toutes les 10-15 minutes en alternant boisson de l’effort et eau pure. Alimentez-vous de façon régulière en alternant boisson + barre et boisson + gel toutes les heures à partir de 2h d’effort. Cela permettra de vous apporter les nutriments et minéraux nécessaires par le biais de goûts, et textures différentes afin de ne pas vous lasser. A l’arrivée il sera également nécessaire de bien récupérer afin de réhydrater au mieux votre organisme en consommant dans les 30 minutes qui suivent : Des eaux riches en bicarbonates, plus précisément des eaux gazeuses tel que : Vichy, Badoit, etc. afin de vous recharger en électrolytes, vitamines et minéraux La boisson Speed Récup et la crème lactée en gourde Récup Max afin d’apporter un stock de protéines et de glucides pour réparer et reconstruire les fibres musculaires.   Le site de Nutrisens Sport.

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Nutrition sportive : quels effets sur la performance ?

On admet désormais partout (même si les scientifiques étudient encore la question) que l’activité physique et une alimentation « équilibrée » sont deux importants facteurs de bonne santé. Mais la nutrition peut-elle vraiment améliorer la performance ? Si ce n’est pas le cas, quels peuvent être les réels bénéfices de la nutrition pour le sportif ? La question est vaste, elle suggère des réflexions confinant parfois plus à la philosophie qu’à la pratique sportive, mais on a besoin de réponses simples et précises. C’est ce à quoi nous nous attacherons dans cette rubrique. La nutrition a pour principal rôle de permettre à nos organes de fonctionner, afin de nous maintenir en vie, si possible en bonne santé. Les activités sportives n’ajoutent que quelques complications à ce but ultime. Les nutriments ont été étudiés de multiples manières, et leurs effets directs sur la performance ont toujours été très relativisés. Il n’en sont pas pour autant inutiles, mais leur effet « boost » est un rêve bien souvent éloigné de la réalité. Il faut donc faire la part des choses entre le marketing, parfois un peu racoleur, et les effets réels des produits du marché. Pour remettre les choses à leur place : Le rôle des vitamines est de permettre aux « rouages » cellulaires de fonctionner. Cela vaut pour une cellule musculaire comme pour un neurone ou un globule blanc. Une cellule carencée en vitamines ne fonctionne pas correctement, les carences affectent donc la performance. Le rôle des minéraux et des oligoéléments est complémentaire de celui des vitamines. Ils interviennent dans la transmission des messages nerveux, dans la résistance au stress, dans la contraction-relaxation musculaire, dans la production d’énergie… Partout ! Leur carence diminue donc également la performance. Les oméga 3, quant à eux, sont des régulateurs de la réponse inflammatoires. Ils constituent une clef de voûte de la nutrition sportive, et doivent être apportés par l’alimentation de manière quotidienne. Les antioxydants ont aussi leur rôle à jouer, et l’alimentation doit en garantir les apports quotidiens par les fruits et légumes. Les glucides – nous en reparlerons encore – sont une source d’énergie rapidement utilisable, mais ils ne sont pas les seuls à entrer dans ce cadre. Leur assimilation en plein effort est limitée à bien des niveaux, donc ils ne sont pas une panacée universelle, mais restent indispensables, en petites quantités et en apports réguliers. Les acides aminés et les protéines permettent de produire de l’énergie, de reconstruire et de protéger les tissus, de produire des neurotransmetteurs, des hormones, de réguler l’inflammation… En somme, il s’agit de faire en sorte que la machine fonctionne bien. De fait, un organisme non carencé, en bonne santé, pourra mieux répondre à un entraînement difficile, qu’un corps fatigué, en manque de micronutriments essentiels, incapable de résoudre les inflammations générées par l’entraînement. Il faut donc prendre soin de son alimentation bien en amont de chaque compétition, de manière quotidienne. La nutrition en course, quant à elle, est très personnelle, et doit se définir progressivement… Avec l’aide d’un spécialiste ! A bientôt, et bonne digestion… de votre prochaine séance !   Jean Joyeux Coach et formateur en nutrition Spécialiste en micronutrition du sport Découvrez son portrait ici

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