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On a testé la frontale Led Lenser SEO7R

Gilles, coureur et client à Terre de running Bourgoin nous fait part de son retour après avoir testé la lampe frontale LED LENSER SEO7R. Découvrez son retour produit : « En lieu et place de ma PETZL, satisfaisante mais limitée, l’opportunité d’essayer le modèle SEO7R de LED LENSER m’est apparue très intéressante. En apparence, elles semblent similaires : Poids de 93g avec batterie (107g avec piles) pour la LED LENSER , contre 88g à sa concurrente un ensemble bloc lumineux /piles d’un volume comparable, avec une qualité de fabrication similaire de part et d’autres.   Mais la comparaison s’arrête là. En effet, au-delà d’un niveau de budget différent (80€ contre 35€), en 3-4 ans, les choses ont bien évolué. J’ai désormais droit à 220 lumens contre 70 précédemment ! Un phare à côté de mon ancienne frontale, pourtant pas ridicule. C Certes l’autonomie à pleine puissante est limitée à 5h (pour ma SaintéLyon ça risque d’être court) mais en tout état de cause, c’est trop juste pour une nuit entière aucune concurrente à ma p’tite connaissance ne tient pleine puissance pendant 9 à 10h. Au-delà de la puissance, la SEO7R est bien pensée et n’oublie rien : Une molette facile à manipuler pour focaliser plus ou moins l’éclairage (de diffus à centré). Un système d’inclinaison très facile à gérer avec 2 doigts. Un système d’éclairage puissance maxi, réduit ou… paramétrable, extrêmement pratique !     Vous pouvez la définir à votre guise, suivant vos besoins, de puissance ou optimisation d’autonomie. Par exemple, en montée, là où on a moins besoin d’intensité lumineuse, je mettais un mode pré-réglé par mes soins, contrairement aux descentes où j’utilisais le maxi.Il est aussi possible d’utiliser le mode « intelligent » automatique qui adapte l’éclairage en fonction de l’intensité lumineuse rencontrée. Génial dans l’esprit, mais une fois la nuit tombée l’intensité est forcément à fond. Avec ma Petzl j’avais pris l’habitude de la couper dès qu’il y avait des lampadaires lors de la traversée de bourgs et villages, alors….. En tout cas, beaucoup de points forts évidents .S’il faut cependant trouver quelques « reproches », en poussant le vice à fond, 100 lumens de plus (avec les mêmes caractéristiques), elle deviendrait alors incontournable. » Merci à Greg de TDR Bourgoin 😉

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fabien antolinos la recup d'après course

Intégrer la récupération dans l’entraînement

Étymologiquement, récupérer c’est retrouver quelque chose que l’on a perdu. Mais que perd t-on à l’entraînement ou après un trail de quelques heures à plus d’une journée parfois ? Des forces, certes, de l’envie, sûrement ; mais on ne fait pas que perdre en faisant un effort ! On gagne aussi beaucoup…de fatigue dont il va falloir traiter les causes et les conséquences. récupérer pour mieux s’entraîner Les différentes pathologies dont souffrent les traileurs et traileuses (tendinopathies, fractures de fatigue, entorse, burn out …) sont dues à la répétition des charges et non à la nature du terrain. Beaucoup enfilent les entraînements et les courses comme des perles et sombrent joyeusement dans l’addiction. Pourtant, la récupération fait partie de l’entraînement. Guillaume Millet parle même d’«entraînement invisible», formule qui devrait encourager la pratique.   Récupérer pour booster l’effet forme On peut concevoir aisément la pratique sportive avec 2 effets associés : un effet fatigue et un effet forme. Quand je rentre d’un entraînement, je suis moins en forme qu’avant d’y aller. L’entraînement m’a fatigué et a diminué ma capacité de performance. Si je retourne rapidement à l’entraînement avec des charges mal-adaptées, j’augmente l’effet fatigue et je diminue davantage l’effet forme, et ainsi de suite jusqu’à la rupture. Par contre, si je laisse à mon organisme le temps nécessaire de la récupération, il va s’adapter et élever son niveau de potentiel : c’est la surcompensation à l’origine de la forme. Ce principe est valable à l’échelle de la semaine comme du mois ou de la saison (ou pour chaque cycle d’entraînement). C’est pour cela que de nombreux programmes sont basés sur le modèle suivant : 3 semaines de travail pour une semaine de repos relatif. Cette dernière semaine, légèrement OFF, permet de recharger les batteries sur les plans physique et mental. Et après les compétitions ? Il y a tout d’abord l’avant-compétition : appelé phase d’affûtage ou tapering, pendant laquelle l’athlète diminue les charges de travail pour espérer une surcompensation optimale le jour J. La longueur de cette période est proportionnelle à la durée de la compétition qui va suivre. Pour un ultra trail, le dernier bloc de travail se situe généralement à S-3. Ensuite, on conserve une bonne fréquence d’entraînement mais on diminue fortement le volume. Après la compétition,  la règle est la même : on récupère sur un temps proportionnel à la durée de la course mais aussi en rapport avec son expertise. Pour un trail court entre 20 et 30 kms, 7 à 10 jours sont requis. Pour un trail plus long, entre 30 et 50 kms, 7 à 15 jours selon les individus, voire plus. Pour un trail de 50 à 80 kms, 3 semaines sont souvent nécessaires. Au-delà de 80 kms, il faut environ 1 mois pour bien récupérer.   Mais 2 questions se posent, que veut dire « récupérer » et que fait-on pendant la récupération ? récupérer : comment et par quels moyens ? A-t-on récupéré quand on a plus mal aux jambes ? Certaines études scientifiques ont été mal traduites et le message envoyé porte à confusion. Par exemple, quand Guillaume Millet montre qu’après 15 jours, un ultra-traileur (course de 160 km) a retrouvé une parfaite intégrité musculaire au niveau des membres inférieurs, associée à zéro douleur, peut-on dire que l’athlète a récupéré ? Certainement pas, car la récupération ne se limite pas aux jambes. C’est le métabolisme dans son ensemble qui est concerné (système nerveux, hormonal…). Par exemple, un indice comme la Variabilité de la Fréquence Cardiaque, marqueur du système nerveux autonome, montre qu’un bon mois est nécessaire pour recouvrer son intégrité, parfois plus. De même, quand Grégoire Millet conclue après le Tor des Géants (330km et 24000m d+) que la fatigue musculaire y est moindre que sur un 160km, cela veut-il dire qu’un Tor des géants est moins fatiguant et qu’on en récupère plus vite ? La réponse est non bien entendu, et beaucoup retrouvent difficilement le goût de courir l’année suivante. La récupération est liée à la fatigue, et il n’existe aucun marqueur universel de la fatigue. De plus, les variations inter et intra-individuelles sont importantes. Cela veut dire que le temps de récupération est variable d’un individu à l’autre, mais qu’il varie aussi pour un même athlète selon de nombreux paramètres (état de forme avant la course, déroulement de l’épreuve …).   Un large éventail de méthodes de récupération Récupérer ne veut pas dire nécessairement ne rien faire (à différencier de la traditionnelle « coupure » annuelle). C’est la différence entre la récupération passive et la récupération active. On sait qu’une légère activité aérobie (marche, vélo, footing) le lendemain d’une course est bénéfique. Il existe d’ailleurs une multitude de méthodes à utiliser en fonction de ses besoins et de ses moyens. Zoom sur 2 d’entre elles. Les méthodes de contact, parmi lesquelles : les étirements les massages la compression l’électrostimulation les applications thermiques locales le hammam / sauna les alternance de bains chauds / froids     Les méthodes sensorielles : Pour compléter ce large éventail de méthodes de récupération, rajoutons-en encore 2, moins connues et usitées, mais pourtant non dénuées d’intérêt : la luminothérapie et l’aromathérapie (l’utilisation des huiles essentielles) Chacune de ces méthodes présentent des effets physiologiques et psychologiques que nous verrons dans un prochain article… En conclusion, écrivez bien le mot RECUPERATION dans votre plan d’entraînement car c’est une séance indispensable ! Pascal Balducci

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Vidéo : reconnaissance TDR de la Saintélyon 2016

Vous étiez nombreux et nombreuses dimanche 13 novembre pour la reconnaissance des parcours de la Saintélyon avec Terre de running. Merci pour votre présence et aux encadrants de Lyon Ultra Run et des membres du team terre de running Reconnaissance TDR de la Saintélyon 2016 Découvrez la vidéo     merci à Arthur Baldur pour le montage. Bon courage aux coureurs de la 180 (aller-retour Saintélyon) le 3 décembre prochain !

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TDR Toulon : sortie running testing prépa trail

Rendez-vous au magasin Terre de running Toulon le 6 décembre pour préparer votre prochain trail. Sortie Running-testing « prépa trail » le 6 décembre. Une sortie running encadrée pour tester : les chaussures adidas Running les montres Polar les lampes frontales LED LENSER RDV à partir de 18h30 pour profiter des conseils et tester les produits ➡ Inscription sur http://events.polar.com/event/xd3Pa ➡ Informations complémentaires auprès de notre équipe en magasin.  

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Comment s’habiller pour courir l’hiver ?

Le froid arrive et parfois nous perdons la motivation pour courir en extérieur. Pourtant les dernières technologies en textile nous garantissent un confort optimal pour continuer à courir même par temps froid. Nous allons ici détailler des conseils afin de vous équiper en conséquence. S’habiller pour courir l’hiver : le b.a-ba Il est d’abord important de rappeler quelques règles afin d’optimiser ses couches de vêtements : Il n’est pas nécessaire d’empiler les couches. Il suffit d’avoir  juste la bonne couche, au bon endroit au bon moment… et non pas 3 pulls, 3 paires de chaussettes…. Évitez les vêtements en coton qui épongent la sueur mais qui ne l’évacuent pas. Privilégiez des produits techniques respirants, créant une barrière thermique contre le froid autour du corps. Ajustez la taille des 3 couches : l’hiver la finalité de ce concept est d’acheminer le plus rapidement possible la transpiration à l’état de vapeur, vers l’extérieur. Au plus les vêtements sont larges, au plus on augmente la distance entre les couches, et donc au plus on augmente le risque de condensation, à savoir le risque d’avoir froid plus ou moins rapidement   3 couches pour le haut du corps Pour le haut du corps, il est recommandé de respecter le concept des trois couches : la 1ère couche doit être respirante. Elle est ajustée près du corps pour absorber la sueur au plus vite afin de rester au sec. Souvent les tee-shirts manches courtes ou longues en matière technique correspondent à cette couche. Des produits comme le Breath Thermo de Mizuno permettent d’utiliser par leur technologie la transpiration pour se réchauffer. Seule couche indispensable quelque soit le pratiquant.     la 2ème couche doit être isolante, toujours respirante. Elle doit rester proche du corps pour évacuer la transpiration et est souvent composée d’un gratté polaire. Cette couche peut-être ajustée en terme d’épaisseur, voire optionnelle en fonction de la température et de votre résistance au froid. C’est elle qui assure l’apport thermique nécessaire à votre confort. la 3ème couche doit être protectrice. Elle nous protège des intempéries comme le vent, la pluie ou la neige. En fonction de la météo, on choisira un produit coupe-vent ou imperméable (type Gore-Tex), sachant que le degré d’imperméabilité (de la déperlance à l’étanchéité) devra être adapté en fonction des conditions climatiques de la pratique. Ce textile est très souvent zippé de bas en haut pour réguler la température sous cette couche. Pensez aux extrémités Autre conseil primordial : pensez à bien vous couvrir la tête et les mains : un bonnet, un buff (ou bandeau) et des gants. Ces produits sont très facilement « retirables » et on peut les mettre dans le cuissard ou dans votre sac. Et le bas ? Pour le bas du corps, les collants longs sont les plus adaptés par temps froid. De plus, ils permettent un meilleur maintien musculaire et peuvent faciliter la récupération. Vous pouvez aussi utiliser un collant avec des propriétés de compression; vous combinerez ainsi confort, maintien et récupération. Quel entretien ? Pour l’entretien de vos textiles et vêtements running, privilégiez les lavages à 30°C. Enlevez les adoucissants et les assouplissants qui réduisent l’efficacité des produits respirants. Les produits techniques running sèchent rapidement, il est donc conseillé d’éviter le sèche-linge. En magasin spécialisé, vous pouvez aussi trouver des produits dédiés à l’entretien des textiles et anti-bactériens.

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Le cross, pas qu’une histoire de spécialistes

Le cross,  l’école de la course à pied : n’hésitez pas, foncez ! La course à pied s’étend sous des formes très variées, de l’athlétisme traditionnel, à la course nature ou la montée de building, en passant par la course sur route, il existe mille façons de pratiquer. S’il ne devait rester qu’une seule discipline qui soit le meilleur compromis entre tout, ce serait vraisemblablement le cross-country. Comment intégrer le cross dans sa préparation? Quel que soit son profil de coureur, le cross-country est abordable à tous et présente des intérêts non négligeables quelle que soit votre spécialité. Ce n’est pas un hasard si l’on y retrouve des spécialistes mais aussi des pistards, des routards, des traileurs, des triathlètes…ou encore des coureurs d’orientation. C’est vraiment la discipline de la course à pied qui rassemble ! Le cross-country, qu’est-ce que c’est ? Cette discipline dont l’origine remonte au 19ème siècle en Grande Bretagne se pratique en milieu naturel durant la période hivernale sur des distances allant de 4 à 12km selon les catégories. Le parcours se divise souvent en plusieurs boucles de différentes tailles à parcourir plusieurs fois ce qui le rend facile à suivre pour les spectateurs. On y retrouve tous types de sols naturels : herbe, chemin, terre, sable… souvent agrémentés d’obstacles naturels (côtes, descentes, troncs, virages, boue…) ce qui le rend très varié et ludique mais qui demande aussi des qualités physiques très complètes pour y réussir. La plupart du temps les cross se courent avec des chaussures à pointes afin d’avoir des appuis plus solides. Le cross, une discipline pour tous ! Il n’y a vraiment pas d’âge pour la pratique du cross-country. De l’école d’athlétisme au vétéran, tout le monde y trouve une course avec un format adapté à sa catégorie. Chez les très jeunes cette discipline s’avère très ludique, aide à développer des habiletés motrices très intéressantes et peut se pratiquer par équipe. Chez les plus âgés cela peut très bien être un objectif à part entière, un moyen de préparation ou encore une bonne manière de limiter l’influence de l’âge sur la baisse des capacités physiologiques. Développer ses qualités physiques Premier intérêt du cross : développer un ensemble de qualités physiques et physiologiques. La pratique du cross, de par sa durée et son terrain, nécessite un panel de qualités physiques variées : puissance aérobie, endurance aérobie (>85%PMA), capacité lactique, puissance musculaire. Ce sont, pour la majorité, des qualités qui sont transférables et bénéfiques quelle que soit la pratique que l’on a le reste de l’année : pour le coureur de demi-fond court, c’est donc l’occasion de faire une bonne phase de foncier et de travail musculaire le traileur  pourra développer sa puissance aérobie ou « vitesse » pour le coureur sur route ou le pratiquant d’un autre sport, le cross permet de se faire une bonne condition physique générale de base .   Le travail de puissance musculaire (qui se fait généralement en côte ou par du renforcement spécifique), pourra quant à lui être les prémices d’un travail de dénivelé pour le traileur, de puissance spécifique pour le demi-fondeur ou une préparation générale pour le coureur sur route. Développer ses qualités techniques et motrices Le terrain rencontré avec de la boue, des virages, des montées, des descentes… va induire des appuis, une foulée et un placement qui va devoir sans cesse s’adapter à celui-ci. L’entrainement et la compétition vont donc être un bon moyen d’améliorer ses appuis, sa foulée ou encore sa lecture du terrain pour choisir la trajectoire la plus adaptée. L’adaptation de la foulée au terrain, notamment par la gestion du rapport fréquence/amplitude dans les différentes parties d’un même parcours va permettre à chacun de développer des habiletés motrices permettant de faire face à toute situation en d’autres occasions et quelle que soit sa discipline de prédilection. La variété des sols rencontrés (boueux, mou, dur, propre…) va aussi induire des adaptations sur la pose d’appuis pour essayer de rester le plus efficace possible. Il faudra tout simplement être habile pour bien se sortir de certaines situations. Ce travail d’appuis est pour moi un point important de la préparation spécifique cross. Développer ses qualités mentales Le cross se pratique souvent dans des conditions dures. Il faut souvent braver le mauvais temps et la grisaille, la boue en compétition ou la nuit pour s’entraîner. C’est probablement la discipline la plus dense en terme d’adversité. Chaque seconde ou place peut compter. Il faut se battre et ne rien lâcher à chaque instant. Enfin, le cross se court à une grande intensité – de l’ordre de 90% de VO2max – ce qui nécessite un engagement total.Il faut se faire violence pour essayer d’optimiser son potentiel. Tout ceci va contribuer à développer vos qualités mentales qui vous serviront en maintes occasions dans la suite de votre saison et même dans votre vie de tous les jours.   Comme vous avez pu le constater, le cross est une vraie discipline à part entière qui présente de beaux intérêts quel que soit son profil de coureurs. C’est vraiment l’école de la course à pied. C’est aussi le mélange des genres et des générations et souvent l’occasion de partager de belles aventures en équipe au sein d’un club. Alors avec l’arrivée de l’hiver, vous savez ce qu’il vous reste à faire….   Julien Rancon

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session trail urbain TDR

Session trail urbain

Rejoignez nos sessions trail urbain à Lyon Au départ du magasin de Lyon centre une fois par mois le jeudi, nous vous proposons une session running gratuite et encadrée par un coach. Sortie tous niveaux oriéntée trail urbain, renforcement pour vos préparer à vos prochaines courses. dates à venir jeudi 24 novembre jeudi 15 décembre Infos pratiques RDV à 19h au magasin Terre de running Lyon – rue de la Barre Session tous niveaux Durée environ 1h15 Attention pas de vestiaire   Informations complémentaire auprès de nos équipes en magasin  

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seb hours lut by night 2015

Reco trail Castor Garou – TDR Antony

Venez reconnaître le parcours du trail du Castor garou ! Le magasin Terre Running Antony vous  propose une sortie trail de nuit le Mercredi 16 Novembre dans le cadre de la reconnaissance du parcours du Castor Garou. A cette occasion, les participants auront la possibilité de tester des chaussures trail  Salomon et des montres Suunto. Expérience trail requise et frontale obligatoire. Inscriptions en ligne : https://goo.gl/forms/ZTqVZilEzscnZXBM2  

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Saintélyon : gagnez votre dossard

gagnez votre dossard pour la célèbre course nocturne de décembre !   En partenariat avec BV Sport France, remportez votre dossard sur l’un des formats SOLO de la Saintélyon. 72km, 44km, 23km ou 12km il y en a pour tous les goûts et tous les niveaux ! Pour jouez, remplissez le formulaire : https://goo.gl/forms/1cswI5mSoJQKi3ga2       Le vainqueur sera tiré au sort. Bonne chance !  

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