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challenge des monts du lyonnais

Challenge 2017 des Monts du Lyonnais

Challenge 2017 des Monts du Lyonnais : retrouvez toutes les dates et les étapes du challenge ci-dessous. Un challenge en partenariat avec Terre de running qui compte 6 étapes. Premier rendez-vous le 8 janvier avec l’Hivernale des Coursières.   Toutes les infos sur http://cml69.unblog.fr/ Retrouvez les résultats 2016 du challenge des Monts du Lyonnais   Inscriptions en ligne : c’est par là  

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wave rider 20 mizuno

Evolutions de la Wave Rider Mizuno

Découvrez les évolutions de la Mizuno Wave Rider depuis 1998. Découvrez la nouvelle Wave Rider 20 Mizuno Design, technicité, confort, la nouvelle Rider 20 est déjà disponible chez les spécialistes running.

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cuissard-csx bv sport

Cuissard de compression CSX BV Sport

Nouveau cuissard de compression BV Sport dédié à la pratique du trail. Le cuissard CSX BV Sport vous permet d’encaisser les vibrations et les chocs avec son système de compression sélective. Les quadriceps sont maintenus et les ischios protégés. Confort garantit avec une ceinture élargie et renforcée, des coutures anti- frottements et une poche à l’avant pour le côté pratique. A découvrir en vidéo.

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vincent terre de runners bourgoin

Vincent, un terre de runners en route vers Paris 2017

Vincent prendra part en avril prochain au marathon de Paris avec le team Compex. Ce Terre de runners « addidct », captaine du groupe Terre de runners Bourgoin revient de loin… Comment as tu démarré la course à pied? Je suis venu au sport sur le tard pour pallier des soucis de santé. J’ai commencé à courir à plus de 26 ans (il y a 10 ans) principalement pour perdre quelques kilos superflus. Durant plusieurs années j’ai pratiqué la course à pieds de manière plus ou moins régulière, soit en sport unique en prévision de petites courses, soit combinée à d’autres activités sportives : escalade, natation, sport mécanique (participation au Championnat de France Supermotard en 2013). Durant ces années, deux types d’épreuves mythiques me faisaient rêver : le marathon, et le triathlon longue distance type Iron Man. Différents projets m’ont toujours fait repousser ces tentatives, jusqu’au jour où un gros souci de santé a tout changé : une hernie discale avec risque de paralysie d’une jambe ayant rendu obligatoire une opération du dos courant 2014. Comment as-tu vécu cette période de convalescence? Pendant cette longue période d’inactivité, de nombreux doutes ont traversés mon esprit. Certaines personnes m’affirmaient que je ne pourrais jamais refaire de sport. Mes « rêves » de Marathon ou d’Iron Man s’éloignaient petit à petit ! Au final, j’ai été complètement alité 5 mois (23h/24). Une centaine d’heures entre les mains des kinés (qui m’ont permis de découvrir l’électrostimulation) ont été nécessaires avant d’avoir les feux verts des médecins pour reprendre le sport. Une reprise qui a dû se faire en douceur pour réhabituer le corps, et permettre d’éliminer la vingtaine de kilos pris pendant cette période. Après quelques semaines de travail, les résultats ont commencé à être suffisamment bons pour peut-être pouvoir espérer atteindre ces « rêves », sans attendre, mais avec la nécessité de me préparer sans (trop) griller les étapes. Comment se sont passées les premières courses? La première fut mon premier semi-marathon, moins de 18 mois après l’opération avec un résultat encourageant pour programmer mon marathon 1 an plus tard. Pour atteindre cet objectif, je me suis préparé pendant 1 an, aussi bien physiquement que mentalement. C’est durant cette période que  j’ai eu la chance de rencontrer Greg, propriétaire du magasin Terre de running Bourgoin, un passionné de running, dont l’expérience et les conseils m’ont permis d’atteindre mon objectif ! J’ai participé et terminé mon premier marathon en 4h12 à Tours. Comment t’entraînes-tu? En un peu plus d’un an de pratique très assidue, ce n’est pas les podiums qui me motivent, mais plutôt le dépassement de soi, me prouver à moi-même que je peux le faire. C’est aussi ce sentiment de plénitude lors d’une sortie ou course en nature, la rencontre et le contact avec de nombreux passionnés… Mes semaines d’entrainement sont surtout basées sur de l’endurance fondamentale avec 2 séances. Avec cette reprise du sport à 0, c’est surtout ce point qui avait besoin d’être travaillé pour être sûr d’atteindre la ligne d’arrivée du Marathon. A cela s’ajoute une séance « plaisir » en groupe sur parcours et rythme varié typé trail ou route, et pour finir une sortie longue avec du travail à allure spécifique. Hors période de préparation spécifique, des séances de natation ou de vélo peuvent remplacer certaines séances pour varier un peu. Sans oublier un peu de renforcement général (mais pas suffisamment…) Le seul « problème » dans cette histoire c’est que je suis devenu « addict ». Dans les jours qui ont suivi le marathon,, et malgré quelques douleurs liées à une fin de course difficile, je commençais déjà à réfléchir pour trouver mon prochaine marathon et atteindre l’objectif non atteint : passer sous les 4h. Paris en 2017 avec le team Compex, dis-nous en plus… Pour le Marathon de Paris, l’objectif sera déjà de renouveler la performance c’est à dire d’atteindre la ligne d’arrivé et si possible en moins de 4h. J’ai été retenu pour faire partie de la Team Compex Marathon de Paris. Pour moi, « coureur moyen » il s’agit d’une opportunité exceptionnelle ! Je vais pouvoir bénéficier d’un encadrement pro pour optimiser la préparation avec une bonne utilisation des équipements d’électrostimulation Compex, le tout avec un état d’esprit et de partage qui me permettra de me dépasser.  

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des fêtes sans prise de poid

Des fêtes sans prise de poids, un défi impossible ?

La mi-décembre passe, et les derniers jours nous séparant des vacances sont le plus souvent focalisés sur le menu des fêtes plutôt que sur les objectifs sportifs. Allier plaisir et gastronomie sans prise de poids, un défi impossible? Pour les plus ambitieux d’entre nous, cette période représente un dilemme. Un choix cornélien se pose entre la progression ou la conservation des acquis de la saison sportive, et les plaisirs de la table. Pensez-donc quel drame serait notre vie, si pour conserver une bonne santé, nous devions éviter soigneusement tous les plaisirs de la table ! Heureusement, grâce à certains choix alimentaires judicieux, et sans oublier un tant soit peu de modération, nous pourrons profiter d’un bon moment à table en famille, entre amis… Sans oublier si possible les « malchanceux » sportifs hivernaux de niveau international qui devront s’abstenir plus que nous. Trinquez à leur santé ! Prise de poids, les vrais responsables Encore une fois, il s’agit de laisser de côté les classiques préjugés sur l’alimentation sportive…: Les grosses assiettes de féculents ne sont pas une bonne idée, et génèrent plus de problèmes intestinaux que de performance. Les glucides en trop grande quantité, une fois que les réserves de glycogène ont été saturées (300 à 400g en fonction des gabarits de chacun), sont transformés en graisses et favorisent par ce biais la prise de poids, et l’hyperinsulinisme, et à long terme la résistance à l’insuline. Il convient donc de limiter la consommation de féculents, surtout s’ils sont raffinés comme le pain blanc, les pâtes blanches et le riz blanc. Les pâtisseries sont à consommer de manière très modérée, et jamais en début de journée. Le sucre qu’elles contiennent est le principal coupable. Plus difficile en période de fête, l’alcool. Il possède tous les défauts possibles : fatigue hépatique, sommeil moins réparateur, inhibition du stockage du glycogène… Bref, vous l’aurez compris, limitez-en le plus possible la consommation. Choisir le bon gras C’est là que ça devient une bonne nouvelle, car le gras est synonyme de gourmandise, et pour cause ! On peut manger du foie gras, et de très sérieuses données plaident largement en sa faveur. Depuis la fameuse étude des 7 pays, et bien d’autres encore, on a finalement compris que la consommation de graisses n’était en rien mauvaise pour la santé, ni responsable de surpoids ou de maladies cardiovasculaires ou métaboliques. L’étude de Lyon, celle du fameux régime méditerranéen ou crétois, a bien mis en valeur l’importance des graisses dans l’alimentation. Et justement, c’est tout l’intérêt du foie gras, qui est riche en acides gras monoinsaturés (55 à 62 % en fonction de l’animal, canard ou oie). On y trouve un peu de polyinsaturés de la famille oméga 6, mais en faible quantité, ce qui rend cette graisse résistante à la cuisson (mais il ne faut pas la faire fumer pour autant !). Il a l’autre avantaged’apporter beaucoup de vitamines B, dont notre propre foie aura largement besoin pour métaboliser les autres excès de noël. Bien évidemment, notre plaisir gastronomique ne doit pas se construire aux dépends des animaux que nous pouvons aussi respecter, en choisissant des foies gras issus de filières plus locales et traditionnelles, où le gavage est moins agressif, et l’animal élevé en liberté.Au delà du foie gras, les mayonnaises (faites maison, avec de bons œufs et de l’huile de colza) les poissons gras, les fruits de mer, les fondues de poireau (avec de l’huile d’olive et du beurre de baratte à peine fondu)… tout cela peut participer au plaisir des papilles autant qu’à la santé. Pour manger moins, manger plus…! Curieux adage, en effet, surtout si l’on pense recommander un peu de modération ! Mais ce conseil est précieux. En effet, réduire les portions d’aliments lourds, indigestes ou trop glucidiques est préférable. Pour cela, augmenter les portions de fruits et légumes permet non seulement d’alléger la globalité du repas, mais aussi de favoriser une digestion plus facile, et une répartition plus judicieuse des portions d’aliments « lourds ». Concrètement : mangez votre foie gras sur un canapé d’endives et de pommes, plutôt qu’un sinistre pain de mie dissimulant des sucres malfaisants. accompagnez les viandes ou poissons de légumes, marinés, cuits à la vapeur, avec des herbes aromatiques, des épices, agrémentés de sauces aux herbes fraîches en « pesto » (persil mixé dans l’huile d’olive avec quelques pignons et noix, un peu de citron… par exemple). L’hiver est riche en légumes aux saveurs douces, mais aussi en choux de tous les types, qui, quand on les cuit moins longtemps, révèlent des saveurs très intéressantes. accompagnez la bûche de noël au chocolat (noir) d’une salade d’agrumes à la cannelle… De précieux amis pour la digestion Que ceux qui ont prononcé le mot « digestif » se dénoncent !! Certaines liqueurs peuvent en effet favoriser la digestion, mais l’alcool n’en est pas le principe actif majeur. Les fruits, les légumes, les herbes aromatiques, les épices ont parfois des vertus digestives insoupçonnées. Manger des brocolis, de l’ail, de la roquette, de la chicorée, des navets, du radis noir… autant d’occasions d’apporter au foie des aides pour éliminer (détoxifier comme disent les biologistes), l’alcool, et autres substances potentiellement dangereuses. L’utilisation d’un digestif alcoolisé n’est pas forcément une mauvaise idée s’il s’agit d’un « vrai » digestif, amer comme l’utilisent les italiens. Certains sont faits à partir d’artichaut ou autres végétaux reconnus. Mais là encore, il convient de rester mesuré. Une tisane digestive, pour le foie, ou « détox » est un choix plus avisé. Et pour compenser ? Parce qu’on ne demande à personne de ne pas faire la fête, il faut tout de même rappeler que le sport est une bonne manière de compenser les excès d’un soir. Non pas parce que l’élimination de l’alcool se fait mieux (en réalité ça ne change pratiquement rien), mais parce que plusieurs paramètres sanguins sont améliorés par une sortie de course à pied. Le foie s’en trouve mieux, car il est aidé dans le travail d’élimination. En pratique, une sortie à

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ceinture flipbelt

Flipbelt, la ceinture dont on ne peut plus se passer

J’utilise la ceinture Flipbelt depuis près de 2 ans maintenant, à l’époque où elle n’existait que dans sa version « classic », c’est à dire sans la petite poche dite zipper qu’on trouve sur les nouveaux modèles. Je n’ai jamais été très fan des ceintures qui me gênaient et un sac n’est pas forcément utile si l’on n’a pas d’affaires volumineuses à emporter ou si les ravitaillements des courses peuvent suffire. A l’entrainement également elle sait se rendre indispensable car elle est tout simplement pratique, intelligente et le plus important à mes yeux : elle sait se faire oublier. Comment j’utilise la ceinture flipbelt? Tout d’abord sur pratiquement toutes mes séances d’entrainement !  Actuellement c’est donc tous les jours et essentiellement pour transporter clés, kleenex, de quoi boire si besoin. Egalement sur certaines compétitions, dans le même usage et pour ne pas être encombrée par un accessoire plus volumineux. Je l’ai également testée sur le Marathon de Paris 2015 avec le bidon de l’époque (photo ci-dessus). Autant je l’apprécie pour les petites distances autant sur ce marathon ce fut un peu plus compliqué : vide il a tendance à glisser (je l’ai perdu une fois) et de plus si on le met tout le temps à la même place on finit par le sentir quand on est mince comme moi. Heureusement depuis il y a un nouveau bidon, en deux contenances, qui se glisse dans la ceinture et les problèmes susmentionnés sont oubliés ! En ce qui me concerne je n’ai jamais utilisé la version zipper mais la poche me semble bien pratique quand on besoin de transporter de l’argent ou des papiers. Pourquoi je ne peux plus m’en passer ? Pour mes clés, mon kleenex, bien entendu. Parfois pour mon téléphone, un Nexus 5, qui tient sans problème dans la ceinture. Mais je lui ai trouvé un autre usage en hiver : elle tient chaud et permet de tenir les vêtements. Donc parfois je la mets sans rien dedans…! Et comme elle est jolie c’est en plus un accessoire couleur qui me plait. J’en ai 3 de 3 couleurs différentes : rose, bleue et orange. Pratique, belle, efficace, c’est vraiment la ceinture indispensable.   Et elle tient ses promesses : elle ne bouge pas ! En mode trail vous pouvez également y glisser vos bâtons. La ceinture Flipblet offre de multiples usages pour tous les coureurs ou traileurs de tous niveaux.  

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sentrainer-pendant-ses-regles

Courir pendant ses règles, j’y vais ou pas ?

Oh la poisse, j’ai mes règles… La vie est franchement injuste. Non seulement les filles n’ont pas les mêmes capacités et la même physiologie que les hommes (force musculaire, taux de masse grasse…), mais en plus elles doivent composer avec leurs hormones. Quand une course approche ou qu’une séance importante se profile et qu’on constate avec consternation qu’on va avoir ses règles, le moral plonge dans les abysses du bidon de ravitaillement. Mais courir pendant ses règles n’est toujours pas évident ni agréable… Bien qu’ il n’y ait aucune contre-indication à la pratique du sport pendant la période des menstruations. on constate juste ces sensations et symptômes parfois franchement désagréables : Poitrine douloureuse Ventre gonflé Prise de poids Douleurs au ventre Nausées Fatigue Pertes de fer Par ailleurs, le jeu hormonal entraîne une laxité ligamentaire accrue et une sensibilité plus forte pendant certaines phases du cycle (certaines études ont pointé les 12ème et 14ème jours). Alors je fais quoi ? Je cours ou pas ? En fait, tout dépend de votre état. Si vous vous sentez franchement épuisée, si vos douleurs sont insoutenables, alors repoussez la séance difficile qui était prévue et remplacez-la par un simple footing tranquille. Vous pouvez même vous octroyer du repos, cela ne changera pas la face du monde et ne vous fera pas régresser ! Vous permettrez à votre organisme de récupérer un peu pendant cette phase où le fer s’enfuit et le système hormonal tourne à plein régime. Si vous voulez absolument vous entraîner ou qu’une compétition tombe au moment de vos règles, vous avez plusieurs solutions : Pour atténuer les douleurs, vous pouvez prendre un antalgique. Mais demandez conseil à votre médecin car tous ne sont pas recommandés ! Par exemple, l’aspirine présente un risque hémorragique : elle est donc à bannir absolument pendant les règles ! Vous pouvez aussi vous tourner vers des médecins douces (homéopathie, phytothérapie…). Vous pouvez adopter un mode de contraception qui décale ou supprime vos règles. Pas forcément recommandée par tous les médecins, la prise de la pilule contraceptive en continu présente un intérêt très simple : elle permet de vivre une compétition importante sans subir les désagréments des menstruations. Certaines femmes choisissent carrément une contraception qui supprime les règles (implant hormonal, stérilet hormonal…). Dans tous les cas, mieux vaut consulter votre gynécologue pour être sûre d’adopter la bonne stratégie ! Avoir mes règles quand j’cours, j’m’en tamPonne ! Bon, rien à faire, vous avez vos règles. Et vous êtes bien décidée à aller courir quand même ! En matière de protection, il faut être honnête : il n’y a pas de conseils universels. Certaines ne jurent que par les tampons, pratiques et confortables, tandis que d’autres ne les supportent pas et ne portent que des serviettes. Les adeptes des coupes menstruelles vantent leurs mérites alors que d’autres estiment qu’elles ne tiennent pas bien en place. Conclusion : testez tous les moyens possibles et imaginables… et choisissez ce qui vous convient le mieux ! Adaptez votre entrainemenT Vous pouvez continuer à courir pendant vos règles, mais nous vous conseillons d’adapter votre entraînement : décalez les séances difficiles, allégez votre programme… Si vous avez une compétition, prenez un antalgique uniquement si les douleurs sont insupportables et surtout ne testez rien de nouveau (type de protection, remède antidouleur…). Ne négligez jamais une aménorrhée et, surtout, oubliez l’idée selon laquelle « maigreur = performance ». Des études ont montré que des athlètes maigres en aménorrhée qui reprenaient du poids et retrouvaient un cycle menstruel amélioraient leurs chronos ! Focus sur le sport et les troubles du cycle menstruel Minceur, maigreur : attention danger ! Nous, les filles, subissons la dure loi de la minceur. Et ce encore plus dans le milieu des sports d’endurance où la masse grasse est chassée comme le diable ! Pourtant la quête de la maigreur a des conséquences négatives, voire dangereuses. Une diminution des masses grasse et corporelle entraîne des modifications hormonales. Associée à la pratique d’un sport d’endurance comme la course à pied, elle entraîne très souvent des troubles menstruels, voire carrément la disparition des cycles (aménorrhée). Plus de règles, plus de soucis pour courir ! Oui, mais la médaille a son revers : qui dit aménorrhée, dit notamment problèmes tendineux et musculaires et fragilisation osseuse (risques accrus de fractures de fatigue et, à plus long terme, d’ostéoporose). Charge d’entraînement : une corrélation avérée Il a été démontré qu’à partir de 6 heures de running hebdomadaires et d’une augmentation de la charge d’entraînement exposent les femmes à des perturbations du cycle menstruel : aménorrhée (plus de règles pendant 3 mois consécutifs) oligoménorrhée (règles espacées de plus de 6 semaines et survenues de 5 à 9 fois pendant une année), règles très courtes ou peu abondantes… Loin de vous pousser à arrêter de courir ou à diminuer votre volume d’entraînement, cette constatation vise surtout à vous inciter à consulter votre médecin pour que ces perturbations n’aient pas de conséquences délétères sur votre santé. Marie Paturel, journaliste et coureurse

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On a testé la frontale Led Lenser SEO7R

Gilles, coureur et client à Terre de running Bourgoin nous fait part de son retour après avoir testé la lampe frontale LED LENSER SEO7R. Découvrez son retour produit : « En lieu et place de ma PETZL, satisfaisante mais limitée, l’opportunité d’essayer le modèle SEO7R de LED LENSER m’est apparue très intéressante. En apparence, elles semblent similaires : Poids de 93g avec batterie (107g avec piles) pour la LED LENSER , contre 88g à sa concurrente un ensemble bloc lumineux /piles d’un volume comparable, avec une qualité de fabrication similaire de part et d’autres.   Mais la comparaison s’arrête là. En effet, au-delà d’un niveau de budget différent (80€ contre 35€), en 3-4 ans, les choses ont bien évolué. J’ai désormais droit à 220 lumens contre 70 précédemment ! Un phare à côté de mon ancienne frontale, pourtant pas ridicule. C Certes l’autonomie à pleine puissante est limitée à 5h (pour ma SaintéLyon ça risque d’être court) mais en tout état de cause, c’est trop juste pour une nuit entière aucune concurrente à ma p’tite connaissance ne tient pleine puissance pendant 9 à 10h. Au-delà de la puissance, la SEO7R est bien pensée et n’oublie rien : Une molette facile à manipuler pour focaliser plus ou moins l’éclairage (de diffus à centré). Un système d’inclinaison très facile à gérer avec 2 doigts. Un système d’éclairage puissance maxi, réduit ou… paramétrable, extrêmement pratique !     Vous pouvez la définir à votre guise, suivant vos besoins, de puissance ou optimisation d’autonomie. Par exemple, en montée, là où on a moins besoin d’intensité lumineuse, je mettais un mode pré-réglé par mes soins, contrairement aux descentes où j’utilisais le maxi.Il est aussi possible d’utiliser le mode « intelligent » automatique qui adapte l’éclairage en fonction de l’intensité lumineuse rencontrée. Génial dans l’esprit, mais une fois la nuit tombée l’intensité est forcément à fond. Avec ma Petzl j’avais pris l’habitude de la couper dès qu’il y avait des lampadaires lors de la traversée de bourgs et villages, alors….. En tout cas, beaucoup de points forts évidents .S’il faut cependant trouver quelques « reproches », en poussant le vice à fond, 100 lumens de plus (avec les mêmes caractéristiques), elle deviendrait alors incontournable. » Merci à Greg de TDR Bourgoin 😉

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fabien antolinos la recup d'après course

Intégrer la récupération dans l’entraînement

Étymologiquement, récupérer c’est retrouver quelque chose que l’on a perdu. Mais que perd t-on à l’entraînement ou après un trail de quelques heures à plus d’une journée parfois ? Des forces, certes, de l’envie, sûrement ; mais on ne fait pas que perdre en faisant un effort ! On gagne aussi beaucoup…de fatigue dont il va falloir traiter les causes et les conséquences. récupérer pour mieux s’entraîner Les différentes pathologies dont souffrent les traileurs et traileuses (tendinopathies, fractures de fatigue, entorse, burn out …) sont dues à la répétition des charges et non à la nature du terrain. Beaucoup enfilent les entraînements et les courses comme des perles et sombrent joyeusement dans l’addiction. Pourtant, la récupération fait partie de l’entraînement. Guillaume Millet parle même d’«entraînement invisible», formule qui devrait encourager la pratique.   Récupérer pour booster l’effet forme On peut concevoir aisément la pratique sportive avec 2 effets associés : un effet fatigue et un effet forme. Quand je rentre d’un entraînement, je suis moins en forme qu’avant d’y aller. L’entraînement m’a fatigué et a diminué ma capacité de performance. Si je retourne rapidement à l’entraînement avec des charges mal-adaptées, j’augmente l’effet fatigue et je diminue davantage l’effet forme, et ainsi de suite jusqu’à la rupture. Par contre, si je laisse à mon organisme le temps nécessaire de la récupération, il va s’adapter et élever son niveau de potentiel : c’est la surcompensation à l’origine de la forme. Ce principe est valable à l’échelle de la semaine comme du mois ou de la saison (ou pour chaque cycle d’entraînement). C’est pour cela que de nombreux programmes sont basés sur le modèle suivant : 3 semaines de travail pour une semaine de repos relatif. Cette dernière semaine, légèrement OFF, permet de recharger les batteries sur les plans physique et mental. Et après les compétitions ? Il y a tout d’abord l’avant-compétition : appelé phase d’affûtage ou tapering, pendant laquelle l’athlète diminue les charges de travail pour espérer une surcompensation optimale le jour J. La longueur de cette période est proportionnelle à la durée de la compétition qui va suivre. Pour un ultra trail, le dernier bloc de travail se situe généralement à S-3. Ensuite, on conserve une bonne fréquence d’entraînement mais on diminue fortement le volume. Après la compétition,  la règle est la même : on récupère sur un temps proportionnel à la durée de la course mais aussi en rapport avec son expertise. Pour un trail court entre 20 et 30 kms, 7 à 10 jours sont requis. Pour un trail plus long, entre 30 et 50 kms, 7 à 15 jours selon les individus, voire plus. Pour un trail de 50 à 80 kms, 3 semaines sont souvent nécessaires. Au-delà de 80 kms, il faut environ 1 mois pour bien récupérer.   Mais 2 questions se posent, que veut dire « récupérer » et que fait-on pendant la récupération ? récupérer : comment et par quels moyens ? A-t-on récupéré quand on a plus mal aux jambes ? Certaines études scientifiques ont été mal traduites et le message envoyé porte à confusion. Par exemple, quand Guillaume Millet montre qu’après 15 jours, un ultra-traileur (course de 160 km) a retrouvé une parfaite intégrité musculaire au niveau des membres inférieurs, associée à zéro douleur, peut-on dire que l’athlète a récupéré ? Certainement pas, car la récupération ne se limite pas aux jambes. C’est le métabolisme dans son ensemble qui est concerné (système nerveux, hormonal…). Par exemple, un indice comme la Variabilité de la Fréquence Cardiaque, marqueur du système nerveux autonome, montre qu’un bon mois est nécessaire pour recouvrer son intégrité, parfois plus. De même, quand Grégoire Millet conclue après le Tor des Géants (330km et 24000m d+) que la fatigue musculaire y est moindre que sur un 160km, cela veut-il dire qu’un Tor des géants est moins fatiguant et qu’on en récupère plus vite ? La réponse est non bien entendu, et beaucoup retrouvent difficilement le goût de courir l’année suivante. La récupération est liée à la fatigue, et il n’existe aucun marqueur universel de la fatigue. De plus, les variations inter et intra-individuelles sont importantes. Cela veut dire que le temps de récupération est variable d’un individu à l’autre, mais qu’il varie aussi pour un même athlète selon de nombreux paramètres (état de forme avant la course, déroulement de l’épreuve …).   Un large éventail de méthodes de récupération Récupérer ne veut pas dire nécessairement ne rien faire (à différencier de la traditionnelle « coupure » annuelle). C’est la différence entre la récupération passive et la récupération active. On sait qu’une légère activité aérobie (marche, vélo, footing) le lendemain d’une course est bénéfique. Il existe d’ailleurs une multitude de méthodes à utiliser en fonction de ses besoins et de ses moyens. Zoom sur 2 d’entre elles. Les méthodes de contact, parmi lesquelles : les étirements les massages la compression l’électrostimulation les applications thermiques locales le hammam / sauna les alternance de bains chauds / froids     Les méthodes sensorielles : Pour compléter ce large éventail de méthodes de récupération, rajoutons-en encore 2, moins connues et usitées, mais pourtant non dénuées d’intérêt : la luminothérapie et l’aromathérapie (l’utilisation des huiles essentielles) Chacune de ces méthodes présentent des effets physiologiques et psychologiques que nous verrons dans un prochain article… En conclusion, écrivez bien le mot RECUPERATION dans votre plan d’entraînement car c’est une séance indispensable ! Pascal Balducci

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