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Nutrition : comment bien préparer sa course?

Cet hiver semble vouloir rester clément, et la saison de course à pieds ne saurait tarder à reprendre, pour ceux qui n’ont pas déjà commencé. Les plans de préparation et les projets se dessinent, et comme chaque année des questions se posent : Quel volume vais-je pouvoir assumer ? Quelle course ai-je envie ou les moyens de faire ? Dans quel état de forme ou de santé suis-je ? Que suis-je prêt à mettre en place pour progresser (si j’en ai le réel désir), ou pour améliorer mon confort de course (ce qui est en soi une progression)… la nutrition c’est tous les jours! Préparer un objectif sportif demande un investissement qu’il faut comprendre en profondeur. Certes l’entraînement, la préparation physique, la récupération, sont les incontournables étapes d’une vie sportive, mais beaucoup de coureurs négligent encore trop l’approche nutritionnelle dans leur pratique. Parfois par manque de disponibilité (mentale, culturelle, de temps… peu importe en fait !). Souvent aussi à cause d’une tenace conviction de déjà maîtriser le sujet… Et c’est en partie pour cela que je cherche parfois à jeter quelques pavés dans la mare pour faire bouger les consciences, comme d’autres spécialistes de la nutrition. Préparer une course par la nutrition ne demande pas d’avoir une discipline de moine shaolin, ou de se transformer en un ascète évitant tout plaisir alimentaire. Au contraire, de la même manière que le plaisir à l’entraînement est une clef de progression, le plaisir gustatif est également un vecteur de santé… Pour peu que la notion de plaisir ne se résume pas à un grand soda, accompagné d’une grande frite et d’un burger !!! quels conseils nutritionnels ? Sans chercher à proposer un traité détaillé de nutrition sportive, voici déjà quelques habitudes à intégrer ou affermir dans l’alimentation quotidienne : jamais un jour sans au moins 3 fruits frais de saison différents, et 3 portions de légumes de saison frais et pas trop cuits. Un total d’environ 400g de poissons gras par semaine (sardines, maquereaux, anchois, flétan, truite ou saumon sauvages…) Tous les jours 2 cuillerées à soupe d’huile de colza bio vierge en assaisonnement ou mayonnaise maison (ou 1 cuillerée à soupe d’huile de cameline ou de graines de chia, ou de graines de lin moulues ou cuites dans le pain…) des oléagineux variés un peu tous les jours (noisettes, amandes, noix…). utiliser des féculents digestes de qualité (de préférence patates, riz semi-complet, sarrasin, légumineuses, pas trop de pâtes, une quantité raisonnable de pain (100 à 200g maxi), plutôt complet et bio. Ne jamais dépasser les 2 portions par jour sauf exception choisir des laitages de qualité (donc de l’artisanal, chèvre ou brebis de préférence, ou alors de vache qui mange de l’herbe) que l’on consomme avec parcimonie (1 à 2 par jour et pas forcément tous les jours).   Ce sont quelques points de repère très synthétiques, qui demandent un long travail d’explication et de pédagogie en consultation, mais qu’il est néanmoins important de mentionner.   nutrition : a tester a l’entrainement Concernant la nutrition en course, particulièrement pour les parcours longs, la reprise est le bon moment pour se poser ces questions : lors de mes courses, tout se passe toujours vraiment bien ? n’ai-je jamais d’aigreur d’estomac ? de ballonnement ? de diarrhée ? de vomissement ? Ai-je bien testé les produits que j’utilise en course lors de sorties longues à l’entraînement ? ai-je vraiment choisi en conscience ? ne devrais-je pas affiner les choses pour que mes jambes puissent faire leur propre travail sereinement ? Ces interrogations ont beaucoup de sens, car celui qui considère que l’entraînement est le seul vecteur de réussite en course se trompe lourdement, et il lui faudra abandonner plusieurs fois encore avant de reconsidérer la question. Une course, ça se prépare plusieurs mois à l’avance par l’entraînement, mais aussi par une alimentation qui doit garantir tous les apports micronutritionnels. Prendre des gélules pour essayer de faire disparaître une fatigue tenace quelques jours avant une course n’a pas de sens, et ne donnera aucun résultat. Ne comptez pas non plus sur une boisson d’effort, aussi bien conçue fût-elle, pour résoudre la question. Chaque sortie à allure course doit être l’occasion de tester les boissons, la manière de les utiliser, l’alimentation solide éventuelle, la quantité qui « passe » par heure, ce que l’on va emporter pour une course de 2h, 4h ou plus… Avant de vous proposer des réponses plus précises sur ces sujets, je vous propose déjà de réfléchir à une clef : la capacité d’absorption des nutriments est limitée à 60g de glucides par heure environ, et nombreux sont les athlètes qui doivent rester en deçà ! Pensez donc déjà à ingurgiter peu à la fois (1 à 2 gorgées), mais souvent (toutes les 5 à 10 minutes), et régulièrement !   La suite dans un prochain article Jean Joyeux  

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rider 20 mizuno terre de running

Test de la Wave Rider 20 Mizuno

Les magasins Terre de running étaient conviés à une sortie-running pour tester la nouvelle Wave Rider 20 Mizuno. Nous sommes donc partis pour un tour d’1h30 dans Lyon sur un parcours plutôt urbain avec des escaliers, des relances, du plat… Voici les retours et impressions de nos vendeurs-coureurs ou membre du team. RIDER 20, Un modèle qui séduit Mervin, TDR Limonest : la rider 20 est une chaussure dynamique, réactive et précise. Je la trouve assez stable sur le médio-pied. La talon est bien tenu avec un bon amorti. C’est selon moi une chaussure qui offre une très bon déroulé sur l’ensemble de la semelle et qui conviendra donc à tout type de coureur.     Kévin, TDR Décines : La rider 20 est définitivement plus moelleuse que la 19 mais toujours en dynamisme. Bonne tenue du talon, avec une réelle impression de plus d’amorti. Les pieds fins sont bien tenus (plus qu’avant d’ailleurs). J’apprécie aussi les lacets assez longs pour un bon maintien. Pour mon gabarit, la rider est un peu trop ferme mais reste malgré tout confortable.     Pierre, TDR Lyon : Je note plus de stabilité (par rapport aux anciens modèles) surtout sur l’arrière. Il y a un réel confort d’accueil quand on chausse la chaussure et un côté « moelleux » très agréable. Je ne ressens pas de perte de performance malgré le poids supplémentaire. La chaussure permet un bon déroulé du pied et offre une bonne tenue sur le chaussant. Je la préconise pour les coureurs à foulée universelle qui prépare une course sur route (du 10km au marathon) et peut offrir un usage mixte sur route et chemins propres.     Stéphane, TDR Lyon : comme mes collègues, je trouve que le modèle offre un bon amorti et une bonne stabilité. Le pied est bien tenu même pout les pieds fins; on ne sent pas d’effet de largeur ou de flottant. Le rendement du déroulé du pied est optimisé.     Astrid, TDR Bourgoin : habituée des modèles Mizuno, je trouve ce nouveau modèle beaucoup plus dynamique que la rider 19. Le chaussant étant plus fin, le pied « s’écrase » moins. L’arrière est plus relevé et offre plus de maintien, on s’y sent comme dans des pantoufles! Je les trouve super confortables tout en restant très dynamiques. Je les trouve « plus agressives » pour une préparation de course sur route…Le laçage est uniforme, je ne note pas de point de compression. Le plus c’est aussi le renfort du mesh qui semble moins fragile. et les coloris sont sympas!   WAVE RIDER 20, les nouveautés : Une nouvelle plaque La wave rider 20 Mizuno est dotée d’une nouvelle plaque Cloudwave; qui est une évolution de la plaque wave. Ses atouts? Un amorti plus souple, des sensations plus dynamiques malgré un poids de chaussure un peu plus important (290g) et bien sûr du confort puisque la plaque a une meilleure absorption des chocs. Le mesh change également avec une maille plus resserrée apportant un meilleur maintien et une bonne respirabilité.. La semelle en caoutchouc soufflé est moins glissante ce qui est un plus pour un usage sur terrains mixtes. On note également l’intégration d’une nouvelle mousse « u4ic » offrant une meilleure durabilité et un dynamisme accru. Pour quel profil de coureur? La wave rider 20 est idéale pour les hommes et les femmes de – de 80kg, les coureurs en recherhent de sensations (dynamisme), qui souhaitent intégrer du fractionner dans leur préparation semi ou marathon. A vous de la tester en magasin sur nos tapis de course ou lors de nos animations running-testing 🙂

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Résultats Trail Givré 2017

Et voici les résultats de cette nouvelle édition du Trail Givré, 4ème étape du Trail Tour National 2017 Ci dessous les résultats de la Montanoise  (9 km): trailgivre2017-9km   Pour le Trail Givré (23 km), c’est ici:   trailgivre2017-23-km     .  

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Courir en groupe ou en couple : la vraie bonne idée ?

« Dis, chéri, on va courir ? » S’entraîner en couple, c’est sympa. Enfin, sur le papier, ça semble être carrément l’idéal. Mais est-ce le cas en réalité ? Et courir en groupe est-il la bonne solution pour se motiver et progresser ? J’ai testé les deux options. Voici mon avis ! Courir en groupe, des avantages et des inconvénients… Il y a ceux qui ne jurent que par leur solitude. Et ceux qui adorent trotter au sein d’un petit peloton, ou en tête-à-tête avec leur seconde moitié ou leur meilleur ami. Courir à plusieurs, ça peut autant être un pur bonheur… qu’un véritable enfer ! Pourtant l’effet de groupe présente de réels avantages : L’émulation : quand on court en groupe, on s’oublie un peu pour s’intégrer corps et âme dans la dynamique collective. Du coup, on se surprend à faire aussi bien, voire mieux, que ce que l’on ferait tout seul. L’étalonnage : sans tomber dans l’esprit de compétition à tout crin, courir avec du monde permet de savoir où l’on se situe par rapport aux autres. On prend également conscience de ses points forts et faibles. La motivation : quand on a rendez-vous avec un copain pour un footing, on n’écoute pas la petite voix intérieure qui susurre : « Pffff, il fait froid, il pleut, tu vas pas sortir par un temps pareil… » On chausse les baskets et on y va ! Le partage : quand on court en groupe, on parle, on échange… on est tous branché sur la même longueur d’onde sportive, donc on trouve forcément une écoute attentive et une compassion qui font du bien au moral. La sécurité : femmes et trailers, l’entraînement en groupe est pour vous, ne serait-ce que pour la dimension sécuritaire. A plusieurs, on est moins vulnérable aux agressions et on peut s’entraider en cas de pépins (accident en montagne, par exemple). Ceci dit, il existe aussi des inconvénients aux sorties collectives : La compétition permanente : le risque, c’est de se croire tout le temps en compétition avec les autres. Du coup, on court trop vite et on passe à côté de l’objectif de la séance. Des contraintes : s’adapter aux autres, respecter des horaires, entretenir la dynamique collective sont autant de contraintes liées à la pratique en groupe. Quand on accepte de sortir à plusieurs, il faut savoir être patient pour ne pas s’énerver et tolérant pour ne pas faire vivre un enfer aux autres. ET Courir en couple ? Alors que la Saint Valentin pointe le bout de ses tiges de fleurs, penchons-nous aussi sur le footing en couple. Vraie bonne idée ou grave erreur ? En ce qui me concerne, je penche pour la première option. Courir à deux, c’est… partager un moment de sport, se soutenir et se motiver l’un l’autre, valoriser ses différences en prenant conscience des forces de chacun (par exemple, la puissance physique pour les hommes et l’endurance pour les femmes), apprendre à accepter l’autre tel qu’il est… même s’il (ou elle) court trop doucement ! Mais pour qu’un footing en couple ne tourne pas à la scène de ménage, mieux vaut adopter la bonne mentalité. Oubliez les genres ! Considérez plutôt que, le temps de cette séance, vous êtes deux coureurs et non pas un homme et une femme. Entre vous, pas de concurrence, pas d’égo à défendre, pas de sexisme non plus. Relativisez la valeur étalon masculine ! Malgré les progrèss en matière d’égalité homme-femme, un fond machiste hérité de nos ancêtres imprègne encore aujourd’hui l’inconscient collectif. La valeur étalon demeure donc masculine. Alors quand une femme court plus vite qu’un homme, c’est l’échelle de valeur traditionnelle qui est bousculée. Tandis que l’une se sent pousser des ailes, le second est plutôt vexé. Dépassez ces considérations et revenez à l’essentiel : si votre moitié court plus vite que vous, éprouvez de la fierté plutôt que de la jalousie !   Et vous, avez-vous déjà couru à plusieurs ? Et avec votre chéri(e) ? Bonne ou mauvaise expérience ? Donnez votre avis et partagez vos conseils ! Marie Paturel

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Découvrez Saumur lors du Saumurban trail

  Le Saumurban Trail, en partenariat avec Terre de running Saumur, vous permet de découvrir la ville de Saumur et ses environs dans des épreuves aussi physiques que touristiques. Avec 2500 autres concurrents, vous pourrez admirer le patrimoine et les paysages de notre belle ville en affrontant un parcours aussi exigeant qu’attrayant…dimanche 12 mars. Une course pour tous les niveaux Quel que soit votre niveau, vous trouverez une course adaptée : Pour les coureurs préférant une distance plus courte, un 10 km avec 160 m de dénivelé vous permettra de réaliser une épreuve déjà éprouvante pour les jambes, et agréable pour les yeux. En effet, le parcours suit les rives de la Loire avant d’affronter le coteau et permet de découvrir plusieurs sites saumurois (dont l’incontournable château sous un jour inhabituel). Avec le 16 km et ses 250m de D+, les choses deviennent encore plus sérieuses et d’autres sites s’ouvrent à vous. Enfin, le 25 km (réalisable en solo ou en duo) ajoutera au charme de la découverte de la ville une boucle champêtre avec du dénivelé comme l’aiment les trailers (400 m D+) et quatre passages en caves – dont certaines sont déjà traversées par les autres courses. Saumurban Trail est également support du championnat de France de trail de l’Armée de Terre. Sans oublier les marcheurs Pour les marcheurs, un parcours de 9 km essentiellement urbain,  et un autre de 15 km (c’est une nouveauté 2017) urbain et « nature » sont proposés, permettent de découvrir là encore de magnifiques sites et de se frotter au dénivelé saumurois ! Inscriptions et infos pratiques Dimanche 12 mars  2017 – Parc des expos (au Breil) Inscription en ligne sur  saumurbantrail.com

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Test des Mafate Speed 2 – Hoka

Benjamin Tourdot coureur du team Terre de running Toulon a participé ce week end au trail des Drailles de Lançon un 35km technique où il se classe 3ème. Plutôt coureur de 80km, Benjamin a profité de cette course de reprise  pour tester le modèle Mafate Spped 2 de la marque Hoka.   Test de Mafate Spped 2 – Hoka en conditions de course « En ce dimanche de compétition, la météo est plutôt humide (pluie dans la nuit) avec un terrain détrempé et boueux sur la face nord du relief. J’ai donc décidé de partir avec les mafate speed 2 sur un terrain très accidenté. Dès les premières foulées on a cette sensation de légèreté qui est assez bluffant car ce sont des chaussures qui sont prévues pour de l’ultra à la base. Sur ce format trail de 35 km, je les ai donc trouvées parfaites. D’autre part, le vibram présent sur l’avant du pied rend la foulée dynamique et oblige à relancer en permanence. Ce sont donc des chaussures qui imposent du rythme ; il est donc nécessaire d’être en forme. Seul bémol vu l’état du terrain, j’ai dû m’arrêter 2 fois afin de retirer la boue accumulée en descente car les chaussures devenaient trop glissantes. Je n’ai pas ressenti de manque de stabilité même sur les terrains les plus contraignants. Pour résumer, c’est une super chaussure hyper dynamique et vraiment confortable. Je les testerai à nouveau sur un format plus long (80 km) ».     Benjamin

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Comment choisir son premier trail?

Pour prendre du plaisir, éviter les souffrances inutiles, voire des blessures, il est important de bien choisir son premier trail en prenant en compte différents aspects : l’athlète, la course et le matériel. Nos conseils pour choisir son premier trail Le coureur, c’est vous ! Quelle est votre expérience, avez-vous déjà fait des compétitions sur route, avez-vous réalisé des tests d’efforts sur le terrain, êtes-vous à l’aise en descente, pratiquez-vous en nature… ? Ces questions sont importantes car en compétition comme à l’entraînement, il faut respecter le principe de progressivité. Même si les médias parlent essentiellement des ultras trails (80 km et plus), il existe de courtes distances pour bien débuter, car contrairement à la route, le kilométrage n’est pas le seul critère de difficulté. Il faudra compter avec le dénivelé et la technicité. Choisir son format de course Renseignez-vous sur le lieu, la distance, le dénivelé, la technicité. Le lieu : nul besoin de traverser la France pour réaliser son premier trail puisque chaque région et chaque département proposent des épreuves quasiment chaque week-end. Consultez le calendrier sur le site Terre de Running et trouvez une course nature proche de la maison. Pour la distance, restez sobre et couplez la toujours au dénivelé car 100m de dénivelé positif correspondent grosso modo à 1 km de temps d’effort supplémentaire. Ainsi, 20 km avec 1000m d+ (parcours fréquent en trail) équivalent à 30 km de course, ce qui rallonge le temps d’effort de 45mn à 1h30 selon l’expertise de chacun. Intéressez-vous au dénivelé total mais aussi à la répartition des montées et descentes, et au pourcentage des pentes rencontrées, en examinant le profil de la course. Il est parfois plus simple de négocier de longues montées en continu que de répéter un grand nombre de montées et de descentes, car la gestion de l’effort sera plus complexe. En côte, dès que le pourcentage devient important, il faut savoir alterner la marche et la course en conservant des fréquences cardiaques les plus stables possible. Mais le plus dur n’est pas toujours de grimper car  le travail de freinage en descente est très coûteux musculairement. A cela, il faut ajouter des notions de technique et d’engagement mental qui rendent ce secteur (la descente) particulièrement déterminant. Ensuite, il y a la technicité. Certains parcours de trails sont extrêmement exigeants et il faut parfois 15mn pour accomplir un kilomètre. Le matériel Et enfin, il y a le matériel : chaussures, textiles, d’éventuels bâtons sur les distances plus longues, la poche à eau ou le porte-bidons, la nutrition. Quand on débute l’activité, il est compliqué d’avoir la maîtrise de tout ce matériel. Choisir une distance courte à la campagne ou en moyenne montagne permet de découvrir progressivement la discipline. Là encore, se rapprocher de son magasin spécialisé permet d’avoir de meilleurs conseils. Maintenant, à vous de jouer ! Choisissez une distance courte, un dénivelé raisonnable et peu de technicité. Ainsi, vous prendrez un maximum de plaisir à découvrir le trail. Pascal Balducci Découvrez le calendrier des courses Terre de running

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Aurélia Truel intègre le team trail pour 2017

Aurélia peux tu te présenter? J’ai 41 ans et 32 ans d’athlétisme!! J’ai commencé avec le handball à Ivry sur Seine pendant 10 ans et en parallèle j’ai commencé à courir. J’étais alors en éveil athlé (moustique) ! A partir de la catégorie espoir j’ai arrêté le handball mais ce sport m’a apporté cet esprit de groupe et de valeurs; c’est notamment pour cela que j’apprécie l’ambiance « France » mais ça faisait beaucoup..et malheureusement j’étais trop petite en taille pour évoluer au haut niveau chez les adultes. Donc je me suis mise plus sérieusement au demi fond, le cross l’hiver et l’été la piste, puis dirigée vers la route, la montagne et le trail en 2009 avec une première participation au marathon des Causses à Nant. C’était la première fois que je courrais aussi longtemps ! Et puis tout s’est rapidement enchaîné, le TTN et les différents championnat du Monde. Quels sont tes terrains de courses préférés? Je préfère plutôt les terrains vallonnés car habitant la région Parisienne, mon corps s’est habitué à ce type de profil mais j’aime la montagne et quand je pars là bas je retrouve les bonnes attitudes!!!  Tu cours peu, privilégiant souvent les phases de préparation aux gros objectifs. Pourquoi ce choix, n’es-tu pas « frustrée » de ne pas courir plus souvent? Il est vrai que je cours peu notamment sur des trails longs. il y a plusieurs raisons à cela: j’habite et travaille sur Paris ; nos terrains de jeux sont plutôt plats donc je serais moins compétitive sur les trails de montagne avec le dénivelé mais aussi à cause de l’altitude. Il faudrait donc toujours partir pour se préparer or avec le boulot c’est parfois compliqué. je pense que le corps ne peut pas enchainer trop de courses sans avoir à un moment donné des blessures ou du sur-entrainement, ainsi qu’une perte d’envie. J’aime varier les distances : en hiver je fais généralement des cross jusqu’au France puis je cours des 10km ou des trails courts pour préparer les objectifs plus longs. Mais par contre je ne me sens pas « frustrée ». Je préfère courir avec l’envie et sans blessure (d’ailleurs cela fait longtemps que je cours) et être devant que de multiplier les trails et être derrière. J’aime courir et je n’ai pas toujours besoin de faire des compétitions, j’aime aussi m’entraîner et partager des moments avec d’autres coureurs. Quels sont tes objectifs et tes envies en 2017? Mon principal objectif sera d’être parmi les sélectionnées pour les championnat du monde de trail en Italie; pour cela je participerais à la sélection qui aura lieu lors du trail du Ventoux. Si ce n’est pas le cas alors la porte est ouverte…et  j’irai peut être à la Transvulcania. J’aimerais tester la skyrace de Tromso en Norvège L’autre objectif sera les France de trail au mois de septembre. Ensuite pourquoi pas une course au Templiers et la saintélyon en solo ou en relais. J’ai également envie de faire un 100km à l’automne selon le calendrier. Je vais aussi aider le club de Champigny en duathlon pour courir en équipe en D1; ce sera une bonne prépa complémentaire Tu intègres le team Terre de Running-Mizuno cette année, tes premières impressions? Au mois de décembre, j’ai pu participer au regroupement du team à la station de la Rosière, notre partenaire. Mes premières impression étaient plutôt bonnes, l’ambiance est agréable avec du sérieux. J’ai été très bien accueillie par le groupe dont je connais d’ailleurs certains coureurs. La team TDR va dans ma continuité car je suis bien avec les produits Mizuno et BV Sport qui m’ont toujours aidée.   Principal palmarès >> Course en montagne  3ème au championnat de France en 1998 18ème au Chpt d’Europe 30ème au Chpt du Monde >> Route / cross 10km: 34’50 21km: 1h16’50 42km: 2h47 29éme au France cross élite >> Trail Vainqueur du marathon des Causses en 2008 Résultat TTN (trail long) 2009:2éme / 2010:3éme / 2011:2ème Trail des Templiers3ème en 2010 et 2013 Vainqueur de l’Eco Trail de Paris en 2011 Trail de la cote d’Opale: 2ème en 2009 / 3ème en 2010 / 1ère en 2011 Championnat du Monde de Trail: 2011:4éme / 2013:2éme / 2015:15éme / 2016:11éme 4 fois Championne du monde de trail par équipe

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L’ultra light jacket WAA en test

Carlos, coureur multi terrains, « runner addict » de Terre de running Bourgoin, nous fait part de son retour produit après avoir testé la veste ultra light jacket de la marque WAA. « Au bout de quatre semaines de sorties running dans le grand froid, sous la bruine, de nuit, avec du vent, un peu de pluie et quand même du soleil, j’ai enfin terminé le test de la veste ultra light de chez WAA Equipment. L’ultra light jacket en détails Le look La couleur est noire donc c’est assez sobre 😉 Cela passe partout mais la nuit tu passes facilement pour un ninja ! Heureusement il y a quelques éléments réfléchissants. Ultra light ? Vérifions cela : je sors ma balance de cuisine : 86gr en taille M ! Il est vrai que c’est super léger, malgré cela pas de problème de fragilité constaté lors de mes 30kms sur le trail hivernal des Coursières pourtant ponctué de pas mal de branches au niveau des bras. Sous une pluie fine ou de la bruine, la veste est parfaite (matériau déparlant mais pas imperméable), la capuche est bien ajustée bien que  je ne l’ai testée que 30min au total car je n’aime pas les capuches. En course, la respirabilité est au rendez-vous et le coupe-vent coupe bien du vent, par contre dès que tu as terminé la sortie et que tu rentres à l’intérieur c’est sauna, donc il faut vite l’enlever … mets la jacket dans la pocket Les élastiques des manches sont bien serrés au niveau des poignées, c’est donc hyper pratique pour mettre par-dessus les gants. Seul hic (comme toutes les vestes d’ailleurs) c’est que tu n’as plus accès à ta montre … même si on pourrait effectivement la mettre par dessus 😉 Autre point non négligeable :  la veste se range dans la poche qui se trouve sur la poitrine. C’est donc un gain de place certain dans le sac. Cette même poche te permet de mettre ton PETIT smartphone, mais pas plus grand que mon Galaxy S4 Mini (124x61mm).   En résumé, le coupe-vent Ultra Light Jacket WAA est un bon produit. Son prix n’est pas excessif (89€). Je le conseille donc à tous les runners et traileurs. » Carlos

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Guide de la récupération – BV Sport

BV SPORT, leader de la compression sportive et partenaire du team trail Terre de running – Mizuno publie un guide de la récupération, une phase primordiale de l’entraînement à ne pas négliger Témoignages d’athlètes, conseils, étirements et nutrition; le plein d’infos utiles.   Guide_De_La_Récupération_Web Publish at Calameo

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