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Terre de Running Antony partenaire de l’Ekiden du Château de Sceaux

Participez  à la 1ère édition de l’Ekiden du Château de Sceaux en partenariat avec Terre de running Antony Parcourez la distance mythique du marathon par équipe de 6 relayeurs… 3 000 participants attendus! Au programme de la journée dans ce cadre prestigieux du domaine départemental de Sceaux, fermé à la circulation automobile : – Le 10 km (mesurage FFA),récompenses pour les trois 1ers des classements Homme & Femme – L’Ekiden (mesurage FFA) récompenses pour les trois 1ers des classements Homme, Femme, Mixte & Challenge Entreprises. Mais aussi une course solidaire et des courses enfants. Village animation ouvert toute la journée, nombreuses dotations : Tee-shirt Technique, dossard + 4 épingles, médaille finisher, diplôme personnalisé envoyé par mail, 15 lots par tirage au sort de dossards, goodies et d’autres surprises! De nombreux services : entraînements de préparation, échauffement collectif en musique, résultats par SMS, suivi live de votre chrono individuel et par équipe, 3 ravitaillements (pour le 10 km), un service de massages et de soins Inscriptions sur www.ekiden-chateaudesceaux.fr  Préparez-vous avec TDR Antony, le programme des sorties : Pour vous préparer, Terre de Running Antony vous propose tout au long du mois de Mai des sorties running  encadrées en partenariat avec Antony athlétisme. Collation post-effort offerte par notre partenaire Bio C Bon. Jeudi 11 Mai 18h30   Jeudi 18 mai 18h30 : Testing Adidas / BV sport / TomTom Samedi 20 Mai 10h30 Mardi 23 mai : Testing Veets / Compressport / Stimium Samedi 27 Mai 10h30 : Testing Veets Samedi 3 Juin 10h30 : Testing Skins   Infos et Inscription : sur la page Facebook du magasin  ou directement auprès du magasin au 09 81 41 41 04 – antony@terrederunning.com  

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Seb Hours LUT 2016

De nouveaux défis pour Sébastien Hours

Coureur polyvalent (cross, piste, trail, route), Sébastien Hours (voir son portrait ici) membre du  team Terre de running-Mizuno a terminé sont 3000m steeple hier en 9’26 malgré un manque de séance spécifique. Il s’alignera ce dimanche sur le trail de Besançon, manche du TTN. On en profite profite pour faire le point sur sa saison combinant trail et route! Seb, après une belle 2ème place au LUT tu te lances sur le format long du trail de Besançon, pourquoi ce choix? Depuis quelques temps déjà, je me sens très à l’aise sur les entraînements assez longs, et après avoir déjà testé des formats de course de + de 40km (SaintExpress, Vouglans) ou cela c’était bien passé, je voulais voir ce que cela donnait sur un autre trail de ce type avec un dénivelé plus important. La course de Besançon est une très bonne opportunité, car elle rentre bien dans le calendrier, et étant intégrée au TTN long, je sais qu’il y aura du beau monde au départ.   Comment s’oriente ta saison de trail? Ma saison de trail va s’orienter sur des formats autour de 40km avec en ligne de mire la SainteLyon en solo en fin d’année, avec notamment le Marathon du Mont Blanc en Juin, le Trail de la Rosière et celui du lac de Vouglans en Juillet, les championnats de France de trail court en Septembre, puis la SainteLyon, ainsi que d’autres courses de préparation que je n’ai pas encore définies.   Tu as à cœur de participer aux Interclubs, c’est toujours une ambiance particulière…? J’ai commencé à courir et passé de nombreuses années à écumer les compétitions sur la piste et c’est pourquoi les interclubs sont toujours un moment particulier pour moi. C’est grâce à mon club l’ESL (Entente Sud-Lyonnais) et mon entraîneur Philippe Rémy que j’ai atteint le niveau que j’ai. Il est donc normal de venir aider le club en retour même si je ne m’entraîne plus spécifiquement pour ce type d’effort. Cette compétition est toujours très festive et je garde d’excellents souvenirs de weekends complets à l’autre bout de la France à rigoler et s’amuser comme jamais. J’aime aussi cet état d’esprit d’humilité qui peut parfois manquer dans le monde du trail. Un autre projet te tient aussi à cœur : courir un marathon… Faire un marathon est une idée qui me trotte dans la tête depuis 2012. Cette année là, j’avais très sérieusement préparé Paris pour finalement me blesser 2 semaines avant. C’était un coup dur, mais qui m’avait permis de découvrir le trail. S’en est suivi une année sabbatique où j’ai bien calmé le sport puis un retour aux affaires progressifs. Ayant retrouvé mes jambes, j’avais cette année prévu de faire les France de marathon (couru début Mai), j’ai donc couru celui de Lyon en Oct 2016 pour me qualifier. Mais une longue blessure cet hiver m’as empêché de faire la prépa souhaitée, et j’ai estimé que je n’avais pas assez de temps pour me préparer correctement lorsque j’ai repris, j’ai donc renoncé. Je compte bien prendre ma revanche et je serais au départ du marathon d’Amsterdam en octobre 2017 😉   Je voulais remercier le team Terre de Running Mizuno et tous ses partenaires, qui par leur soutien, me permet de me préparer sereinement pour tous mes objectifs. Et remercier également les personnes qui me permettent de vivre au quotidien ma passion, parce que cela prend parfois du temps !

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On a testé les Pure Grit de BROOKS

Notre runneuse de Terre de running Quétigny nous fait part de son test des Pure Grit de Brooks. Voici son retour d’expérience : « Après avoir fait le deuil de mes chaussures de trail précédentes, qui étaient trop rigides pour moi, il m’a fallu trouver un nouveau modèle qui me convienne mieux. Un petit tour chez Terre de Running Quetigny et le modèle était tout trouvé : les Pure Grit de BROOKS. Pure Grit – Brooks, un test grandeur nature concluant Pour les tester, je suis partie dans les Alpilles et j’ai été absolument conquise : – la chaussure est très légère et tient très bien au pied, – les grips sous la semelle permettent d’avancer en confiance sur tous types de terrain, – la semelle extérieure est très résistante ainsi que le dessus et les côtés qui proposent quelques renforts de protection qui semblent prometteurs pour la résistance des chaussures dans le temps. J’apprécie particulièrement la sensation de mes appuis au sol sans pour autant ressentir de gêne ou douleur : on se sent très dynamique dans cette chaussure ! Attention à l’aspect très « échancré » au niveau des malléoles : ce modèle étant assez minimaliste, il se peut que vous le trouviez peu « couvrant ». C’est pour moi un avantage, mais à vous de juger.     Mon verdict ? Enfilez vos Pure Grit et y a plus qu’à ! – galoper où vous voulez, – déménager dans les Alpilles, – apprendre à courir en descente, – profiter du paysage »   Les Pure Grit sont disponibles dans certains magasins et sur commande auprès de l’ensemble de nos équipes. N’hésitez pas à vous renseigner.

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On a testé la FENIX 5X Garmin

François,  sportif depuis toujours et plus particulièrement coureur, pédaleur et avaleur de dénivelé depuis plus de 25 ans….est l’heureux possesseur d’une GARMIN Fenix 5X achetée récemment chez Terre de Running Quétigny. Voici son premier retour d’expérience après quelques jours d’utilisation. Garmin Fénix 5X, montre multisports par excellence La fénix 5X Garmin est une montre cardio GPS facile à prendre en main surtout quand on a déjà possédé un autre produit Garmin auparavant, les menus sont clairs et intuitifs. Personnalisation des activités Comme sur la FENIX 3 ou 920 XT, on retrouve la possibilité de paramétrer les écrans en fonction des activités pratiquées. C’est vraiment la montre multisport par excellence avec notamment des fonctionnalités spécifiques à chaque activités. J’apprécie ces personnalisations notamment pour les activités que je pratique comme par exemple : – La dynamique de course pour la course à pied ou le trail (cadence, longueur de foulée, temps de contact au sol…), – La connectivité avec les capteurs vélo qui permet de la transformer en véritable compteur vélo, – Le compteur / cadence de coups de rame pour le rameur ou le standup paddle ou de coups de bras en natation. – Le  suivi à ski. Esthétiquement la montre est belle, solide et bien finie, cela lui permet d’être portée au quotidien « à la ville » et pas uniquement lors des entrainements sportifs. Techniquement, l’appairage GPS est rapide & précis, le couplage avec le téléphone via bluetooth et le transfert des informations vers l’interface web Garmin Connect sont faciles. Tracker d’activité et fonction cardio Outre son utilisation pour le suivi des entrainements, la Fenix peut servir également de tracker d’activité (comptabilisation du nombres de pas quotidiens, d’étages gravis, sommeil etc) et elle permet également de recevoir les notifications de son téléphone (sms, alertes)directement sur la montre. La fonction cardio au poignet fonctionne bien surtout au repos ou dans les activités du quotidien, mais je recommande toujours le port d’une ceinture thoracique à l’effort pour plus de précision. Bref la Garmin FENIX 5X est vraiment un beau produit haut de gamme de qualité made in Garmin qui apporte quelques améliorations en terme d’ergonomie, de fonctions et de connectivité par rapport au modèle précédent FENIX 3. La carto intégrée, le bonus ! Mais pour moi le gros plus de la FENIX 5X c’est la cartographie intégrée; très utile et rassurant pour la pratique de la randonnée (à pied ou à ski) ou du trail notamment. C’est un véritable GPS au poignet pour toutes les activités en pleine nature. Ci-après quelques photos pour illustrer cette nouvelle fonctionnalité.     Conditions du test de la fenix 5x garmin Parcours de trail local vallonné au départ de Corcelles-les-monts réalisé Dimanche 30 Avril en bonne compagnie. Parcours « fait maison » réalisé au préalable sur le PC via openrunner ou Garmin Connect pour aller chercher les bonnes petites côtes du coin (photo 1). Une fois le parcours créé sur le PC, Il est très facile ensuite de l’exporter directement sur la FENIX 5 (photo 2) en préparation de la sortie Ensuite sur place, au départ de la séance, il suffit de lancer le mode navigation et de suivre en temps réel sur la cartographie de la montre l’évolution de son parcours au fur & à mesure de sa course. Il n’y a même pas besoin d’être connecté à son téléphone ou à un quelconque réseau, ce qui peut s’avérer très pratique au fond d’une combe ou au milieu des bois quand on ne capte plus rien… (Photo 3  & 4) résultats du test de la fenix 5x garmin Validé ! La montre a assuré toute la sortie et a permis un retour sans encombre au point de départ (sans quoi  je ne serai peut-être pas là à rédiger tranquillement ce test, mais toujours en train de rechercher mon chemin en pleine nature… ) En conclusion, ça ne fait pas courir plus vite, mais ça évite quand même de perdre du temps et de se perdre (surtout dans des régions moins connues). Cela nous a même laissé le temps de cueillir quelques brins de muguet au passage  (photos 5&6). Donc convaincu par la Garmin FENIX 5X tout en sachant qu’il me reste encore des fonctions ou personnalisations à découvrir.     La fénix 5X est disponible dans l’ensemble des magasins Terre de running et sur le site www.terrederunning.com

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Jeu concours trail de la Rosière

Participez à notre jeu-concours et gagner votre dossard pour l’un des 3 parcours proposés lors du trail de la Rosière en partenariat avec la station de la Rosière. Située en Savoie, la station de la Rosière vous accueille dans un environnement sauvage et montagnard avec 3 parcours: 40km – 3000m+ => nouveau parcours et 3 points ITRA 22km – 1450m+ => 1 point ITRA 15km – 800m+   Pour jouer, likez la page Terre de running et répondez à la question suivante: quel magasin Terre de running est le plus proche de la Rosière? Merci de préciser également le parcours sur lequel vous souhaitez votre dossard. Tirage au sort le 15 mai. Bonne chance !         Infos et inscription sur https://www.terrederunners.com/inscriptions-aux-courses/trail-de-la-rosiere-2017-2/

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Entrainement : utilisez la technologie sans oublier votre instinct

A l’heure de la société hyper-connectée, addicte à la haute technologie, le monde de la course à pied ne fait pas exception à la règle. On retrouve ainsi sur le marché un nombre impressionnant d’appareils ou d’applications de mesure de paramètres physiologiques ou biomécaniques de l’effort que vous êtes en train de faire et même de prédictions de récupération ou de performance. Si ces appareils peuvent s’avérer très utiles pour calibrer votre entrainement ou analyser à posteriori le contenu et donc l’impact de vos différentes séances ; il peut s’avérer également très utile de s’en détacher pour écouter son corps et ses sensations  et (re)trouver le plaisir de courir à l’instinct. Mesures à tout va ! Au cours de ces dernières années, la technologie a énormément évolué en matière de mesures. Il y a encore 20 ans, les seules mesures que l’on avait étaient le temps, la distance (sur piste ou mesurée de manière archaïque par vélo ou roulette) voire la fréquence cardiaque. Aujourd’hui avec l’arrivée massive destinées au grand public de montres multifonctions, de smartphone connectés ou de capteur de puissance… on a des chiffres partout ! On dispose ainsi d’un tas de mesures quasi infinies : vitesse instantanée et moyenne, dénivelé, vitesse ascensionnelle, fréquence des appuis, longueur des appuis, temps de contact au sol, variation du centre de gravité, dette en oxygène, fréquence respiratoire… Bref ce n’est pas les données qui manquent ! On pourrait d’ailleurs penser que ces mesures sont plutôt destinées à une élite qui cherche à optimiser et maximiser ses performances ou à des experts de l’entrainement et qui ne sont pas indispensables au  pratiquant loisir ou confirmé. Pourtant il n’en est rien, c’est même tout le contraire. En effet la pratique de la course à pied, mais surement du sport en général, devient de plus en plus loisir et sûrement un peu moins compétitive. On pourrait donc penser que toutes ces données ont de moins en moins d’importance dans cette forme de pratique qui rime avec plaisir et liberté. Encore une fois c’est plutôt le contraire et l’utilisation de ces données s’est répandu à vitesse grand V. Des données utiles pour l’entrainement Ces données  personnelles sont évidemment très intéressantes pour calibrer son entrainement, l’analyser ou faire analyser par un spécialiste et ainsi optimiser et individualiser son programme d’entrainement, ses objectifs sportifs (ou simplement d’être en forme) et sa « saison » dans une optique de moyen / long terme. Vous pourrez ainsi contrôler vos paramètres, comparer vos séances, analyser vos points forts, vos points faibles, remédier à vos erreurs…voire modifier votre façon de courir. Cela vous permettra également de garder une trace de toutes vos séances d’entrainement et donc d’avoir la possibilité d’y revenir dessus. Cette démarche est d’autant plus intéressante si vous êtes débutant pour mieux vous connaître grâce à l’accès et la connaissance de vos plages de données, vos réponses physiologiques à différents types d’exercices…et ce, sans avoir fait une batterie de tests  qui vous permettrait d’avoir tout cela de manière plus précise. Aujourd’hui avec la multiplication des « e-coach », c’est aussi un excellent moyen pour lui d’avoir accès à vos données, d’optimiser ses conseils et ses retours d’analyse et savoir ce que vous avez réellement fait.   Attention aux erreurs ! « L’addiction » et le danger de l’utilisation de ces technologies c’est d’en tomber complètement dépendant ou de vouloir analyser des paramètres et déduire des choses qui sont erronées ou beaucoup plus complexes et multifactorielles qu’il n’y parait… D’une part, vous n’êtes pas forcément expert en physiologie ou biomécaniques. D’autre part, vous n’avez pas forcément tous les différents tests qui vous permettent d’avoir vos valeurs et vos plages de références. On retrouve souvent ces valeurs ou ces plages dans des plans d’entrainement prédéfinis; or n’oubliez pas que ces valeurs sont très personnelles et variables en fonction de multiples paramètres. Pour prendre le simple exemple de la fréquence cardiaque, on a souvent tendance à attribuer une valeur à un niveau d’intensité mais la fréquence cardiaque n’est pas le simple reflet de la difficulté de l’exercice. C’est un paramètre qui est aussi influencé par de multiples facteurs plus ou moins maîtrisables tels que la température, le moment de la journée, l’état cérébral, l’état digestif…. Il en est de même pour beaucoup d’autres paramètres. Enfin,  il existe sur tous ces outils, y compris les plus perfectionnés une marge d’erreur de mesure ou de calibrage pouvant vous orienter sur une analyse erronée. Ecouter votre corps Sans parler du fait que l’on est toujours le nez sur son écran à oublier de profiter de l’instant présent; on oublie surtout de percevoir son corps, ses mouvements, ses sensations, sa foulée, ses appuis. Faites l’expérience vous-même, partez pour une fois sans votre montre et essayez de percevoir le maximum de signaux de votre corps. Vous verrez que vous arriverez à réguler plein de choses par vous-même, à l’instinct ou à l’expérience, et vous verrez que votre plaisir sera d’autant plus grand et votre entrainement pas moins efficace. Si vous n’y arrivez pas, forcez-vous au moins à ne regarder votre montre qu’en fin de séance ou une fois chez vous. Et même si vous faites des erreurs d’allures par exemple, vous verrez que vous saurez très vite les corriger instinctivement. Pour vous en convaincre, je peux vous assurer que bon nombre de coureurs de haut-niveau n’utilisent pas forcément tous les outils qui peuvent être à leur disposition et vous diront que leurs sensations sont souvent un bien meilleur indicateur que leur montre et leur permettent de mieux réguler leur entrainement aux conditions du jour. S’éduquer soi-même dans ce domaine c’est progresser dans l’expertise.   La technologie peut être un outil très utile dans votre pratique quotidienne mais attention à l’addiction. Trouver le « bon » équilibre et laissez aussi votre instinct s’exprimer. Quand tout ceci n’existait pas, les coureurs n’était ni moins bons, ni moins heureux…..     Julien Rancon Athlète et coach sportif

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Nouveau modèle trail New Balance

La technologie Fresh Foam de New Balance sur un modèle trail?! C’est le pari du nouveau modèle trail New Balance : la Hierro V2. Idéale pour la pratique du trail sur chemins ou pratique mixte, ultra confortable avec l’amorti Fesh Foam, dotée d’une bonne accroche, la chaussure Hierro sera votre alliée pour les trails toutes distances. Ses plus : drop de 4mm 302g en 43 semelle Vibram Méga Grip pour une meilleure accroche et une adhérence optimale Technologie Fresh Foam pour un meilleur confort et amorti   Découvrez la vidéo :   Le modèle Trail Hierro est disponible  dans vos magasins Terre de running et sur www.terrederunning.com

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Bienfaits et fonctionnement de Bluetens

Découvrez les bienfaits et fonctionnement d’un appareil d’électrostitmulation Bluetens.       Nos équipes sont à votre écoute en magasin pour toute renseignement. Egalement disponible sur www.terrederunning.com

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Fabien Antolinos en route pour Madère

Fabien Antolinos sera au départ du MIUT – Madeira Island Ultra Trail manche de l’Ultra Trail Worl Tour le 22 avril prochain. Tombé sous le charme de cette course l’an dernier, du parcours et de l’ambiance; il essaiera de faire au mieux avec un plateau relevé. On fait le point avec lui après un hiver plus « tranquille « que d’habitude.   Tu pars dans quelques jours à Madère, dans quel état de forme et d’esprit es-tu? Je me trouve dans un état d’esprit volontaire et positif, j’ai envie de courir sur ce parcours que j’ai vraiment apprécié l’année dernière. Pour la forme, elle revient petit à petit avec de bons entraînements mais aussi de bonnes périodes de fatigue. Je prends mon temps pour revenir progressivement après un long arrêt hivernal. Globalement comment se sont passées les 6 derniers mois? Novembre, Décembre et Janvier ont été des mois de repos en ce qui concerne la course à pied. J’ai repris les entraînements le 23 Janvier, enchaîné un mois plus tard par la Trans Gran Canaria en mode sortie rando-trail et depuis j’arrive à m’entraîner plus sérieusement. Après ta participation (et quelques soucis gastriques) l’an dernier pourquoi cette 2ème tentative? Généralement j’aime m’aligner sur des courses nouvelles mais avec les soucis de l’an dernier j’avais l’impression de rester sur une grosse frustration (pourtant dans le top 6). J’ai souhaité repartir pour un nouveau MIUT afin de produire une course plus équilibrée et plus aboutie cette année. je trouve aussi que cette course est l’une des plus belles du calendrier de l’Ultra Trail World tour à seulement quelques heures d’avion de Lyon!   Quels sont tes objectifs et tes envies sur cette course? J’avoue ne pas trop savoir où j’en suis au niveau de ma forme. Je suis mieux de semaines en semaines mais pas encore assez compétitif pour atteindre les objectifs que je me fixe habituellement. C’est difficile de s’aligner sur une course en se disant que la gagne n’est pas possible mais il y aura de plus belles périodes pour moi, il suffit de patienter un peu. En attendant je vais essayer de bien gérer ma course pour finir le plus fort possible. Où te verra-t-on courir ensuite? J’espère être compétitif sur le Lavaredo Ultra Trail dans les Dolomites fin Juin et être très compétitif au Championnat de France de Trail long le 16 Septembre prochain.  

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Nutrition en course : Comment préparer sa stratégie à l’entraînement

Comme nous avons eu l’occasion d’en parler lors du précédent article, il est temps de revenir sur la préparation d’une stratégie de nutrition en course. Le sujet aurait sans doute pu être abordé plus tôt, car la saison est déjà bien lancée, certes. Mais il faut avoir conscience d’un fait d’importance : une mauvaise stratégie pardonne d’autant plus facilement que la course est courte. On peut donc considérer que nombre d’entre nous ont déjà fait des courses relativement longues (si, si, plus de 20 km c’est déjà long !), en se contentant de choix nutritionnels tout à fait anarchiques. Mais pour beaucoup, le programme de la saison comprendra des formats représentant des temps de course de plus de 5 à 10 heures… et parfois plus encore. Et c’est justement là que la question se pose. Supporter des aigreurs d’estomac sur les 10 derniers km du marathon de Paris, c’est encore faisable… mais traîner des ballonnements, entrecoupés de diarrhées ou de vomissements, alors qu’il reste encore 40 km ou parfois plus, c’est carrément masochiste. Les problèmes qui apparaissent au 30° ne feront à priori qu’empirer par la suite, il convient donc de prendre quelques dispositions. Choisir au mieux les produits d’effort ? Il faut déjà faire des choix éclairés, et c’est tout le but de cet article. Il importe de préciser les réalités scientifiques qui soutiennent ma réflexion, car on pourra tout à fait trouver des informations divergentes sur la toile : – Tout d’abord, le rôle de la boisson d’effort n’est pas d’assumer l’apport énergétique nécessaire pour sa réalisation, mais avant tout de favoriser l’hydratation. – Comme j’ai eu l’occasion d’en parler, l’eau seule est mal absorbée comparativement à une association de différents types de glucides, d’électrolytes et d’acides aminés. – Ensuite, ces nutriments permettront de protéger l’intestin, organe particulièrement sensible aux situations d’effort, tout en ralentissant, il est vrai, la vidange des réserves de glycogène. La formule ? Donc pour commencer, il convient de choisir une boisson complète (maltodextrines, glucose, fructose, un peu de protéines très digestes comme par exemple de lactosérum, sodium, potassium, magnésium, vitamines B1, 2, 3 à minima, vitamine C et E). Le reste n’est pas forcément sans intérêt, mais il semble logique de se focaliser sur l’essentiel avant tout. J’aurai sans doute l’occasion de revenir sur l’utilité des protéines dans une boisson d’effort, mais pour d’autres avant moi elle ne fait aucun doute. Leur rôle n’est pas d’améliorer la performance, mais de ralentir la vidange des réserves de glycogène, et de favoriser une épargne des protéines musculaires. Ce sera d’autant plus intéressant que l’on programme des courses de formats longs. La saveur ? Un aspect crucial est celui des saveurs. Il faut essayer autant que possible de les choisir légères, en tout cas attrayantes, variées si l’on doit les utiliser sur de longues durées. Le marché est abondant, presque trop, et le choix en la matière offre de grandes libertés, mais les promesses d’un fabricant ne cherchent à répondre qu’à des critères très personnels. Pour cette raison particulièrement, il faut impérativement tester chaque produit d’effort, plusieurs fois, en situations variées, tout en faisant varier les modes de dilution. Seulement après ces tests, on pourra valider définitivement un choix… ou presque ! Comment la préparer ? A ce sujet, la dilution recommandée correspond à une boisson isotonique, cadre légal un peu ancien, pas très à jour, mais qui donne un point de repère à utiliser intelligemment. Il ne faudra pas mettre moins d’eau que ce qui est suggéré, car une boisson trop concentrée est d’autant plus indigeste. Au contraire, une boisson plus diluée sera plus facile à assimiler… Donc n’hésitez pas à mettre un peu plus d’eau que ce qui est conseillé (jusqu’à 2 fois plus, pas au delà, en situation de forte chaleur). C’est ainsi que votre boisson sera mieux tolérée au niveau gustatif et digestif. La bonne méthode de consommation ? Il faut le répéter, encore et encore, on doit boire par petites quantités, régulières, et fréquentes. Donc une à deux gorgées toutes les 5 à 10 minutes seront mieux assimilées que 200 ml pris toutes les 20 minutes. La physiologie de la vidange gastrique est ainsi faite, et il est d’autant plus intéressant de la respecter qu’elle est le principal facteur limitant de la nutrition à l’effort. Comptez un total de 300 à 500ml d’eau par heure, voire plus, en fonction de votre gabarit et des conditions météo. Considérez qu’un organisme sous-hydraté ne performe pas, et a beaucoup de mal à réguler sa température. Ne pas s’hydrater suffisamment c’est se mettre en danger… mais s’hydrater trop n’est pas moins dangereux, trouvez donc le bon compromis ! La quantité à prévoir ? La capacité d’assimilation est limitée à 60g/h, de glucides voire moins pour les estomacs sensibles. Ne prévoyez donc pas davantage, et testez sur des sorties longues la combinaison solide-liquide. Préférez les barres solides aux gels, qui sont hyper-concentrés, et nécessiteront un apport d’eau complémentaire en même temps qu’on les consomme, pour les rendre assimilables. Une barre demande en revanche un effort de mastication qui permet de la mélanger à la salive, de relancer la production de sucs digestifs, nécessaires à une bonne digestion. Si on considère une utilisation classique de 30g de poudre par heure pour faire de la boisson, il faudra compléter donc par un apport solide de l’ordre de 30g au maximum. Créer et ancrer de bonnes habitudes Pour s’entraîner à courir longtemps, il faut courir longtemps !… J’ajouterais qu’il faut profiter des sorties longues et autres week-ends chocs, pour ancrer les bonnes habitudes. Donc on prépare les choses de manière structurée, on prévoit une quantité d’eau ou des ravitaillements adaptés à la durée prévue, voire un peu plus au cas où. On adapte le nombre de barres ou gels qu’on emporte (et la taille du sac poubelle qui vous permettra sagement de tout ramener à la maison sans rien laisser d’autre que les traces de vos pas dans la nature !!). Donc en substance : je commence à

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