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Trail Hivernale des Coursières 2018 c’est parti !

Pour bien démarrer votre saison de trail 2018, Terre de Running vous donne rendez-vous au Trail Hivernal des Coursières (69). En partenariat avec le magasin Terre de Running Craponne, cohez d’ores et déjà la date du 14 janvier prochain pour découvrir les nouveaux parcours des Monts du Lyonnais. Et pour vous mettre en bouche, le teaser 2018 :   Les infos : 15 km / 490m de dénivelé positif, 540m de dénivelé négatif. Départ de Saint Martin en Haut à 9h00 31 km / 1200 de dénivelé positif, 1250 de dénivelé négatif. Départ de Saint Martin en Haut à 8h30.   Inscription en ligne  

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On a testé le casque à conduction osseuse AfterShokz

Le gérant du magasin Terre de Running Puteaux a testé pour vous le casque sans fil à conduction osseuse de la marque AfterShokz. Voici son retour sur le test du modèle Trekz : La première chose qui m’attire vers ce produit, c’est d’abord sa singularité et apprendre pour ma part qu’il possible que le son passe par les Os. Au début cela nous intrigue quand on découvre que le son nous parvient sans qu’on n’ait besoin de poser le casque sur nos oreilles. Au fur à mesure qu’on découvre le produit, on s’aperçoit de la bonne qualité du son et le très bon maintien qu’il offre……JE TOMBE SOUS LE CHARME. Je décide d’aller le tester pour un footing de 50 min, moi qui ne court jamais sans rien transporter avec moi, je me retrouve à apprécier à écouter de la radio en courant. Je constate surtout à quel point ce casque est bien fait car : très léger le maintien est parfait il ne bouge pas on peut entendre tout ce qui se passe autour de nous. Etre connecté avec le monde extérieur tout en utilisant des écouteurs est très important d’un point de vue sécurité et cela concerne à la fois les coureurs mais aussi les cyclistes…JE SUIS CONQUIS. Un usage prolongé au quotidien… Je veux prolonger le plaisir et tester ce casque dans mon quotidien : je constate vite le bénéfice de pouvoir passer ses appels téléphoniques en ayant les mains libres du coup je peux continuer à travailler avec mon ordinateur, classer mes documents ou pouvoir protéger mes mains du froid qui sévit en ce moment….Je n’irai pas plus loin au risque de faire des jaloux ?     Côté tarif, l’offre actuelle sur le modèle Trekz Titatnium dans les magasins TERRE DE RUNNING à 99€ euros au lieu de 109€ est l’argument ultime pour se décider à acquérir ce casque. Bonus un gilet visibilité OFFERT !

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La SaintéLyon 2017, récit d’une édition dantesque !

Kévin Guillotte du team Terre de Running Lyon nous fait le récit de sa SaintéLyon. Une première participation réussie qu’il a terminé. Lors de la préparation de ma saison, la SaintéLyon n’était pas incluse dans mon programme … L’issue de l’édition précédente m’avait refroidie. En effet malgré une bonne préparation, j’étais passé totalement au travers de mon sujet pour finalement finir dans le bus au km 41 à St Genou-Le camp. Je m’étais dit « non c’est fini, cette course n’est pas faite pour moi, l’organisation laisse à désirer et la foule c’est pas trop mon truc ». Finalement un an plus tard, me revoilà sur cette ligne avec pour objectif de la finir cette fois-ci. Rien de plus, ainsi pas de préparation particulière, pas de pression, l’envie est juste de se faire plaisir et de prendre ma revanche face à cette course mythique. Nous sommes le samedi 2 décembre 2017, il est 23h29, le compte à rebours du speaker débute « 10…9…8… » bon c’est bon on y est, la marche arrière n’est plus possible … retour sur cette aventure qui démarre avec le traditionnel retrait du dossard; ce sera le dossard 6028 cette année. samedi 2 décembre : les fauves sont lâchés … La journée passe rapidement, le temps de préparer son sac, de déjeuner, de faire une bonne sieste et pouf il est l’heure de partir. Ma famille était de passage à Lyon cette semaine et j’ai donc le luxe d’être accompagné au moins jusqu’au départ. Ce qui est loin d’être anodin comme je vais l’évoquer un peu plus tard. Il est 19h30, nous arrivons sur Saint Etienne pour le diner. L’attente commence à ce moment à être longue. Le temps passe très lentement … Il est 21h30, je file vers la ligne de départ, j’ai besoin de passer au moment d’après. Je suis le 2ème coureur à arriver sur la ligne. Ça fait bizarre honnêtement mais en même temps c’est assez sympa. On commence à discuter avec le coureur en place, on trouve un carton pour s’asseoir par terre. Il se passe une bonne heure où le traileur me raconte son histoire sportive. Mes parents me retrouvent, on discute, ça me permet de rentrer progressivement dans ma course. En parallèle je me prépare. Ah oui j’avais oublié d’indiquer que je m’étais couvert en mode skieur (combinaison de ski, bonnet, gants, etc.) ! Là intervient le luxe d’être accompagné. Il est 23h25 et je retire mes dernières couches chaudes. Par contre, je vais courir seul cette nuit, je n’aurais pas retrouvé mes acolytes de mon club, le Saône Mont d’Or Nature. Il va falloir lutter seul face ce temps hivernal. Il est 23h30 tapante, c’est parti ! L’image vu de l’extérieur est magnifique !   Dimanche 3 décembre : Entre Enfer et Eden … Acte I : Saint-Etienne / Saint-Christophe-en-Jarez (16 km, D+531, D-228) La sortie de St Etienne, c’est 7 km de bitume. L’enjeu est assez simple à énoncer, difficile à appliquer : ne pas céder à l’euphorie, faire sa course sans s’occuper des autres. Cette portion a été avalée en 30’. Rapide, un bref instant de doute s’installe mais je me sens à l’aise, pas du tout en détresse respiratoire, quelques mots échangés avec un concurrent pour s’en assurer. Me voilà rassuré, il faut que je me fasse confiance, courir aux sensations est la clé de la réussite. Je le sais, il me faut continuer à appliquer ce plan et tout ira bien. Puis place à 9 km de sentiers pas vraiment techniques, des montées linéaires et pas vraiment pentues (1 montée de 1,5 km pour D+180). De quoi se mettre en jambes et d’arriver tranquillement à St-Christo-en-Jarez, km 16 (en à peine 1h20’). Je me rends compte que j’ai bien levé le pied dans les sentiers, c’est une bonne chose. La vue est magnifique, c’est à peu près ceci que cela donne. La nuit est claire, le fait d’être parti en « tête » de course fait que je me retrouve seul très régulièrement. Je suis surpris, je ne m’y attendais pas du fait du nombre de coureurs au départ. La magie de la course commence à opérer, je me sens bien. Je continue mon chemin sans m’arrêter au ravito. Acte II: Saint-Christophe-en-Jarez / Sainte-Catherine (12 km, D+302, D-404) Nous montons sur des crêtes et sommes bien exposés au vent. Ça y est je me souviens d’un truc : il fait froid ! Au point que les tuyaux de mes gourdes ont gelé. Je ne peux plus boire. J’essaie différentes techniques pour remédier au problème. Je me suis vite résolu au fait que c’était cuit ! Pas de panique, ce n’est pas grave, il faut rester focus sur la course. Les passages enneigés obligent à la vigilance. L’avancée n’est pas forcément difficile mais sait-on jamais. La confiance est là, je me relâche, je lâche 2 mots à un bénévole à une intersection, et BAM c’est la chute !!! Violente, inattendue, la cheville a vrillée, je m’inquiète. 2 coureurs s’arrêtent pour m’aider à me relever. C’est reparti au petit trot, j’entame la descente, les appuis sont fuyants, ce n’est pas top. En bas de la descente c’est le ravito de Ste-Catherine, il arrive au bon moment. Je regarde ma montre 2h34’. Je peste contre moi-même, j’ai l’impression que c’est trop rapide, c’est quasiment le même temps que l’an dernier au même endroit. Mais je croise des regards de concurrents déjà pas en super forme, je me dis que moi ça va très bien donc c’est bon, j’oubli cette pensée négative très vite et me reconcentre sur l’essentiel. Mes gourdes et ma cheville. Une bénévole me les plonge dans l’eau bouillante servant à l’élaboration du thé, problème résolu. C’est reparti, la cheville a l’air de tenir. Finalement la douleur se dissipera rapidement, cela me rassure. Acte III : Sainte-Catherine / Saint Genou-Le Camp (13 km, D+433, D-507) Une pensée commence à m’animer : celle de passer sous la barrière des 7h. Cela me parait tout

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Training Kari Traa – Terre de Running

La marque norvégienne Kari Traa conçue par et pour les femmes (voir notre article ici) fait sa tournée « Wool Run » dans les magasins Terre de Running ! Le concept? Un training – renforcement pour se mettre en jambes et se réchauffer en testant la collection suivi d’un apéro-dinatoire convivial. C’est aussi l’occasion de découvrir les vêtements en laine mérinos, un matériau naturel qui maintient au chaud en évitant d’empiler les couches! Plusieurs épaisseurs existent..mais le mieux c’est de venir essayer ces vêtements performants, doux, absorbants et super lookés! Les run à venir : le 5 décembre à partir de 18h30 au magasin Terre de running Lyon – Plus d’infos sur la page facebook   le 13 décembre  à partir de 18h30 au magasin Terre de running Limonest – Plus d’infos sur la page facebook     La soirée sera suivie d’une vente privée. Mesdames c’est le moment d’en profiter ! Plus d’informations auprès de nos équipes en magasin.  

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Résultats du challenge des Monts du Lyonnais 2017

Après 7 étapes dans le massif des Monts du Lyonnais, le challenge est désormais terminé. C’est Emma Ducreux et Sylvain Giry qui remportent ce challenge 2017. Retrouvez tous les classements ci-dessous : Classement Femmes Classement hommes   Rendez-vous l’année prochaine ! Plus d’infos sur http://cml69.unblog.fr/

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Retour sur le GR20 – Terre de Running Limonest

Terre de Running Limonest vous convie à une soirée exceptionnelle avec projection vidéo et débat atour du groupe de 6 coureurs qui se sont élancés cet sur le mythique GR20. Retour en image et en témoignage sur cette performance sportive et humaine menée en 92h. Ces 6 mercenaires vous feront part de leur expérience notamment logistique pour préparer VOTRE GR20. RDV jeudi 30 novembre à partir de 19h30. => Regardez le teaser de la soirée.   Un apéritif permettra de prolonger les échanges 😉 Toutes les infos sur la page facebook de l’évenement  ou auprès du magasin – limonest2@terrederunning.com et 04 72 54 62 73  

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La reco de la Saintélyon en vidéo

La vidéo de la reco TDR de la Saintélyon 2017 est à découvrir : De St Christo à Soucieu en passant par Ste Catherine découverte des nouveautés du parcours. Merci à Lyon Ultra Run pour l’encadrement et aux membres du team TDR.      

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KariTraa : les raisons du succès

La marque norvégienne a débarqué timidement en France il y a quelques années et s’est immiscée aux Etats-Unis en 2015. Aujourd’hui, elle colonise nos armoires de sportives avec ses produits au look audacieux. Mais pourquoi KariTraa nous séduit-elle autant ? 1ère raison : un design différent Dans l’univers de la mode sportive, KariTraa a longtemps fait figure d’OVNI. Avec ses associations osées de couleurs vives et ses motifs inspirés des traditions scandinaves, les produits KT ont paru un peu étranges pendant plusieurs saisons. Les revendeurs hésitaient d’ailleurs à faire rentrer ces collections décalées, estimant que les consommatrices n’oseraient jamais acheter un collant vert d’eau ou un tee-shirt bleu ciel, rose et orange. Mais la mode a ses raisons que la raison ignore et, l’air de rien, une bonne partie des marques a commencé à proposer des textiles avec des motifs. De plus, les représentants de KariTraa en France ont eu du flair : non seulement ils ont accru le démarchage auprès des points de vente potentiels dans toute la France, mais ils ont aussi créé en France le premier team de running 100 % féminin en 2015. La presse a joué le jeu, relayant photos et infos.   De plus en plus de filles ont commencé à oser sortir des coloris classiques (gris, noir, rose) pour se tourner vers les designs audacieux proposés par KariTraa. Du coup, les revendeurs ont franchi le pas et désormais les produits KT a envahi les linéaires des magasins spécialisés… comme Terre de Running ! Des sites web spécialisés ont eux aussi décidé de se lancer dans l’aventure. Alors que la marque norvégienne n’était présente que dans une trentaine de boutiques en 2014, elle figure désormais sur les étals de 220 points de vente. 2ème raison : la qualité scandinave Cependant il ne suffit pas d’afficher un design différent pour conquérir les consommatrices. Encore faut-il proposer des produits de qualité répondant aux besoins techniques des sportives. Forte de son expérience en matière de sport de haut niveau (rappelons que Kari Traa est une ex-championne norvégienne triple médaillée olympique en ski freestyle), la marque veille à développer des produits performants pour différentes activités sportives : ski évidemment, mais aussi running, fitness, paddle, surf des mers, activités de montagne et de pleine nature… La partie « lifestyle » des collections permet également d’endosser le look KT au quotidien. Pour le running, la gamme se révèle plutôt complète : shorts, collants, corsaires, tee-shirts, brassières, vêtements thermiques, vestes… A l’usage, on apprécie la technicité et la robustesse. Seul bémol : la marque étant tout droit descendue des contrées scandinaves, où l’été n’est pas franchement synonyme de grosses chaleurs, le catalogue qui manquait sans aucun doute de jupettes et shorts s’est étoffé; bien que la collection estival soit tout . Heureusement, les déclinaisons colorées des quelques modèles permettent de diversifier la garde-robe. En tout cas, on trouve un large choix de produits en laine mérinos, douillets et idéaux pour les sessions running par temps froid (ou les soirées au coin du feu…). 3ème raison : un message signifiant pour toutes les femmes Le slogan de KariTraa affiche d’emblée la couleur : « For girls, by girls ». Messieurs, vous entrez en territoire réservé ! KariTraa est une marque 100 % girly qui ne se contente pas de cultiver la féminité dans ses collections. Elle agit également pour faire évoluer les mentalités et inciter toutes les femmes à s’accepter telles qu’elles sont. KT a même lancé une campagne de communication l’an dernier pour lutter contre la maigreur des mannequins et promouvoir toutes les beautés, y compris les plus rondes. Alors, forcément, quand une femme tombe sur une pub KariTraa où le modèle photographié n’a ni cuisses maigrichonnes, ni taille de guêpe, mais des formes qui sont habituellement bannies des campagnes commerciales, elle se sent tout de suite concernée. Elle s’identifie plus facilement, s’imagine plus aisément dans le vêtement présenté et adhère à l’état d’esprit : quelle que soit l’apparence physique, une femme peut être belle et avoir le droit de s’habiller comme elle veut. Du coup, ce n’est pas uniquement un vêtement qu’on achète lorsque l’on jette son dévolu sur une pièce des collections KariTraa : d’une certaine manière, c’est aussi un acte militant, une façon d’affirmer joie de vivre et féminité comme en témoigne la dernière campagne « Celebrate yourself ».   Marie Paturel

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Marathon de Séville : dossards et voyage à gagner !

New Balance en partenariat avec Terre de Running vous fait gagner : 2 dossards et votre voyage pour la marathon de Séville.   Destination idéale en février, Séville et son marathon séduisent de nombreux coureurs. Dossards, vol et hôtel : New Balance vous gâte ! Vous n’aurez plus qu’à courir 😉 Pour jouer : Rendez-vous dans l’un de nos 14 magasins Remplissez le bulletin prévu Glissez le dans l’urne Résultats le 10 novembre Bonne chance à tous et toutes !

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La marche active, c’est pas has been !

Marcher ? Peuh, c’est pour les vieux ! Ce n’est ni du sport, ni une activité branchée. Bon, avouons que la marche a une image plan-plan qui lui colle à la peau. Pourtant, depuis quelques années, elle a franchement retrouvé la cote. Et on comprend pourquoi ! Parler de marche sans précision supplémentaire, c’est comme parler de course à pied sans dire s’il s’agit de sprint, de demi-fond sur piste, de marathon ou d’ultratrail. Commençons donc par une petite mise au point terminologique. Marcher, oui, mais comment ? La marche la plus simple est celle que l’on pratique au quotidien pour aller acheter le pain, prendre le bus ou emmener les enfants à l’école. Elle revêt une dimension purement utilitaire de déplacement d’un point à un autre. La marche la plus sportive est indéniablement celle que l’on qualifie d’athlétique. Elle figure au programme des Jeux Olympiques. Notre champion Yohann Diniz moissonne d’ailleurs régulièrement records et médailles. Elle est encadrée par un règlement très strict et donne lieu à des compétitions sur des distances officielles (20 et 50 km). La marche nordique est encore une autre discipline, qui se pratique avec des bâtons et qui est officiellement reconnue et encadrée par la Fédération Française d’Athlétisme. En Suisse, elle est particulièrement développée et donne lieu à de très nombreuses épreuves. L’avantage : elle mobilise toutes les chaînes musculaires, un peu comme le ski de fond. Par contre elle nécessite de maîtriser la technique pour profiter de ses bénéfices. Dans cette grande famille, la marche active fait figure de compromis : pas besoin de technique, pas besoin de trop d’équipement, elle est plus soutenue que la marche « normale » mais moins athlétique que la discipline olympique. Et elle est à la mode ! Un atout maître pour la santé Loin d’être une discipline réservée aux seniors, la marche active a plus d’un argument à faire valoir : elle sollicite le cœur, le souffle, mais aussi la quasi-totalité des chaînes musculaires ; pratiquée régulièrement et sur une durée suffisamment longue (au moins une heure), elle permet d’améliorer l’endurance ; plus dynamique que la marche normale, elle permet de dépenser de l’énergie et de se muscler, ce qui affine la silhouette et favorise la perte de poids ; comme toute activité physique, elle permet de lutter contre le stress et un certain nombre de pathologies (diabète, maladies cardiovasculaires, surpoids…) ; elle se révèle moins traumatisante que la course à pied pour les articulations. Dans marche active, il y a surtout « active » Non, il ne suffit pas de marcher à une vitesse légèrement plus élevée que lorsque vous allez acheter le pain ! Pour marcher de manière réellement active, vous devez progresser à une allure oscillant entre 5 et 10 km/h. Vous devez adopter une posture gainée, dos droit et épaules redressées. Le regard doit être posé loin devant vous et non au sol. Les bras participent au mouvement en se balançant énergiquement au rythme des foulées. Pour savoir si vous marchez assez vite, vous devez être essoufflée. Bref, vous ne devez pas vous friser les moustaches ! Le bon équipement Qui dit actif, dit sportif. Il vaut donc mieux être bien équipée pour que votre séance de marche ne devienne pas désagréable à cause d’une ampoule au pied, d’un pantalon trop serré ou d’un tee-shirt trempé de sueur. Choisissez une paire de chaussures confortables, légères, basses. Certains modèles adaptés au running conviennent parfaitement. Pour ne pas vous tromper, demandez conseil à un vendeur en boutique spécialisée. Côté textile, investissez dans des chaussettes techniques, un soutien-gorge de sport, des vêtements souples et confortables. Tout l’équipement est sensiblement identique à celui qui s’adresse aux coureurs. Pour une pratique plus cadencée, optez pour des bâtons. Pour plus de confort sans oublier l’hydratation, vous pouvez investir dans un porte-gourde (vous pourrez aussi y mettre le téléphone , vos clés..) ou un petit sac à dos qui vous permettra d’emporter une veste ou un haut de rechange. Enfin les plus perfectionnistes ou celles/ceux qui souhaitent progresser dans leur pratique tout en surveillant leur cœur investiront dans une montre cardio. Où pratiquer ? On évite en général le dénivelé et on préfère s’adonner à la marche active sur des parcours plats (parcs, berges, chemins forestiers…) ou légèrement vallonnés En hiver, certains restent au chaud et marchent sur un tapis roulant. Dans tous les cas, n’hésitez pas à marcher en groupe : l’émulation née de la pratique collective vous aidera à être régulière et à ne pas renoncer dès qu’une goutte de pluie ou un accès de flemme se présentera !   Marie Paturel.

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