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Nouvelle Suunto 5. Compacte, autonome et élégante !

La marque finlandaise Suunto lance la Suunto 5, une nouvelle montre de sport GPS compacte. Durable et ultraperformante, la Suunto 5 est une montre fine et confortable qui offre de nombreuses fonctions et bénéficie d’une excellente autonomie. Idéale pour vos activités de running, trail, triathlon, vélo ou natation. Présentation. La Suunto 5, une montre simple, purement axée sur la fonctionnalité Fine, compacte et confortable, la Suunto 5 dispose des fonctions multisports qui font la renommée de la  marque et vous aide à atteindre facilement votre rythme d’entraînement optimal. Son style élégant en fera votre compagnon au quotidien. Une batterie qui tient la distance Grâce aux modes de réglage intelligents de la batterie et à son autonomie pouvant aller jusqu’à 40 heures. Cette montre intelligente apprend les habitudes d’entraînement de son utilisateur et lui rappelle de la charger à bloc avant sa prochaine sortie. Fidèle à sa tradition de fabricant de matériel d’aventure depuis 1936, Suunto a créé et testé ce compagnon  d’entraînement infatigable dans les conditions les plus rigoureuses en montagne. La montre résiste sans problème à tous les caprices de la nature. Un compagnon d’entraînement intelligent La Suunto 5 assure le suivi de la forme physique de son utilisateur et lui propose des conseils d’entraînement personnalisés en fonction de ses progrès et de ses objectifs. La Suunto 5 est bien plus qu’une montre; c’est un compagnon d’entraînement sur lequel on peut  compter. La montre propose un suivi du stress et du sommeil. Avec plus de 80 modes sportifs  personnalisables, l’utilisateur obtient des statistiques pertinentes, quelle que soit sa discipline. Connectez-vous à la communauté Plutôt que de s’entraîner seuls, les passionnés de sport et d’aventure peuvent, avec la Suunto 5, se connecter et découvrir de nouveaux itinéraires grâce aux cartes de densité disponibles sur l’application Suunto. Les cartes de densité indiquent les lieux d’entraînement et les itinéraires de l’ensemble de la communauté, afin d’inspirer les utilisateurs à élargir leur terrain de jeu et à relever de nouveaux défis. Une fois synchronisés, ils peuvent explorer de nouvelles pistes ou de nouveaux itinéraires sur leur montre. Pour tirer le meilleur parti de chaque séance, l’application Suunto intègre certaines des applications les plus plébiscitées dans le monde du sport, telles que Strava, TrainingPeaks et Relive.      Prix de vente conseillé : 329€ La Suunto 5 sera prochainement disponible dans vos magasins Terre de Running. N’hésitez pas à la réserver auprès de nos équipes.

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adidas revisite le modèle Boston 8

Le modèle incontournable Adizero Boston revient avec une version 8 encore améliorée. Plébiscitée par de nombreux coureurs notamment pour les entraînements rapides et les courses de 10km, semi-marathon ou encore le marathon, cette nouvelle version connaît quelques améliorations non seulement techniques mais aussi esthétiques. Les améliorations de la Boston 8 adidas Esthétiques : la chaussure est plus stylée. Visuellement les 3 bandes de la marque sont mises en avant et l’écriture BOS-TON au Talon modernise la chaussure.   Le chaussant sur l’avant pied a été élargi. Sans perdre en précision de chaussant médio-pied, les 2 mm gagnés sur la boîte à orteils vont permettre de convenir à d’avantages de coureurs. Meilleur Grip Continental : le dessin du crampon est plus agressif, il y a plus de surface d’adhérence sans ajout de matière en volume. Vous bénéficiez de la technologie Continental.   Nouvelle forme Torsion system. Cette technologie offre une meilleure transition et toujours du dynamisme .   Et toujours les incontournables adidas : mesh aéré, technologie Boost pour augmenter le retour d’énergie. Poids :  Hommes 244g / Femmes 202g Drop:  10 mm   Les ajustements permettront de garder une chaussure rapide tout en apportant du soutien, de la stabilité et du confort puisque l’on pouvait reprocher aux anciennes versions d’être un peu « dures » Les Boston 8 sont des chaussures de running idéales pour affoler les chronos, améliorer votre vitesse et essayer d’améliorer votre record personnel ! Les produits de la gamme Adizero sont réservés aux magasins spécialisés. Retrouvez les nouvelles Boston 8 adidas pour Hommes et Femmes dans les magasins Terre de Running.

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L’ultr’Ardèche, ou comment jeter l’éponge au 165ème kilomètre

Après avoir inclus les 12h de St-Fons dans sa préparation, notre coureuse Karine s’est lancée sur l’Ultr’Ardèche. Un défi de taille qu’elle raconte avec humilité et sagesse pour avoir préféré abandonner. Récit d’une course pas comme les autres Les 18 et 19 mai derniers ont lieu lieu la 3ème édition de l’Ultr’Ardèche, pour les initiés l’UA#3. Mais qu’est-ce donc ? Déjà ce n’est pas un trail mais une course sur route avec uniquement 25km de voie verte et un total à atteindre de 222kms pour plus de 4500m de D+ et donc de D-, la précision ayant une grande importance. Comme son nom l’indique cela se passe en Ardèche et les 80 bénévoles sont menés de main de maître par Laurent Bruyère, surnommé Lolonidas, et son épouse Isabelle, sans oublier toutes les autres personnes. Car il en faut du monde pour l’ensemble des ravitaillements assurés par l’orga, avec drop bag, superbes sourires et assistance. C’est une course d’ultra et comme toutes ces courses l’esprit premier y est l’entraide et surtout pas la concurrence entre coureurs. Le camping est d’ailleurs réservé pour ce week-end et tout le monde s’y retrouve dès le vendredi soir pour repas et briefing, dépôt des sacs, rencontres et retrouvailles. Alors qu’est-ce qu’une circadienne, spécialiste donc des courses sur circuits d’environ 1km, sans aucun dénivelé, et des centaines de boucles pendant 24h est venue faire sur 1 seule boucle de 222kms ? La réponse est simple : voir du paysage et me frotter aux éléments ! Et pour les éléments j’ai été servie. De la pluie était annoncée tout le week-end. Au final, la situation a évolué favorablement – au début du moins – car c’est le soleil qui nous a accompagnés en début de course dès les premières montées après le feu d’artifice tiré à 6h du matin. Nous partions alors tous à allure réduite pour courir et marcher au maximum 37 heures, car barrières horaires il y avait. Ce ne sont pas les barrières qui m’ont posées problème, ni même les montées et les premières descentes. Par contre, on commençait à moins rire à escalader (par la route) le Mont Gerbier de Jonc et surtout à le redescendre. En bas, il y avait mon deuxième drop bag, au kilomètre 117. Et le bas fut long à atteindre… A ce moment j’avais déjà effectué quelques kilomètres en compagnie de Maria Pierre, qui finira 2ème féminine, tout en discutant et nous avons rejoint Saint Pierre et la BH 2. Julia Fatton était alors loin devant, sur une tête de course qu’elle ne quittera pas. A ce moment nous savions que les cuisses avaient « pris cher », comme on dit, dans la descente; et le reste n’étant qu’une succession de bosses, que la nuit serait longue. La journée était passée très vite, pour moi du moins car les premiers abandons étaient déjà à compter, et il fallait appréhender la nuit. Vêtements chauds et prendre l’habitude de la pluie qui avait commencé de tomber depuis 18h sans interruption. Il était alors moins de 21 heures, comme prévu sur la feuille de route. Ce serait la dernière fois que cette feuille pourrait être respectée. Car ensuite il y a eu des montées, interminables, puis des descentes, tout aussi interminables. La nuit tombée, seuls les PC pouvaient nous permettre de sentir un peu de présence humaine. Après quelques kilomètres avec Pascale Bouly, et son mari qui l’accompagnait à vélo, je me suis effectivement retrouvée seule dans la nuit avec ma frontale et en combat avec les éléments. La pluie ne cessait pas et certains cols étaient mémorables. Le dernier pour moi, alors que je venais de me changer et remettre des vêtements secs à Saint Julien, avec plus d’une heure de retard sur mes prévisions, a été le col de la Croix de Ferrières. En haut, à seulement 918m d’altitude, la tempête avait décidé de se déchaîner sur moi. Cachée entre buff, bonnet et mes gants pour me cacher le visage, j’ai passé le col, trouvé la flèche pour redescendre et fait le terrible constat : je n’avais plus rien de sec et surtout j’en avais archi marre de cette pluie. Alors j’ai fait tous les calculs possibles et imaginables et passé quelques coups de fils, à près de 5h du mat’. Cela faisait plus de 22 heures que j’étais en route, j’avais fait le plus dur, j’étais alors 2ème féminine, élément qui m’avait permis de repartir à Saint Julien, mais j’estimais qu’il me faudrait encore au moins 10 h, peut être 11 ou encore plus pour rallier Alboussière. J’ai occulté l’élément nuit car pour une fois je n’avais pas sommeil, mais pas l’élément pluie. Depuis plus de 2 heures il n’y avait plus aucun plaisir dans cette aventure. Et j’étais avant tout venu pour le plaisir. Je ne voulais pas disputer les championnats de France de 24 heures à Brive et j’avais choisi ma course plaisir. Il n’était plus là. J’ai donc trouvé ma conclusion : jeter l’éponge qui était gorgée d’eau. Je signais là mon premier abandon sur une course et ce quelle qu’en soit la distance. Mais je le signais avec courage et positivisme. Pour ne pas mettre 3 mois à m’en remettre et pour conserver ce que j’étais venue chercher : l’envie et le plaisir. J’avais toujours des jambes, j’avais toujours ma tête, mais j’avais perdu mon coeur. Ce n’était pas un abandon mais le choix d’un stop pour continuer ensuite. Mes Kinvara 10 ont assuré avec brio la mission qui leur avaient été confiée, mes 5 paires de chaussettes trempées aussi. Les pieds vont bien, les jambes toujours et je serai donc prochainement au départ de la suite de tout ceci : un marathon, pour un autre objectif, mais toujours en Kinvara. J’invite tous les coureurs d’ultra qui aiment la route à la prochaine édition de l’UA#4 donc, les 30 et 31 mai 2020 ! Vous ne le regretterez pas. Pas de bouchons, la nature, la vraie, les éléments, les vrais et un bon dénivelé à

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1999-2019, 20 ans d’innovation Raidlight !

1999-2019, 20 ans d’innovation Raidlight ! La marque Raidlight spécialisée en Trail-Running et implantée depuis 2011 en Chartreuse fête cette année ces 20 ans. Dans son ADN, l’expérience et l’innovation produit. Retour sur les étapes et les dates clés d’une histoire riche qui continue son chemin… 20ème anniversaire Raidlight – dates clés 1999 – CRÉATION DE RAIDLIGHT Raidlight est né en 1999 à Saint-Genest-Malifaux, dans le massif du Pilat, à quelques encablures de Saint-Etienne. Benoît Laval crée RaidLight, marque de produits de Trail et de raids, en associant ses compétences d’ingénieur textile et sa passion de la montagne et de la course à pied qu’il pratique sous toutes ses formes depuis l’âge de 10 ans. Dès le départ, la volonté de Raidlight est d’innover et de concentrer son savoir-faire pour proposer des produits toujours plus légers, innovants, performants et astucieux, et accessibles à tous. 2003 – UN PREMIER CHAMPION DU MONDE EN RAIDLIGHT En 2003 Thierry GUEORGIOU, icone montante de la course d’orientation en France, gagne son premier titre de champion du monde en Raidlight, alors partenaire officiel de la Fédération française de course d’orientation. 2003 – INVENTION : LE BÂTON EN Z Devenu un concept aujourd’hui in contournable sur le marché outdoor, Raidlight a été la première marque au monde à commercialiser le bâton pliable « en Z ». Invention du savoyard Thierry BARBOUX, il a rapidement confié la production et la commercialisation à Raidlight, ce bâton a constitué une véritable rupture technologique. Dès ses débuts la marque innove comme le montre l’utilisation de la membrane imperméable et respirante hydrophobe « MP+ ». La veste HYPERLIGHT JACKET affiche 95g pour 20K d’imperméabilité et 25K de respirabilité. 2007 – OLMO, DES SACS À DOS CRÉÉS PAR UNE LÉGENDE En collaboration avec Marco OLMO notamment vainqueur de l’UTMB, la marque créée une gamme de sacs à dos directement issue des prototypes réalisés des mains de Marco OLMO pour ses aventures. Ultralégers et efficients, portage des bidons sur les bretelles de façon astucieuse, cette gamme deviendra un must à la hauteur de la passion et de la légende de Marco OLMO. 2008 – CRÉATION DU «TEAM OUVERT À TOUS» En 2008 Raidlight est la 1ère marque à créer un véritable réseau social autour de ses clients et de leur passion commune, le Trail et compte plus de 8000 membres. Depuis 2003, la marque organise via ses salariés de nombreuses courses notamment sur son territoire d’implantation. Plus de 150 courses sont partenaires de la marque. 2010 – INTÉGRATION DE VERTICAL : marque de vêtements de ski de randonnée et d’alpinisme, pionnière des vestes et pantalons techniques, imperméables et respirants. 2011 – INSTALLATION DE L’OUTDOOR-LAB À SAINT-PIERRE DE-CHARTREUSE et PREMIÈRE STATION DE TRAIL Un bâtiment éco-responsable où est implanté le siège social,  l’atelier R&D de Raidlight ouvert aux clients. C’est aussi l’année de lancement d’un nouveau concept, les stations de trail; un lieu 100% dédié au Trail proposant des parcours balisés, des services (douches, vestiaires, produits de tests), des outils et des conseils mais aussi un lieu pour organiser des stages ou des weekend complets. Les stations ayant le label sont regroupées et valorisées à travers un site internet de présentation de la destination touristique et des parcours, et une application smarthphone avec géolocalisation et GPS vocal. Le réseau compte 30 stations de trail labellisées. 2014 – LANCEMENT DE L’ATELIER DE PRODUCTION MADE IN FRANCE INO-FAB Afin de produire une partie de ses produits en France, RaidLight-Vertical créée en 2014 INO-FAB, un atelier de production textile Made in France, implanté à Saint-Pierre-de-Chartreuse. L’utilisation de technologies innovantes comme la découpe laser, et le thermocollage permet de rendre les produits encore plus innovants et légers. 2016 – Dream Team : un team d’athlètes élite est constitué autour d’ultra-traileurs comme Nathalie Mauclair et Antoine Guillon ou d’aventuriers. 2016 – INTÉGRATION DANS LE GROUPE ROSSIGNOL : cette étape est un moyen pour la marque de rejoindre un grouper aux multiples ressources et de poursuivre sa croissance et son développement. 2019 – NOUVELLE GAMME DE CHAUSSURES et NOUVELLE GAMME REVOLUTIV Désignées par les équipes d’ingénieurs chaussures du groupe Rossignol, au pied des Dolomites, la nouvelle gamme innovante de chaussures est une étape primordiale pour Raidlight et une innovation de plus. Légers et performants, la nouvelle gamme de produits REVOLUTIV concrétise les 20 ans d’expérience et d’innovation de Raidlight.       Retrouvez la gamme Raidlight dans les magasins Terre de Running et sur www.terrederunning.com Pour fêter les 20 ans de la marque, profitez de -20% sur l’ensemble des produits disponibles en magasins du 27 mai au 15 juin.

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Forerunner 45 la petite dernière de la famille Garmin

A chaque runner sa Forerunner ! C’est le slogan de campagne de Garmin qui ce mois-ci a lancé 3 nouvelles montres GPS Cardio : la Forerunner 245/245 music, la 945 et la petite dernière, la Forerunner 45. Garmin comble ainsi l’ensemble des coureurs puisque quel que soit votre niveau et type de pratique, il y a une Forerunner adaptée ! La petite dernière, la Forerunner 45 séduit autant par son format et son design discret que par ses fonctionnalités simples mais efficaces. Dotée du cardio-poignet et du GPS pour analyser vos données, la Forerunner 45 vous propose le tout nouveau programme de coaching intégré ! Avec le Garmin coach 2.0, vous choisissez votre coach et votre objectif de course et vous recevez votre  programme d’entraînement adaptatif gratuit et des instructions pas à pas. Les séances sont synchronisées avec votre montre Garmin compatible sont adaptées sur la base de vos performance dans le plan.   Les analyses et le suivi des performances et de votre santé sont également intégrées sur la Garmin Forerunner 45 comme la fonction Body Battery : pour planifier vos temps d’activité et de repos et optimiser votre énergie corporelle. Mais aussi :   L’écran couleur lumineux et les facilités de navigation vous permettent de prendre la montre rapidement en main et de consulter clairement et simplement vos données.   Restez connectés ! Vous avez la possibilité de recevoir sur votre Garmin 45 les notifications de SMS et d’appels. Comme pour les autres Forerunner,  la Garmin 45 est dotée des fonctions de sécurité et de suivi qui vous permettent d’envoyer votre position en temps réel à vos contacts en cas d’urgence. Vous pouvez ainsi partir courir sereinement !   La nouvelle Forerunner 45 est également disponible en version 45S avec un bracelet plus fin.   Retrouvez les Forerunner 45  dans vos magasins Terre de Running et sur www.terrederunning.com

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Nouveaux modèles route Hoka One One

Envolez-vous avec la gamme Fly de la marque Hoka One One ! 2 modèles ont particulièrement évolué cette année et sont disponibles en version 2 : la Mach et la Cavu. Tous deux proposés dans des coloris très sympa à porter ! Présentation des chaussures Mach 2 et Cavu 2 Mach 2 Cette version est une superbe évolution pour ce modèle dotée de la nouvelle semelle Profly. Il s’agit d’une mousse en caoutchouc qui assure une foulée encore plus légère et absorbe encore mieux les chocs – Au menu, dynamisme et stabilité pour cette chaussure qui compte une tige en mesh technique ventilé et aéré. Le profil de semelle incurvé apporte une propulsion de la foulée. Petit plus, la languette rembourrée offre pour plus de confort. La MACH 2 est une chaussure pour les courses et les entraînements rapides sur route jusqu’au format marathon Poids affiché : 227g   Cavu 2 Cette chaussure de running polyvalente est idéale pour vos défis sur route (jusqu’au 10km et semi-marathon) mais aussi vos pratiques multi-sports. Comme la Mach 2, l’évolution de son modèle est dotée de la nouvelle semelle Profly mais légèrement plus basse. Son Mesh technique, aéré et respirant auquel a été rajouté une doublure en lycra pour un meilleur confort du pied offre un onfort incroyable. La CAVU 2 vous offre une foulée fluide, dynamique et légère sans négliger l’amorti et le confort. Avec son coloris tendance et le logo Hoka floqué vous êtes parés ! Disponible en coloris Homme et Femme.   Retrouvez les modèles Cavu 2 et Mach 2 dans les magasins Terre de Running.  

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La Tchimbé, une course atypique en Martinique

La Martinique n’est pas qu’une destination de vacances pour la farniente. Depuis quelques années, la Tchimbé est une course regroupant de multiples formats à la renommée redoutable. En effet, avec un terrain atypique et très accidenté ainsi qu’une humidité affolante, le parcours du 53km a donné du fil à retordre à Gaëtan, gérant du magasin Terre de Running  Albertville. Récit d’une course plutôt atypique ! Belle ambiance martiniquaise au départ. De 11h à minuit du très bon Reggae permet de détendre l’atmosphère. Tout le monde affiche un calme trompeur, on a tous peur je crois. Enfin ceux qui ne la ressente pas sont inconscients ! Le départ est donné à Minuit Première péripétie, après 3 min sur la route erreur d’aiguillage et on se retrouve 150 à tourner en rond dans une impasse à chercher un chemin qui n’existe pas… Donc demi tour et deuxième départ fictif et on doit faire monter le cardio pour retourner dans le groupe de tête pour ne pas être bloqué à l’entrée de la Jungle ! On entre donc dans la forêt. Un premier beau talus, sans les mains agrippées aux arbres et à la main courante, les pieds calés sur des racines : tu montes pas. Puis une belle descente est prévue sur le profil de la course que j’ai glissé dans la coque du tel, lui même bien emballé dans une pochette étanche. La descente est encore plus improbable que la montée. je pense qu’on va moins vite encore…. je continue à m’agripper aux arbres, je pousse de grandes feuilles comme celles des bananiers pour voir où je pose les pieds, descends de grosses marches naturelles entremêlées de racines énormes… et ça va durer environ 35 km… Les quelques parties plates sont vraiment boueuses à en laisser plusieurs fois ma chaussure collée. Et me voilà en chaussettes en tentant de me rechausser pour la 4ème fois. Je prends finalement 2 min pour tout resserrer et c’est reparti pou un tour 🙂 Au 20èm km et environ 3h30 de course, je commence à douter sur le fait de finir cette course… 20 min pour parcourir 1 petit km ! Finalement une descente sur la « route forestière » nous fait prendre rapidement 5km, mais nous casse bien les jambes. C’est une route avec beaucoup de pièges : cailloux, trous,… au milieu de bananiers. Je dis nous car j’ai presque toujours couru avec quelqu’un. (j’ai peur du noir et des bestioles 🙂 ) Parti avec 2 l d’eau, j’ai ravitaillé dès que possible. Englouti environ 1l par heure. Moi qui ne transpire habituellement pas beaucoup, ça fait drôle d’être trempé dès les premiers km. Puis à nouveau la forêt tropicale, que des petites montées en vu sur le profil, mais les jambes ont déjà bien données ! En fait les bras aussi et les abdos encore plus…. Je pensais souffrir de maux d’estomac, mais non ce sont bien les abdos qui ne sont pas habitués à bosser autant dans la boue !   La fin de course est de plus en plus propre car ont rattrape petit à petit les coureurs (fous) de l’ultra parti 12 h avant nous. Au ravito suivant, une bonne compote et une tranche de jambon comme petit dej’ et je retrouve le moral et surtout la forme qui va avec, je me régale presque dans les descentes plus sympas, de belles côtes vraiment raides faites de grandes marches en rondin. Le soleil arrive et la chaleur étouffante aussi, la mer est proche… enfin je l’aperçois à un moment, elle parait vraiment loin…. En effet la descente est longue et se termine par 3km de goudron bien chaud ! Délivrance et satisfaction à l’arrivée. J’apprends que je suis 8ème à ce moment là car on avait vraiment aucune idée du classement dans la jungle 🙂 Un poulet boucaner à 9h du mat’, une bonne douche, un bon restau à midi et un peu de répit sur la plage en famille 🙂   La Tchimbé, j’y reviendrais dans  10 ans !  

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Mon premier trail : le choisir, le courir, le finir

Le calendrier est pléthorique en matière de trails. De plus, tout le monde me parle d’ultra… Quelle course choisir ? Si je commence par une distance courte, serai-je ridicule ?  Parler de trail de manière générale, c’est comme parler de running sans autre précision. Or on trouve de tout : des courses nature de 5, 10 ou 15 km, des trails courts de 25 km, des montées sèches, des trails longs de 50 km ou encore des ultras d’une centaine de bornes. Sachez raison garder : ce n’est pas parce que tout le monde parle d’UTMB® et autres défis hyper longs que vous devez vous aussi courir plus de 100 bornes ! La progressivité est essentielle, donc commencez par des épreuves courtes. Vous venez d’ouvrir un calendrier de trails… et vous avez le tournis. Si on voulait (et si on pouvait), on pourrait épingler un dossard plusieurs fois chaque week-end sans forcément aller très loin de chez soi ! Néanmoins, lorsqu’on est débutant dans la discipline, filtrer l’offre se révèle nécessaire : 1.    Commencez par éliminer les distances trop longues : quand on veut apprivoiser une nouvelle activité, on débute modérément ! Si vous avez déjà l’habitude de courir régulièrement, sélectionnez les courses oscillant entre 10 et 20 km. Si vous venez juste de vous mettre à courir, optez pour une distance inférieure à 10 km. 2.    Essayez d’identifier le type de terrain que vous allez rencontrer. Pour débuter en trail, mieux vaut commencer avec des sentiers pas trop techniques et avec un profil pas trop vertical. Misez sur un dénivelé positif : autour de 800 m si vous avez un bagage de randonneur habitué à crapahuter sur les pentes, autour de 400 m si vous êtes un vrai débutant en matière de montées. 3.    Misez sur la pédagogie de la réussite, histoire de ne pas vous dégoûter tout de suite : choisissez une course qui représente un challenge personnel (cela vous motivera) mais qui reste un objectif réaliste (l’idée est de rallier l’arrivée sans souffrir le martyre pendant des heures et non d’abandonner en cours de route). 4.    Si vous êtes une fille et que le dossard vous effraie, cherchez une course nature 100 % féminine : l’ambiance y est généralement plus zen et l’esprit communautaire vous aidera à vivre cette première expérience plus sereinement. De plus, les distances proposées sur ce type d’épreuve sont généralement accessibles. Faut-il continuer à s’entraîner juste avant la course ? Une certitude : ce n’est pas la dernière semaine qu’il faut se mettre à courir comme un acharné ! La semaine qui précède le jour J doit être consacrée à un repos relatif.  Faites un ou deux footings à allure tranquille. Vous pouvez encore réaliser une ultime séance de fractionné, sans réelle difficulté, au plus tard le mardi ou le mercredi. L’objectif est de « faire du jus », c’est-à-dire d’emmagasiner de l’énergie et de la fraîcheur. La veille de la course, faites un petit échauffement composé de 20 à 30 minutes de footing léger suivi de quelques accélérations progressives (par exemple, 5 fois 1 minute à allure soutenue avec 1 minute de récupération).  Je me suis inscrit sur internet. Comment récupérer mon dossard ? Les horaires et le lieu du retrait des dossards sont forcément indiqués sur le site web de la course. Sur les grosses épreuves, un retrait est généralement organisé la veille de l’épreuve. Récupérer le dossard à ce moment-là est préférable car cela évite le stress de dernière minute, les épingles qu’on a oubliées à la maison ou enfouies tout au fond du sac. Si le retrait s’effectue uniquement le matin de la course, mieux vaut prévoir d’arriver en avance : là encore, cela évite un stress délétère. Je suis hyper angoissé… C’est normal ?  Rien de plus normal que l’appréhension d’avant-course. L’inconnu effraie toujours ! De nombreux coureurs chevronnés sont, eux aussi, soumis aux affres de l’angoisse pré-compétitive. Pour désamorcer le stress, l’imagerie mentale se révèle d’un grand secours. Allongé sur le dos, en position de détente, les yeux fermés, respirez profondément plusieurs fois. Visionnez le film de votre futur trail : imaginez-vous le matin en train de manger votre gâteau sport, puis en train de vous habiller, puis sur la ligne de départ, puis sur le parcours. C lôturez la visualisation par votre bonheur de franchir la ligne d’arrivée (avec le sourire !). Projetez-vous dans des émotions positives. Cela désamorcera le stress et vous rassurera. En tout cas, évitez de ruminer tout seul dans votre canapé la veille de l’épreuve et sortez plutôt vous balader tranquillement en famille. L’action inhibe l’émotion, donc mieux vaut s’occuper que gamberger sans bouger ! Comment dois-je m’équiper ? Une règle d’or : il vaut mieux avoir un peu froid au départ qu’être trop couvert et faire un sauna pendant la course. En trail, l’équipement de base se compose d’un short, un tee-shirt, un accessoire de portage pour emporter du petit matériel (sifflet, couverture de survie, eau, barres énergétiques…) et, selon la météo, une casquette ou une visière, des manchettes, un léger coupe-vent. Question chaussures, il faut évidemment un modèle déjà éprouvé moult fois à l’entraînement et adapté au terrain. Dans tous les cas, je ne teste aucun matériel neuf le jour de la compétition. Vérifiez aussi le règlement de l’épreuve : une liste de matériel obligatoire ou conseillé est généralement détaillée. A quelle allure dois-je courir pendant la compétition ? Si l’allure de compétition reste évidemment propre à chacun, un principe s’applique à tous : la gestion de course est l’une des clés de la réussite. Le point fondamental, c’est de ne pas partir comme une fusée ! Gérer l’effort est indispensable pour ne pas être complètement cramé au bout de dix minutes. L’allure doit donc être soutenue, sans être maximale. Si besoin, marchez dans les montées. Et s’il reste de l’énergie dans la machine à deux kilomètres de l’arrivée, lâchez les chevaux ! Dans tous les cas, comme il s’agit d’une première expérience, mieux vaut rester prudent –

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