mai 17, 2017

Terre de running partenaire du Grand Duc, Trail de Chartreuse

Terre de running, partenaire du Grand Duc, trail de Chartreuse 2017 vous propose de découvrir cette édition. Toutes les infos ci-dessous : Nouvel envol vers les sommets de Chartreuse ! Pour la 28ème édition, le Grand Duc se lance pour un départ au célèbre Col de Porte le 25 juin 2017. Début d’un parcours sur 5 étapes traversant la forêt domaniale de la Grande Chartreuse pour un passage au Charmant Som et ses magnifiques alpages. Les pentes se redressent à travers les bois, Col de la Sure, crêtes du Dt Eynard, falaises de Chamechaude, panorama du Bec Charvet, le Trail de Chartreuse offre une nouvelle fois un tracé sportif qui guidera les traileurs au cœur d’espaces préservés et époustouflants. Finalité du parcours au village d’accueil du Sappey en Chartreuse avec une journée placée sous la convivialité et le partage d’émotions fortes : animations avec les acteurs du territoire, exposants, produits locaux, etc. Retrouvez tout le programme du week-end sur www.grandduc.fr 5 courses au programme : – Ultra : 80 km 4500m dénivelé – Solo : Départ 5h00 au Col de Porte. – Duo : Départ 5h30 au Col de Porte. – Equipe de 5 : Départ à 6h30 au Col de Porte. – Moyen Duc : 45 km 2600m d+. Départ 6h00 au Col de Porte – P’tits Ducs : 800m à 2km. Départ à 14h00 au Sappey en Chartreuse. Inscriptions : Inscriptions sur myoutdoorbox avant le 10 juin. La reco : Rendez-vous le samedi 20 mai 2017 au Sappey en Chartreuse pour la découverte de l’étape 4 et 5. Inscriptions ici !

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Portage : gare aux garrots !

Le trail a propulsé les solutions de portage au premier plan. Désormais le marché regorge de sacs d’hydratation, porte-bidons, ceintures, brassards…Face à cette profusion, la runneuse ne sait plus où donner de la tête. Voici quelques conseils pour choisir le portage le plus adapté… à vous ! Un portage pour quelle(s) pratique(s) ? Avant tout – et comme souvent – la première question à vous poser est : de quoi ai-je exactement besoin ? Pour y répondre, analysez votre pratique : courez-vous uniquement des distances courtes ou au contraire des ultras ? Aimez-vous emporter avec vous de l’eau, des clés, des barres énergétiques, un coupe-vent, un téléphone…? En fonction de ces premiers éléments, vous pourrez déjà éliminer un certain nombre de produits. Ensuite, gardez à l’esprit deux critères fondamentaux en matière de portage : – le confort, – la praticité Bien entendu, il y a de fortes chances pour que vous soyez aussi attentive au design et au prix, mais essayez – dans la mesure du possible – de rendre prioritaires les deux critères clés susmentionnés. Quand on court, rien de pire qu’un sac qui ballotte et frotte, une ceinture qui coupe la respiration ou un bidon qui se fait la malle en pleine descente ! Les sacs d’hydratation En randonnée pédestre, le bon vieux sac à dos permet d’emmener tout le nécessaire pour s’habiller, manger, soigner un bobo, grimper… En course à pied – et plus particulièrement en trail – les besoins sont quasiment identiques, mais un paramètre s’invite à la fête : un sac d’hydratation doit se faire oublier lorsque l’on court. En d’autres termes, il doit être : – léger (pour ne pas constituer un handicap car plus on porte du poids, plus on dépense de l’énergie), – stable (pour ne pas ballotter dans le dos de manière désagréable et ne pas provoquer de frottements), – fonctionnel (pour qu’on ne se contorsionne pas quand on veut attraper un gel ou qu’on veut simplement boire !). Définir vos besoins permet d’éviter l’achat d’un sac trop petit ou trop grand. Un contenant trop grand donc utilisé à moitié vide ne sera pas optimal car votre matériel aura tendance à bouger à l’intérieur du sac. A l’inverse, un produit trop petit vous contraindra à faire des choix et, parfois, à renoncer à certains accessoires importants pour votre sécurité. Dans tous les cas, essayez toujours plusieurs modèles avant achat. Les marques proposent désormais des références spécifiquement conçues pour les femmes avec une ergonomie adaptée à la morphologie féminine (bretelles, largeur…).   Idéalement, un sac d’hydratation doit être : – parfaitement ajustable (boucles de serrage, élastiques réglables…), – pratique (accès facile aux poches), – doté d’une poche à eau ou de flasques – plaqué contre votre dos – placé en haut de votre dos et non en bas comme un sac à dos de randonnée classique. Il existe des sacs en forme de gilets (présence d’un filet sur le torse – des modèles souvent légers et ergonomiques). Certains coureurs adorent, d’autres détestent. D’où l’intérêt de tester en magasin ! Les conseils d’un vendeur spécialisé vous aideront sans aucun doute à faire le bon choix.   Les porte-bidons Petites flasques ou gourdes réparties tout autour de la taille, grand bidon positionné dans le dos et souvent en biais pour faciliter son accès, poches pour ranger du petit matériel, boucles pour placer des gels énergétiques… Les marques rivalisent d’ingéniosité ! Là encore, c’est avant tout la définition de vos besoins qui guidera votre choix : si vous buvez peu, ne vous embarrassez pas d’un bidon de 750 ml ! Si vous aimez alterner les boissons (eau pure / eau + poudre énergétique), préférez les ceintures à multiples flasques qui vous permettront d’emporter différents types de liquides. Comme pour les sacs d’hydratation, le point crucial reste le confort. Nos conseils : Essayez toujours un porte-bidon en magasin pour vous assurer de sa fonctionnalité et de son positionnement sur votre taille. Sautillez avec le porte-bidon dans la boutique (même si c’est ridicule !) afin de vous rendre compte du ballottement, du serrage… Soyez attentive au type de ceinture : largeur, réglages… Certains fabricants développent désormais des ceintures à double scratch qui permettent d’améliorer l’ajustement et d’éviter tout cisaillement à la taille. L’avantage du porte-bidon par rapport au sac d’hydratation est qu’il libère le dos : on transpire moins, la liberté de mouvement est plus grande et le dispositif de portage est plus léger. Par contre, on emporte moins d’eau et moins de matériel. A noter : certaines marques proposent également des porte-bidons manuels. Une sangle permet de porter un petit bidon à la main, le plus souvent de 33 à 75 cl. Pratiques pour les sorties plutôt courtes ou les épreuves d’une dizaine de kilomètres ! En revanche, il faut accepter d’avoir une main occupée en permanence et de supporter la petite fatigue supplémentaire induite (en effet, des études ont montré que porter un poids au bout du bras engendre une plus grande fatigue par rapport au même poids porté à la taille ou dans le dos). Les ceintures Pour ne pas les citer, nous classons ici les ceintures de type Flipbelt, Sammie (Compressport), …. Plus ajustées que les porte-bidons, elles présentent un intérêt non négligeable : elles ne cisaillent pas le ventre. Larges et stretch, elles épousent la forme du corps. La Flipbelt permet d’emporter le minimum et notamment une flasque souple pur pouvoir s’hydrate,  une clé, un téléphone…. La Sammie permet d’emporter un peu plus de choses tout en proposant une bonne accessibilité et une contenance importante. Le seul bémol tient peut-être au fait que ces ceintures, collées au corps, peuvent tenir un peu chaud. Encore une fois, à essayer/tester au magasin ou lors des sorties testings proposées par vos magasins. Les brassards C’est incontestablement l’accessoire urbain le plus « banal » : le brassard pour courir avec son smartphone et, évidemment, les oreillettes qui vont bien ! Soyez vigilante sur le système de serrage, la taille du compartiment à téléphone, la présence ou non d’une petite poche pour y

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